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  • Faites des pères cinéphiles, à la peau douce et ponctuels

    Autant j’ai allègrement zappé l’idée de parler de la fête des mères ici, va savoir pourquoi, un blocage psychanalytique qui resurgit certainement, autant la fête des pères ça m’inspire.

    J’aime bien faire des cadeaux, c’est comme ça, j’adore l’idée de réfléchir à ce qui pourrait faire plaisir à X ou Y, c’est un challenge un peu plus amusant que d’autres.

    Voici donc quelques pistes, de ce qui pourrait être un cadeau agréable pour un homme moderne et charmant et papa en plus.

    Pour commencer, quoi de mieux qu’un belle montre pour son papa chéri ? Le genre de montre qu’on garde toute sa vie, qui a du style et qui est intemporelle en même temps. La mode est au montres connectées, certes mais franchement moi je craque infiniment plus facilement pour une belle montre mécanique (j’en ai une belle collection, c’est indécent comme j’aime ça !) que ce soit pour moi ou un homme. Fossil, dont j’aime toujours les accessoires, propose une belle gamme de montres pour homme. En voici tout particulièrement deux qui ferait bel effet sur n’importe quel papa !

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    Acier ou cuir, elles ont toutes les deux leur charme, je n’arrive pas à les départager. Bon, ce n’est pas pour moi, dommage :)

    Ensuite, un papa (presque) idéal a la peau douce et bien soignée, pour son bien et pour le plaisir de lui faire des bisous. (Enfin, je dis ça mais j’adore embrasser des barbes rêches, je dois avoir un grain !) Pour les tenants de la douceur et du soin, je conseille toujours les produits Biotherm Homme. Je me demande si ce ne sont pas les premiers à avoir capitalisé sur le sujet ? Enfin peu importe, s’il y a bien des produits de beauté pour homme que j’aime offrir, c’est ceux de cette marque. La gamme après-rasage notamment est une merveille, surtout le baume hydratant apaisant. Je vois en allant sur le site de la marque que David Beckam est leur égérie (ça se dit égérie pour un homme ?) pas mal ce petit David, y a moins attrayant comme modèle à suivre ^^

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    Si le papa à fêter est cinéphile ou de bon goût, voire les deux, il y a une très bonne idée, toute simple : lui offrir n’importe quel film de Steve McQueen. Il va de soit qu’un papa cinéphile et de bon goût les aura tous vu, mais bon, il y a des papas qui démarrent dans la vie, qui n’ont pas encore eu le temps de voir la filmo intégrale de mon acteur favori de la vie entière : je peux comprendre. Raison de plus de chopper un DVD de Bullit, ou de La Grande Évasion, ou de l’Affaire Thomas Crown, ou de Papillon, ou des Sept Mercenaires, bref un film avec Steve McQueen.

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    Toujours dans l’univers du cinéma, avec le concept « box » en plus, le très chouette site Paris Fait Son Cinéma (dont je vous recommande la lecture), propose une box, sur le thème du cinéma évidemment, avec un film pour se constituer sa propre cinémathèque idéale, et des goodies et menus objets en rapport avec l’univers du dit film. Je trouve que c’est une manière ludique et moderne de faire revivre des classiques.

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    Voilà mes lapins ; j’espère que vous retiendrez ces quelques idées pour une prochaine fête des pères ou simplement pour faire plaisir. Sachez en tout cas que c’est un billet 100% non sponso ni partenaire ou qu’est-ce : juste une liste sincère de mes coups de cœur sur le sujet, à mon initiative ! Je préfère préciser :)

     

