Nous sommes le 12 du mois, et j’ai encore 5 tickets Resto. C’est une chose qui n’arrive jamais. C’est la fête au village.
Hier soir, j’ai mis 1heure 30 à rentrer en bus. Des encombrements il parait. Ce soir ce sera pire, avec le concert d’AC-DC.
J’ai acheté Votre Beauté : ce magazine est surkiffant, c’est totalement futile et inutile, donc très précieux.
Je termine de lire les bouquins de Pascal Fioretto, et franchement c’est à se tordre de rire, je vous en reparle très vite !
Pour en finir avec mes envies de « travaux manuels », j’ai acheté un peu de laine, des aiguilles et un autre bouquin que celui que j’avais (le tricot pour les nuls, est ….nul).Je vais donc tenter un peu ce week-end d’aboutir à quelque chose de pas moche.
Je suis allé chez André, qui est un marchand de chaussures.
Et Ô Miracle :
Les ballerines Maje pour André sont moches en vrai et coûtent un œil et demi.
J’ai regardé Infrarouge sur France 2 hier soir. Le reportage sur les hommes était très troublant, très déstabilisant.
J’avais l’impression de rentrer dans leur tête. Les histoires difficiles de ces hommes, de leur relation aux femmes et à leur mère, étaient très fortes.
Je me suis souvent posé la question de la puissance masculine, opposé à la puissance féminine. Comme si les uns et les autres ne pouvaient vivre en harmonie (allez-y sortez vos mouchoirs). Je veux dire que je pense que l’égalité n’existe nulle part pour personne : il y aura toujours une frange de la population qui dominera l’autre, soit une frange sociale, ou ethnique ou sexuelle, ou toute à la fois.
Je ne suis pas féministe au sens habituel du terme : encore que je ne sois pas sûre de ce que féminisme signifie.
Je suis assez simple comme fille, j’aimerais que tous les gars et les filles de la terre se donnent la main, et on ferait une chaine, et plein de bisous et on s’aimerait tous, et il n’y aurait plus de guerre ni de famines, et j’aurais aussi gagné au loto. Comme je ne joue pas, je vous laisse imaginer le degré de réussite possible.
Dans la vraie vie j’observe les choses, et j’observe que le féminisme a surtout permis d’ouvrir la politique aux femmes de politiciens ; d’ouvrir les postes de hauts-cadres aux descendantes des dynasties économique et financières. Pendant ce temps, les ouvrières et les employées continuent à gagner moins et à être la proie rêvée de la précarité sociale.
Pendant ce temps, l’image de l’homme est réduite à deux clichés : l’homme prédateur et conquérant, séduisant et fort ; ou l’homme faible, effacé, inutile.
Je force un peu le trait, et je suis brouillonne dans mon propos, mais ce reportage à réveillé des pensées un peu mélangées sur les rapports hommes-femmes.
Ne tirez pas de conclusions hâtives de ce que je viens de dire, c’est un peu brumeux comme je le dis là. Je vais essayer d’en reparler une autre fois de manière un peu plus structurée.
Il y a plusieurs concours bloggesques auxquels j’aimerai participer, je vais tenter de les faire, et de ne pas me faire déborder par le temps.
Pareil, il y a quelques tags que j’ai repérés et qui me tiennent à cœur. Je vais programmer ça pour la semaine prochaine.
Je ne remets pas la main sur ma vareuse jaune Saint-James, et ça m’énerve ! Ça me fait aussi penser que j’avais parlé de montrer mes marinières pour Angie (qui ne s’en rappelle peut-être plus).
Il y a plein de choses que je voudrais vous montrer, des coup de cœur, ho rien d’exceptionnel, mais un empilement de petits plaisirs qui ravissent mon quotidien.
La femme infidèle que je suis (infidèle aux parfums, qu’allez-vous penser ?), est tombée raide dingue d’Escale à Portofino et Escale à Pondichéry, de Dior. L’élégance en flacon !
J’en reviens toujours à la futilité de l’instant. En attendant la suite.