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carlos fuentes

  • Le sexe sans péché c'est comme un oeuf sans sel.

     

    Faire plaisir est un leitmotiv... plaisant.


    Alors je me lâche, c'est facile et ça me fait plaisir aussi.


    Après Marlène et Jeff Bridges, Kahlan et Angélina  Jolie, voici venue le temps du rire et des chants de Julie et de Angie.

    Ce sont là deux petites nanas qui ont essentiellement comme qualité d'aimer un peu les mêmes choses que moi : les jeans, les bottes, les hommes, les petites bulles, l'amour, enfin tout ce qui peut faire plaisir à une femme (sauf Owen Wilson, mais ce n'est pas grave, je l'aime quand même, et je le garde donc pour moi seul)

    Les filles, c'est octobre, le mois où les feuilles commencent à tomber : espérons que les vêtements des charmants jeunes hommes qui suivent, tombent tout aussi facilement devant nous !

     

    'Tain ça se trouve il est à oilp sous son burnous !!!!

     

     

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    Je crois que le message est clair: kiss me :)

     

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    Enfin, bon, ça fait un peu de bien, non ??

     

    Sinon, officiel, une collègue a bien choppé H1N1. Cette pute garce salope collègue me fait la bise tout les matins, alors qu'elle est encore toute transpirante de s'être pressée, et que j'essaye de me dérober....

    Pute.

     

  • L'instinct d' Inès

     

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    Pour la première fois depuis très longtemps, j’ai terminé un roman au forceps, enfin à contrecœur.

     

    L’instinct d’Inès, de Carlos Fuentes m’avait attiré suite à des critiques mitigées, vu notamment chez George Sand et Lou.


    En bonne aventurière du livre, je me suis lancée… et j’ai chuté !!

     

    L’histoire est particulière en ce sens qu’elle se déroule sur deux dimensions parallèles.


    La première histoire est celle de Gabriel grand chef d’orchestre, et d’Inès, cantatrice. Leur histoire d’amour tient sur trois rencontres, merveilleusement racontées, avec la subtilité et la fascination que cela suppose. On entre dans un univers positivement lyrique et symphonique. Le symbolisme est très présent et suffit parfaitement à nous faire croire à cette histoire.


    Jusque là tout va bien, me direz-vous.


    Mais l’univers parallèle m’a moins parlé. Il s’agit d’une histoire qui se passe à une époque indéterminée, avant l’ère glaciaire si j’ai bien suivi, et qui met en scène la probable ancêtre d’Inès.


    Et là  à ces passages j’ai décroché…Trop de symbolisme tue le symbolisme…


    Pourtant je suis une lectrice assidue et admirative de Gabriel Garcia Marquez et de Jorge Luis  Borges, pas avare de symbolisme et d’histoires alambiquées.


    Et j’ai un faible aussi pour Fuentes. Habituellement.


    Là je trouve que le lien entre les deux histoires n’est pas si évident et que l’une nuit à l’autre. Cela devient un cryptogramme.


    Pourtant il y a l’écriture d’un homme qui aime les femmes, qui nous fait le portrait de la Femme Eternelle, qui est la muse, l’inspiratrice, l’amante, la joie de vivre . En cela  c’est une ode à l’Amour et à la Passion : musique et femme se mêlent pour ne former qu’une seule passion qui anime Gabriel.

    Pour l’autre partie, je ne suis même pas certaine d’avoir compris ce que veut dire l’auteur…

    Mais je n’aime pas abandonner de lectures, cela me laisse un sentiment d’échec, c’est donc à la rame, si je puis dire que je suis arrivée en bout de page.


    Le recommanderais-je ? Je ne sais pas.


    Nous voilà bien avancé.