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    Oh Steve <3

  • Jayne Mansfield 1967 - Simon Liberati

    La vie des célébrités a remplacé les tragédies antiques sur nos scènes modernes que sont la télévision et les réseaux sociaux. Ça n’a rien de nouveau, depuis l’invention du cinéma, puis de la télévision, nos dieux et déesses brillent de paillettes, d’or et de soie. Et l’on se passionne autant pour la naissance des étoiles, que pour leur tragique chute. Cette fascination pour le malheur des riches et célèbres de ce monde est étonnante. Je ne dis pas que je suis intéressée, ou que vous, lecteurs, êtes intéressés, mais il se vend des millions et des millions de ces journaux occupés uniquement à la prise de poids de Britney Spears ou au nouvel amant trop jeune de Madonna. Et surtout, il paraît que les mauvaises nouvelles se vendent bien mieux que le bonheur de ces gens-là. Peut-être que lire le malheur des « beautiful people » est une forme de revanche des anonymes…

    Tout n’est que vanité et illusion, et qui saurait dire ce qui se cache derrière chaque porte, même de la personne la plus scrutée au monde ? En tout cas, c’est une source incroyable d’imagination et de fantaisies. Écrire sur les idoles modernes est toujours un exercice un peu risqué : il faut trouver le ton juste, loin du simple panégyrique ou de la fouille indécente de la vie privée.

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    Jayne Mansfield a été une de ces idoles, adulée, scrutée, déchue et moquée. Plus jeune, je la connaissais parce que je suis folle des vieux films hollywoodiens, et des vedettes de l’époque. C’était une de ces blondes comme le cinéma d’alors les aimait tant. Blonde, des courbes de rêves et l’air fragile de la femme qui cherche l’épaule virile d’un homme pour la soutenir. Et je suis certaine qu’aujourd’hui encore on ne la voit que comme cela : ravissante idiote qui a mal fini, à trop capitaliser sur son physique. Pourtant Jayne Mansfield c’était tant d’autres choses encore : un QI de génie, hé oui, et surtout une femme de poigne, qui s’est battue pour s’imposer à Hollywood, qui s’est occupée de ses enfants, et qui a fait preuve d’une force de caractère admirable pour maintenir sa famille à flots. Nulle part ailleurs sans doute qu’à Hollywood la chute des idoles n’est plus cruelle.

     

    C’est la mort de cette idole que nous raconte Simon Liberati dans son récit Jayne Mansfield 1967. Ce n’est pas un roman, ce n’est pas une biographie, c’est un flash-back fascinant.

    Le récit s’ouvre sur l’accident de voiture, inscrit au panthéon des morts les plus fascinantes de nos stars. La Buick Electra de Jayne se crashe dans un accident effroyable, la tuant net et laissant des orphelins (dont Mariska Hargitay, que j’adore regarder dans New York, Unité Spéciale). À partir de cette mort médiatiquement spectaculaire, Simon Liberati entame un portrait par petites touches, qui m’a impressionnée, en tant que lectrice, et quand je dis impressionnée, il faut y voir l’empreinte d’une émotion qui s’attache à qui lit ce récit.

    C’est un « diable d’intelligence et de volonté » que nous raconte Simon Libérati, une femme encore plus virile que les hommes qu’elle se choisissait (le père de Mariska était un champion de culturisme), une femme intelligente et futée, cultivée et douée de plusieurs talents, qui aimait (pourtant ?) s’entourer de roses, de clinquant et de kitsch. Une femme belle et désirable, qui a joué de ses atouts pour bâtir sa réussite hollywoodienne, puis une femme qui ne s’est pas démontée quand son corps n’a plus été aux canons des studios.

    Alors oui, elle s’est appuyée sur ses aides déloyales que sont l’alcool, la drogue et les médicaments, mais comment tenir sans béquilles quand tout s’écroule autour de vous ? Simon Liberati écrit comme on photographie : une suite de portraits incandescents de l’étoile en chute libre. Laissez-vous impressionner par son écriture et par le souvenir d’une star incomprise, reine de beauté devenue monstre de foire d’un univers cruel. Jayne Mansfield reprend vie dans ces pages, et le lecteur découvre un angle de vue qui la rend si attachante, si admirable, même et surtout dans sa chute : elle a joué avec les cartes qu’elle avait en main. Simon Liberati laisse penser au lecteur qu’elle a compris avant les médias du 21e siècle combien la présence continue, la mise en scène de la vie, est source d’attention, et donc d’argent. Quand le cinéma n’a plus voulu d’elle, c’est de sa propre vie qu’elle a tiré ses revenus, monnayant ses apparitions, jouant sur l’intérêt que suscitaient ses frasques. Qui de Anton LaVey, leader de l’église de Satan, ou de Jayne Mansfield, manipule l’autre quand la blonde actrice has been devient grande prêtresse de Satan ? J’aime à croire qu’il y a une certaine équité.

