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tomm moore

  • Le Chant de la Mer

    Hier matin, j’ai accompagné mon fils, et sa classe au cinéma. C’est une chose que je fais très (trop) rarement, simplement parce que je travaille.

    Nous sommes donc allés au cinéma le Louxor, à Paris, pour regarder le Chant de la Mer.

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    Bon, j’avoue que je suis une vilaine fille, parce que le premier truc que je me suis dit en voyant l’affiche : m%µ* Nolwenn Leroy chante dedans, beurk…

    Je suis vraiment une vilaine fille.

    Parce que finalement, on fait complètement abstraction de la susmentionnée chanteuse de télévision.

    Ne retenez qu’une chose : le Chant de la Mer est un fabuleux, merveilleux, tendre, émouvant, poétique et superbe film, à voir seul, ou avec ses enfants, mais franchement c’est pas obligé : ce film parle à tous les âges.

    Comme je suis à la fois une vilaine fille, et une flemmarde, je vous colle le synopsis officiel en guise de résumé :

    « Ben et Maïna vivent avec leur père tout en haut d'un phare sur une petite île. Pour les protéger des dangers de la mer, leur grand-mère les emmène vivre à la ville. Ben découvre alors que sa petite sœur est une selkie, une fée de la mer dont le chant peut délivrer les êtres magiques du sort que leur a jeté la Sorcière aux hiboux. Au cours d'un fantastique voyage, Ben et Maïna vont devoir affronter peurs et dangers, et combattre la sorcière pour aider les êtres magiques à retrouver leur pouvoir. »

    Pour en dire plus, quand même, ce film est une petite perle, d’abord d’un point de vue esthétique. Je me suis rappelée au cours de la projection, où j’avais déjà apprécié ce style : c’est que nous avions déjà adoré le film précédent du réalisateur Brendan et le Secret de Kells (que je vous encourage aussi à regarder !)

    Certaines critiques voient l’influence de Myazaki dans ce film, c’est en effet assez proche, par le parti pris poétique, naturel et enfantin, qui nous donne justement plusieurs degré de lectures, de manière à parler aussi bien aux enfants qu’aux adultes.

    La finesse du dessin, à l’ancienne si j’ose dire, facilite la transmission des émotions, et du message. J’ai aussi bien apprécié de découvrir un peu plus sur les traditions et légendes irlandaises. Et mon fils était tout fier de me dire qu’il savait déjà ce qu’était une selkie, alors que moi non ^^

    Une jolie mélodie celtique accompagne les scènes les plus émouvantes.

    Bref, on passe un bon moment, pendant le film, et après le film, car c’est l’occasion de parler des émotions, de ce qui les provoquent, des peurs, des angoisses, et des rêves aussi.

    Allez voir ce film !!!!!!!!!

    Sinon, il y a un livre disque, mais là je crois qu’on entend vraiment beaucoup Nolwenn Leroy…

     

    Le Chant de la Mer - Tomm Moore

     

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