Cette semaine se termine sous la pluie, mais non sans bonne humeur, et quelques petites choses à partager avec vous.
Hier, je vous laissais en vous parlant de mes ballerines que je m’obstine à porter par temps de pluie. Et bien ça n’a pas manqué, le soir venu je me suis encore maudite de n’avoir pas mis autre chose que ces ballerines, en rentrant les pieds presque trempés…Pourtant le matin il a fait beau… D’ailleurs c’est ce que je veux retenir de ça : je suis une incurable optimiste finalement, puisque mon esprit ne peut croire, ne veut croire, qu’il pleuvra un jour gris d’octobre…
Hier je vous parlais jupe, et bien parlons vernis aujourd’hui. Juste histoire de glisser à l’oreille, mine de rien, que les femmes élégantes jusqu’au bout des ongles qui me lisent, seront ravies de noter que chez Monoprix, jusqu’au 4 novembre prochain, pour l’achat d’un pull en cachemire, le vernis Revlon est à -50%.
Les cachemires Monoprix, c’est la valeur sûr que beaucoup connaissent, des pulls tout doux, et bien moins chers que d’autres marques, quant à Revlon, on ne présente plus, nos ongles connaissent et adorent. C’est le moment de se faire doublement plaisir.
(Vu le temps que je passe chez Monoprix, ils pourraient m’engager comme ambassadrice ^^)
Restons encore sur le plan mode, mais cette fois côté vintage et hommage.
J’ai eu la chance d’être invitée, lors de la Fashion Week parisienne, au cocktail de vernissage de l’exposition Claude Montana par Didier Ludot.
Didier Ludot est connu pour être un amoureux de la mode et un collectionneur hors-pair de trésor vintage. Parmi ses trésors, de nombreuses pièces de Claude Montana, timide et brillant créateur phare des années 80.
Montana a marqué la mode, avec des lignes appuyées, presque exagérément, des matières originales, et des couleurs flashy, comme j’aime. C’était un privilège d’apercevoir ce créateur, qui parait frêle et timide, et qui a pourtant laissé une empreinte bien puissante dans l’histoire de la mode. Didier Ludot a réunit des pièces parmi les plus significatives de Claude Montana. Et cet hommage qu’il a voulu lui rendre dans le cadre prestigieux des arcades du Palais Royal, était tout à fait à la hauteur du maitre qui a apporté sa propre révolution à la mode.
Merci encore à Franck D. pour ce privilège.
Tout autre chose, je vous parlais récemment d’un roman que je n’ai pas adoré, alors que j’attendais beaucoup de l’auteur, aujourd’hui c’est l’inverse. J’avais pris pour un de mes trajets vers le bureau, un roman de Cecilia Ahern, n’en espérant pas grand-chose qu’une distraction passagère. Mais j’ai été très agréablement surprise, par l’histoire, simple mais prenante, et surtout par l’immense sensation de bonté qui s’en dégageait.
L’histoire est celle d’un homme ni heureux ni malheureux, Lou, et qui ne sait pas que sa vie et sa famille prennent l’eau à cause de ses priorités. Un autre homme, Gab va lui apprendre à regarder autrement sa vie, avant qu’il ne soit trop tard. Petit à petit, Lou va changer, jusqu’à comprendre ce qui n’allait plus dans sa vie, et ce qui lui tient le plus à cœur. Le résumé de l’éditeur : « Lou a une vie parfaite, une femme magnifique, deux enfants adorables et un travail qui le comble. Mais la réussite a un prix et Lou est prêt à tout pour parvenir au sommet. En se rendant au travail un matin d'hiver dans les rues enneigées de Dublin, Lou fait la connaissance de Gabe, un sans-abri qu'il croise tous les jours. Sa vie ne sera plus jamais la même car Gabe n'est pas un homme comme les autres... A mi-chemin entre Un conte de Noël de Dickens et La Vie est belle de Capra, Un cadeau du ciel renoue avec la grande tradition du conte de Noël. Cecilia Ahern nous entraîne dans un monde où la réalité est teintée de merveilleux et où les actes ont des conséquences inattendues sur l'existence. »
Loin des bons sentiments et du simplisme, ce récit est juste et sincère, et comment dire, plein d’une vrai bonté qui m’a touché le cœur. Peut-être étais-je de l’humeur idéale pour bien apprécier ? Je ne crois pas pourtant : au contraire, j’étais pleine de mon cynisme habituel et ces quelques pages m’ont ramené vers ce que je préfère : l’empathie et la compassion.