    Jayne Mansfield est un mystère et Simon Liberati en est l’ordonnateur.

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    Jayne Mansfield 1967 - Simon Liberati - Grasset

  • Concours - Une bOhx à cueillir

    Qu'est-ce donc que cette histoire de bOhx ? Rien qu'un chétif jeu de mots pour annoncer une série de petits concours, histoire de fêter les dix ans du blog.

    Et oui, dix ans en mai, ça me fait peur. Encore plus quand je replonge dans les archives... Ce blog n'a jamais eu de ligne éditoriale, et c'est tant mieux finalement. J'ai plaisir à parler de tout, du moment que cela me touche. Des chaussures aux livres en passant par mes états d'âme, j'ai fait de ces lieux mon journal intime pas très intime, parfois maladroit, toujours sincère.

    Le monde des blogs a évolué depuis dix ans, trop de professionnels à mon goût, mais ce n'est que mon avis :) Quoi qu'il en soit, il reste le plaisir du partage, et ce plaisir que je souhaite célébrer, jusqu'à la fin de l'été, comme je l'avais fait il y a deux ou trois ans je crois.

    Les cadeaux seront de ma poche, parce que j'ai une flemme monstre de démarcher des partenaires, et que cela me laisse toute latitude de faire comme je l'entends.

    Pour mémoire, voici une des petites bOhx que j'avais eu la joie de distribuer la dernière fois que j'ai eu l'énergie d'organiser un blog-anniversaire :

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    Je garde aussi mon vieux logo maison que j'aime autant qu'il simple.

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    Pour participer au tirage au sort, dites-moi simplement votre livre coup de cœur lu en 2015 ! Vous pouvez répondre en commentaire jusqu'au 18 juin à huit heures du matin maxi. Il faut aussi que je vous "côtoie" au moins un peu: c'est à dire que vous avez soit commenté une fois sur le blog, soit vous êtes un de mes followers sur Twitter, ou Instagram, ou sur la page Facebook du blog.

    Bon samedi :)

     

    Edit du 25/06/2016 : le gagnant est Maggie ! Merci de m'envoyer tes coordonnées par mail pour recevoir le contenu de la photo :

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  • Fatrasie du vendredi #suite

    Cette fatrasie du jour risque un peu de prendre des allures de Carnets du Monde, versant condoléances. J’avais envie d’évoquer quelques disparus très récents, qui ont marqué le monde des lettres, et que je vous invite à découvrir, si ce n’est déjà fait.

    Maurice Pons nous a quittés cette semaine. On croit les écrivains éternels, et un jour le temps vient pour eux, comme il viendra pour nous, de quitter cette terre. Maurice Pons nous laisse une vie remplie de mots et de combats, une vie discrète et riche, qui a inspiré ses lecteurs. Si vous ne connaissez pas encore, je vous suggère avec force de lire Le Passager De La Nuit, et Les Saisons. Son décès me rappelle combien de ses livres il me reste encore à découvrir… On peut lire sur Bibliobs un très beau portrait de lui.

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    Autre disparition, celle de Marcel Zang, un dramaturge nantais, et oui, Nantes, encore une fois, qui contient le monde et les merveilles qu’il nous apporte, puisque Marcel Zang a des origines camerounaises. J’ai eu l’immense chance de voir une de ses pièces à Paris, je m’en souviens bien car j’étais enceinte de mon fils et c’était une des dernières sorties que j’ai pu faire avant d’être trop fatiguée par la grossesse. Cette pièce, m’avait marquée, presque traumatisée, par sa réflexion sur la liberté, nos prisons intérieures et sur ce qu’est l’Autre : quelqu’un, hum, a dit que c’était l’enfer, Zang nous pousse à nous questionner sur la notion de pureté, qui nous mène à brûler cet autre. On peut lire Slate Afrique un portrait de Marcel Zang, et mieux encore se procurer ses pièces, éditées chez Actes Sud.

