Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

faute de preuves

  • Faute de preuves

    Comme à chaque sortie de Harlan Coben, je suis ravie de plonger dans le bain de suspens qu’il nous offre à chaque fois. Je n’ai jamais été déçue, à une seule exception, concernant une œuvre de jeunesse rééditée, et dont je vous avais parlé ici.

    Aujourd’hui, je vais vous parler de  Faute de Preuves, son nouvel opus, qui m’a été aimablement envoyé en lecture (merci Jérémy !)

    Et comme à chaque fois, je n’en n’ai fait qu’une bouchée, si j’ose dire ainsi d’un roman.

    Dans une interview, Harlan Coben dit que Dan Brown dit de lui qu’il est le roi du hook and twist (Amorcer et retourner). C’est exactement ce qui se passe : un suspens savamment tissé, comme une toile d’araignée. On se laisse y prendre, et puis on subit retournement sur retournement ! Une vraie farandole…

    Alors, le résumé de l’éditeur : « Aux États-Unis, de nos jours.
    Bonne élève, sportive, les pieds sur terre, Haley McWaid, 17 ans, est la fille dont rêvent tous parents. D'où la surprise de sa mère quand elle découvre que sa fille aurait découché. Et son affolement quand elle ne parvient pas à la joindre. Et son désespoir quand, après trois mois, on est toujours sans nouvelles de la jeune fille.
    Wendy Tines a sa petite idée. Mère célibataire d'un ado, cette journaliste ambitieuse travaille de concert avec la police pour un programme télé chargé de débusquer les délinquants sexuels. Sa dernière prise, Dan Mercer, un éducateur pour enfants.
    Tandis que toute la ville est sur les dents, à la recherche d'un prédateur sexuel, Wendy va découvrir que l'affaire Mercer va l'entraîner beaucoup plus loin que tout ce qu'elle aurait pu imaginer... »

    coben.jpg


    La nouveauté, c’est le personnage principal, une héroïne enfin !

    Wendy est une célèbre journaliste de télévision qui s’est donné pour mission de traquer et de dénoncer les prédateurs sexuels, au travers de son émission de télé réalité. Ainsi elle va coincer un certain Dan Mercer, qui semble au milieu de crimes assez sordides… C’est une « belle prise » pour Wendy, mais le doute va finir par l’assaillir, jusqu’à se demander si elle n’est pas manipulée... On remonte avec elle le fil d’une enquête à rebondissement, comme Coben en a le secret.

    C’est ce qui m’avait plu dès son premier roman : l’art de maintenir le doute (sans incohérences pour autant) jusqu’à la dernière page presque !

    L’hameçonnage réussit chez moi… Certes ce sont des thématiques à la mode (internet, les pervers sexuels, les téléréalités inquisitrices…) mais le traitement est magistral.

    C’est définitivement un de mes auteurs de polar contemporains favoris. Vite lu, plein de frissons, et un bon souvenir au final !

    Pour plus d’infos sur ce roman, ou d’autres, je vous conseille le site officiel (click click) il y  a une newsletter, ce qui n’est pas inintéressant concernant le bonhomme !