Puisque nous parlions hier de décembre, aujourd'hui nous allons évoquer Noël ! Il n'est jamais trop tard pour en parler !
C'est Angelita qui en fait son défit-mot du mois, et c'est bien de saison ! Oui, j'avais jusqu'au 29, mais ce n'est pas grave, je serais hors concours, juste le plaisir de participer !!!
Noël ne revêt pas la même signification enfant qu'adulte. Je ne m'étendrais pas davantage sur mes réminiscences enfantines, il y aura bien d'autres occasions pour ça !
Parlons plutôt de ce que m'évoque Noël maintenant.
C'est une histoire à raconter, un arbre à décorer, qui est le décor de cette histoire !
Depuis 4 Noël maintenant, j'achète quelques décorations pour l'arbre, des objets auxquels je peux plaquer une petite histoire. Et tout cela est l'occasion d'imaginer un monde enchanté qui vit dans cet arbre !
Oui, plutôt que de simplement accrocher des boules et des guirlandes, je suspends des objets de toutes sortes, qui sont les personnages d'un univers imaginaire :
Il y a des tas de petits lutins, des pères noël étrange, des fées et des elfes, des flocons de neige. Je vois Noël comme l'occasion de raconter une belle histoire, qui évolue chaque année, de nouveaux personnages faisant leur apparition, comme de nouveaux amis.
J'espère continuer encore longtemps cette histoire. C'est en quelque sorte ma tradition de Noël ! J'aurais adoré écrire des contes pour les enfants, les faire rêver, comme m'a fait rêver Grimm (oui je place la barre un peu haut ^^).
Voici une chanson que je passe souvent à Noël, c'est un classique brésilien, revisité en français par Bïa, une chanteuse que j'adore !
Bïa - Le Chevalier
J'étais le chevalier
Et mon cheval était ambassadeur
Je partais délivrer
Ma fiancée des griffes des chasseurs
je combattais des bataillons
D'extraterrestres et de dragons
Et mon épée barbare se changeait en guitare
Alors j'étais chanteur
j'étais le roi des rois
J'étais le juge et l'idiot de la cour
Et j'inventais des lois
pour obliger le monde à faire l'amour
tu étais la villageoise que j'ai fait couronner
Et tu étais si belle à regarder
Que toute nue tu dansais pour toujours
Non, tu t'en vas pas
si tu veux bien j'étais ton aquarelle
J'étais ton animal
Ton tapis volant voleur
Non , regarde-moi
C'était le temps où on avait des ailes
On était nés mille ans avant le temps du mal et de la peur
J'étais adulte enfin
Le temps des fiées devait bientôt finir
Les portes du jardin
S'étaient fermées juste avant de mourir
Tu as pris la clef des champs sans me dire au revoir
Et moi j'étais le fou vêtu de noir
D'un vieux royaume oublié dans la nuit.
Je vous embrasse tous, et n'oubliez pas de vous inscrire sur les listes électorale, vous avez jusqu'à demain, une pièce d'identité et une quittance de loyer ou d'EDF et hop à la Mairie !