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    On reste encore un instant à Nantes, où l’on pourra admirer une œuvre de François Morellet, autre disparu du mois de mai. Si vous avez fait un jour le Voyage à Nantes, vous avez certainement déjà admiré De Temps En Temps, et l’affection de Morellet pour le travail du néon. Par ailleurs, les nantais, quand ils vont à la médiathèque Jacques Demy, passent, parfois sans le savoir, devant une fontaine, œuvre de François Morellet. Et puis, nantais ou non, nous pouvons admirer ses œuvres à Beaubourg, distinction qui lui a été faite de son vivant : assez rare pour être souligné.

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    L’art et la littérature sont objets de vie et de réflexions, et Joseph Andras réveille mon enthousiasme, et avec quelle force ! Je parlerai bientôt de ma lecture de son roman, mais en attendant j’aimerai partager avec vous un entretien, qu’il a donné au site The Dissident. Il parle de son roman bien sûr, mais surtout de son attachement aux mots, aux détails (comment ne pas craquer), aux sonorités et à la musicalité des phrases. Il m’enchante quand il parle de la poésie et de son apprentissage de la littérature. J’admirais déjà son roman, après cet entretien me voilà admiratrice de l’homme. J’ai très envie de le rencontrer et de le faire parler, des heures, de poésie. Doux rêve…

    On reste dans le domaine de la littérature, avec cette fois un côté un peu plus futile, mais très agréable encore. La boutique Etsy de Jane Mount regorge de petites merveilles qu’elle dessine, et qui donnent de très jolies objets, à collectionner forcément. Des badges, des tote bags, à l’effigie de nos romans préférés : là encore, comment ne pas craquer ? C’est juste adorable, ne me dites pas le contraire ^^

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    Si l’on s’y prend bien, les livres nous accompagnent à chaque moment de nos journées, hantent nos pensées et diffusent un mélange d’émotions dont on ne peut plus se passer.

  • Douceur et nutrition au menu du jour

    Dans ma quête perpétuelle de la peau la plus douce possible, voici mes trois produits chouchous du moment. Trois découvertes pour moi, peut-être pas pour vous ! J’avoue être assez infidèle : j’aime changer et tester de nouveaux produits de beauté, même si ceux que j’utilise me conviennent déjà.

    Cette semaine, deux coups de cœur et une petite déception.

    Premier coup de cœur avec l’huile soin de l’eau à la verveine du Maroc, de la très jolie et naturelle marque Les Sens de Marrakech. Je ne sais pas si vous êtes passés à côté, mais il y a comme une mode des soins à appliquer sous la douche et puis à rincer ensuite. La casse-pied que je suis était assez réfractaire à ce changement d’habitude : utiliser un soin hydratant sous la douche et non pas après. Je ne voyais pas trop la logique ni l’efficacité. Rien de mieux qu’un usage prolongé pour en savoir plus. J’ai donc pu me faire ma propre idée, avec ce joli flacon, qui promet un vrai soin nourrissant sous la douche. Premier truc : Dieu que ça sent bon ! Il faut dire que moi, n’importe quoi à la verveine je l’aime d’amour. Cette odeur fraîche et citronnée, c’est tout ce que j’aime. Bon point. Première douche, je me lave, voilà vous connaissez le concept je pense ^^ et puis une fois toute propre j’applique cette huile qui sent bon (elle sent TRÈS bon) et ensuite je rince. Et là, je me dis, si je rince, il en reste quoi ? Bon, donc je rince, je me sèche et là, miracle, la peau est douce et sent bon la verveine. Je pige pas trop comment c’est possible, mais l’effet douceur est là (ok, je suis butée, un truc qui est rincé est censé disparaître pour moi…) Et je commence à comprendre l’engouement de certaines pour ce type de produit : une fois que tu es sortie de la douche, tu peux t’habiller direct, sans coller de partout. C’est un bénéfice non négligeable. Et cette odeur de verveine… Divine. Mais je me répète :) Sur le long terme, j’ai constaté un fini de douceur très agréable sur la peau, moins de sécheresse, surtout au niveau des cuisses (à cause du port trop régulier de jeans..) et donc c’est plutôt une bonne surprise pour moi. Pour ceux qui n’aiment pas l’odeur de la verveine (les fous), l’huile soin de l’eau existe dans une déclinaison à la fleur d’oranger, ainsi qu’à l’ambre et au musc. J’ai très envie de tester la version fleur d’oranger, c’est une odeur que j’aime aussi beaucoup et qui me rappelle fatalement les vacances.

