Je n’aime pas les vacances, depuis bien longtemps maintenant.
A chaque fois, c’est le plongeon dans les abîmes de la mémoire.
Etrange, penses-tu, que raconte-t- elle encore avec ces vacances qu’elle n’aime pas ?
Je te dirais plus tard pourquoi on peut ne pas aimer les vacances.
Mais passons un instant à Nantes, que je rejoins ce week-end, avant La Baule et Pornic.
Nantes ou Naoned de son nom breton me manque maintenant que je n’y habite plus. Le cœur breton de Nantes fait d’elle une ville d’exception. Un peuple de résistants, de casses-burnes pour ainsi dire !
L’ouest de la France s’est toujours distingué du reste du pays.
On adore élire notre maire socialiste député au premier tour quand le reste du pays bascule à droite.
Nous possédons le jeu footballistique le plus intéressant, et une école de champions. Là on se repose un peu depuis quelque temps mais le mojo va revenir (Coach Vahid, si tu passes par là, reviens mettre de l’ordre bordel!)
Bon, je ne vais pas vous refaire le pourquoi du comment de la réunification de la Bretagne (sauf si on insiste un peu…), mais Nantes me manque, et je suis ravie de la revoir très très vite !
Bon, comme je savais pas non plus comment caser une autre addiction (encore) de manière un peu poétique, et puis bon, que ça fasse pas un peu psychotique, je saisis l’occasion de parler marinière…
Oui je collectionne les marinières…entre autres.
Bref, là c’est pour la bonne cause : Kahlan aime tout ce qui est marin, alors si la marinière ce n’est pas marin, Kahlan, tu gueules pas.
Et Angie, un jour, je sais plus quand, lors d’un billet sur Petit Bateau en arrive à parler marinière, ou était-ce moi ?? Bref je dois lui montrer des marinières, me demandez pas pourquoi. Peut-être parce Petit-Bateau et Saint-James c'est les seuls marques où je m'habille encore en 16 ans ??
Alors voilà des marinières. Un genre de marinières.