Seul bémol : la couverture quand même bien girly-moche….
Sinon, pour répondre aux questions concernant mes lectures du matin : j’ai la chance de lire vite, très vite, c’est une de mes rares qualités et j’y tiens :)
Pour finir ce vendredi, je voudrais mettre en avant le projet Haïti en Chœur, au bénéfice de l’association Nos Petits Frères et Sœurs en France. Ce projet, porté notamment par le talent de Christian Holl, a donné lieu à un album, une symphonie pour Haïti, un projet sonore et visuel pour ne pas oublier Haïti depuis le terrible séisme du 12 janvier 2010, un projet pour continuer à soutenir une île qui a besoin de nous.
L’association NPFS vient en aide aux orphelinats et aux structures sanitaires de l’île depuis 1995. J’espère que vous aurez à cœur de jeter un œil au site du projet Haïti en chœur, et de découvrir le travail formidable qui est accompli. Mine de rien, nous avons encore la chance de pouvoir faire preuve de compassion, et de générosité, chacun avec ses propres moyens. Ne nous privons pas d’embellir notre vie en aidant les autres.
La page Facebook de Haïti en Choeur.
Sur ces derniers mots, je vous souhaite le plus agréable des vendredi, qu’il soit baigné d’amour et de bonne humeur !
Commentaires
Merci pour toutes ces belles pensées positives en ce vendredi matin ! Bonne journée Océane.
Un peu de positive attitude pour citer la grande philosophe Lorie :)
C'est clair que la couverture ne rend pas justice!
Je regrette que mon Monop ne propose pas toutes ces choses que vous trouvez à Paris!
C'est le problème du monop', ils ne se valent pas tous...
Un très joli post !
Merci Stéphanie :)
Bon vendredi à toi aussi Océane et très beau weekend! Des bises!
Merci (avec retard !!)
C'est bien de ne pas oublier Haïti.... tant de gens le font !
Je garde les références de ton roman... il a l'air vraiment pas mal !
Bon week-end !!
Passé les premiers jours, on oublie vite les catastrophes, que ce soit pour Haïti ou Fukushima.......
Je suis faché avec Monoprix la libéral en moi de peut plus voir leur enseigne (celle qui a ete une cliente fidèle de leur enseigne essai de tenir bon)
Un cadeau du ciel> apres avoir lu ta critique il m’intéresse, et oui si je ne t'avais pas lu impossoble que je me sois arrêter dessus avec un tel couverture .
Dur de résister à Monoprix pourtant ^^
Le livre est très tentant même si la couverture donne l'impression d'un mauvais bouquin...
La couverture ne lui rend vraiment pas justice !
Le livre a l'air vraiment sympa. Et de nos jours, ce n'est pas si courant, une histoire de ce style, avec de la sincérité et de la bonté...
la bonté, c'est vraiment ce que j'ai ressenti à la lecture !
Joli!
Je ne suis pas tellement "vernis". Pourtant, ces couleurs donnent très envie!
Bisous et bon weekend ma chère amie
Elisa, en Argentina
Un peu de rose aux doigts met un peu de couleur dans le cœur :)
Assortir son cachemire à son vernis, la classe quoi, vivement que je retourne en France pour le Monop'!
J'aime beaucoup ta dernière phrase. Je travaille beaucoup pour Médecins du monde bénévolement en ce moment.
C'est génial de pouvoir donner concrètement une aide comme tu le fais à MDM ! Respect :)
Pour Monop', c'est un de nos petits plaisirs français ^^
oh oui quelle couverture pas terrible!!!
tu devores vriament els romans!
de gros bisous
Oui, j'adore lire c'est clair ^^