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vincent van gogh

  • Akira Kurosawa - Rêves

    Il y a peu, je me suis retrouvé à visionner Dersou Ouzala, de Kurosawa, et logiquement, j’ai eu envie de vous parler de Rêves, de ce même Kurosawa.

    Bon, la logique ne pouvant être invoquée, je vous dois la vérité, j’ai du mal à parler de Dersou Ouzala, parce que j’ai beaucoup intériorisé le film, très beau, plein d’émotions diverses et surtout propre à trouver en moi plus d’un écho. Alors j’ai entamé un texte, que j’espère terminer, ou rendre un minimum lisible.

    En attendant, cela m’a rappelé combien j’aimais certains de ces films, Ran, le Château de l’Araignée, Rêves, tous tellement différents, mais avec le même talent magistral qui s’exprime.

    L’art est une chose vivante, en mouvement, qui se prête à toutes les audaces ou incongruités.

    L’art est cette chose qui nous dérange, nous fait tiquer, ou bien nous réconforte d’une émotion difficilement compréhensible, et qui finalement ne nécessite pas toujours des mots d’explication.

    L’art permet tout (et son contraire…) Et j’ai retrouvé ses pensées en me rappelant combien Rêves était audacieux et universel. Parmi les rêves/cauchemars que nous donnent à voir Kurosawa, il y a celui qu’il consacre  Van Gogh.  Dans Les Corbeaux on découvre toute la passion que voue Kurosawa au peintre, l’art rend hommage à l’art.

    Voici juste quelques pastilles pour se remémorer certains de ces passages enchanteurs, qui ont pour moi toujours le même effet magique.

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