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christophe

  • (En attendant le prix Goncourt) (Tiens, que devient Pascal Roze ?)

    En fait, non, on ne va pas parler littérature.

    Désolée.

    Et si on faisait un peu d’humeur musicale ? Bon, certes, ça ne veut rie dire, faire de l’humeur musicale, j’avoue. Mais je ne sais pas trop comment qualifier sinon le fait de lister des chansons qui m’ont marquée le mois passé, me rappelant des éléments très précis de ma vie.

    Alors on dit qu’on va faire de l’humeur musicale.

    Cette humeur a été teintée par trois chansons principalement :

     

    Grandville – Le Slow

    Camélia Jordana – Non, Non, Non (écouter Barbara)

    Ce sont deux chansons qui collent parfaitement à mon humeur du moment : parfois on a envie de dire non, d’être en retrait, et ce n’est pas forcément triste ou dommage :) quelquefois on a simplement envie d’être en stand bye de tout. Refuser ce que l’on ne demande pas, est-ce mal ou idiot, ou triste ? Je ne crois pas :) et puis ces chansons sont entrainantes et gaies, comme un pied de nez à c qu’on pourrait leur reprocher !

     

    Christophe – Comme Un Interdit (navrée pour le clip un peu pourri...)

    Christophe… Difficile pour moi de parler de lui sans être totalement en mode Fan2 (Tiens, que devient Séverine Ferrer ??) cette chanson, particulièrement, décrit parfaitement l’idéal que je me fais de la relation homme/femme. Mais bon, les idéaux, on sait ce que c’est : pure rêverie :)

     

    A votre tour, dites-moi tout sur votre humeur musicale.

  • Dans ma veste de soie rose...

    J’allume la télévision un instant, dans l’idée de regarder un film, et puis malgré Steve MacQueen et la canonnière du Yang Tsé, je me suis endormie, ailleurs dans ma tête. Les personnages flous ont entre eux des dialogues de bêtes curieuses.

    Je crois que trop de choses viennent s’interposer entre moi et ma compréhension de ce film connu pourtant par cœur. Les couleurs de Chagall, rouge vif et vert animal, se mélange à la voix de Clément Hervieu-Léger, correspondances bien personnelles qui feraient peut-être sursauter Rimbaud.

    Il faudrait que je retrouve cette nouvelle de Francis Scott Fitzgerald, au sujet du mystère de ces vies lisses et impeccables, du grand mystère qui le recouvre une fois la porte de la maison fermée.

    Amour, peine, pauvreté ou violence, désespoir ou inquiétudes, espérances ou simple joie de vivre, qui sait ce qui se cache derrière chaque rideau que l’on observe du dehors ?

    Dites moi qui parlait de rideaux  (ou de fenêtres ?) de l’âme (ou du cœur ?) à propose des yeux ? Je ne sais plus, mais je regarde chaque personne, et plus prosaïquement, chaque nom ou pseudo qui s’affiche sur un écran, comme une fenêtre mystérieuse, qui contient plus que je ne pourrais jamais connaitre, ou simplement oser demander à connaitre.

    Il n’y a plus guère que les enfants pour poser des questions intéressantes, et par rafales.

    Il y a moi aussi. Du moins pour la partie rafale, reste à savoir si mes questions sont intéressantes.

    Il n’y a peut-être guère plus que les enfants pour s’intéresser vraiment à ce qu’ils regardent, d’où les questions.

    Drôle de monde où chacun organise une sorte de journal extime  (moi la première…), et où des questions, suite manifeste d’un sincère intérêt, sont vues comme indiscrétions inopportunes.

    Comme si tout était question d’échange à valeur commercial, même dans les questions de simple humanité. Je propose à l’échange une partie de ma vie, une petite facette que j’expose, prends là si elle te plait, mais ne vient pas demander plus.

    Environ.

    Environ  et ailleurs.

    Alors voilà, je n’ai plus 8 ans depuis longtemps, ni même 13 ans, ce qui serait encore une excuse à mes premiers péchés, mais je voudrais une vie la plus simple et naïve du monde, faites de questions et de réponse, en rafale, oui, forcément.

    Une vie à lire, à regarder les gens et à leur demander mille fois par jour pourquoi, pourquoi…. Avec chaque réponse je dessine mon propre portrait de l’autre : c’est ainsi qu’on vit mille ans mille fois, dans la mémoire et l’imaginaire de chacune des personnes à qui l’on offre des « je vais te dire » en échange des « pourquoi ».

    En attendant cette vie (la prochaine ?) je vis dans ma tête une autre vie, celle où une princesse accompagnée d’un gentil géant et d’un drôle de chevalier, va délivrer son amoureux.


    podcast

    Christophe - Les Paradis Perdus


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  • Christophe - Intime Tour

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    Lundi de la semaine passée, j’ai eu la chance d’assister au concert de Christophe, un de mes interprètes favoris. Ca faisait bien longtemps que je n’avais pas mis les pieds dans une salle de concert, manque de temps... J’avais pas mal tergiversé avant de m’offrir la place, avec les excuses idiotes habituelles : je serais fatiguée en rentrant, le lendemain je travaille…

    Et la soirée fut sublime. Les chansons de Christophe me parlent tout particulièrement, et j’ai passé la soirée avec un mouchoir à la main, les larmes aux yeux… Chaque note, chaque mot m’évoquaient un flot de souvenirs parfaits.

    Un très joli moment en somme :)

    Je vous épargne la seule photo que j’ai faite, avec le téléphone, pas terrible donc…

    Tout cela m’a donné envie de le revoir très vite en concert, et surtout de moins tergiverser pour aller écouter et voir ceux que j’aime dans leurs performances.