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    Je souligne tout de même le plus important : l’huile soin de l’eau, comme le reste des produits Les Sens de Marrakech, est à base d’ingrédients naturels, notamment l’huile d’argan du Maroc. C’est aussi ça qui justifie mon coup de cœur. Et cette divine odeur de verveine !

     

    Autre coup de cœur, chez Bioderma cette fois : l’eau apaisante et rafraichissante Hydrabio Brume. J’étais dans ma parapharmacie préférée, histoire de faire le plein de Serozinc (un truc dont je ne peux me passer), quand, je ne sais pourquoi, je me suis dit tiens change et prend une autre eau pour une fois…. Le matin, après m’être lavé le visage (oui je me lave le visage matin et soir et non je ne suis pas folle), donc après m’être lavé le visage, je m’asperge avec une eau hydratante. J’alterne entre un brumisateur d’eau d’Évian et donc le fameux Serozinc, qui a pour vertu de calmer ma peau sensible. La brume Hydrabio de Bioderma est aussi apaisante que je le souhaitais : il faut dire qu’à Paris et autour, l’eau du robinet est très calcaire et desséchante, d’où la nécessité d’une eau plus apaisante après la douche. Et comme on va vers un temps de plus en plus chaud (enfin je l’espère pour cet été...) j’avais aussi besoin d’une eau à vaporiser tout au long de la journée. Alors, j’ai acheté la version classique de cette brume Hydrabio, pour pas cher du tout, dans les trois euros, mais j’ai vu en fouinant sur le site de la marque qu’elle existe en plus avec un spf 30 : je la veux ! J’ai déjà parlé de mon obsession des spf en ville, surtout l’été ! Bref, j’ai à peine entamé ce flacon, mais je sais que je ne vais pas tarder à acquérir la version avec spf 30. Quitte à se pshitter de l’eau sur le visage, autant qu’elle soit multifonction.

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    Bon, après cet usage hasardeux du non moins hasardeux verbe « pshitter », passons à la petit déception. Celle-ci concerne un baume pour les lèvres de chez Sanoflore, vivement conseillé par la dame de la parapharmacie pour remplacer mon baume rêve de miel de Nuxe. Bien mal m’a pris de l’écouter. Il faut dire qu’il y avait un genre d’opération promo sur les produits Sanoflore et je crois bien que la dame voulait faire son chiffre… bref, ce baume s’appelle Baume Lèvres Nourricier, et bien laissez moi vous dire qu’il ne nourrit pas grand-chose. Il a tout les inconvénients du Nuxe : gras et collant, sans l’effet vraiment repulpant du Nuxe. Le matin, c’est à se demander si on a vraiment mis un baume hydratant avant de dormir. Comme dit la chanson, pour tout autre chose, il n’y a que les draps qui s’en souviennent. Navrée pour cette métaphore érotico-musicale, mais franchement c’est ça. Le baume colle au drap, et hydrate que dalle question bouche. Pour un produit assez onéreux au gramme, c’est dommage. J’ai l’impression en plus que le produit n’est plus commercialisé depuis mon passage à la parapharmacie : il ne me manquera pas !

     

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    Allez, la prochaine fois, je parlerai vraiment manucure :)