Parfois on s'en va, parfois on revient, on pourrait presque en faire une chanson :)
A bientôt !
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Parfois on s'en va, parfois on revient, on pourrait presque en faire une chanson :)
A bientôt !
Quand je ne suis pas sur le blog (à savoir souvent...) je fais parfois un tour sur Twitter, et puis Tumblr. Deux outils dont je me sers très différemment du blog, au sens où je ne mélange pas. J’y croise des blogueurs, mais je ne parle que peu blogging ou blggosphère, voire pas du tout. Par contre, je découvre de ces trucs, du plus touchant au plus ridicule, du plus drôle au plus austère.
Aujourd’hui, j’avais juste envie de partager deux tumblrs qui m’ont fait sourire hier soir, pour des raisons très différentes.
D’abord un tumblr qui regroupe des mecs mignons et des chatons mignons, autrement dit l’alpha et l’oméga de Tumblr (avec les boobs et les gifs de Game Of Throne aussi, n’oublions pas) En cliquant sur les images, vous arriverez sur le tumblr qui les recense.
Rigolo ce concept, non ?
Ensuite, tout autre chose : What Ali Whore, ou le truc qui me réconcilie avec les bloggeuses mode, environ :)
Ali est un vieux monsieur qui aime les fringues et pose avec sa tenue du jour devant le tenancier du tumblr :
Franchement, je surkiffe ses bonnets, casquettes et autre couvre-chefs, et ses poses ! Il est réjouissant ce monsieur.
Bon, je vous rassure, je fréquente aussi des tumblr plus sérieux, plus scientifiques, ou politiques, entre deux gifs de chatons mignons ou de fille poil, je fais mon marché, je panache :)
Du coup, je vous mets l’adresse de mon propre tumblr SCOTOMISATION, mélange de tout ce qui me passe par la tête…
Je ne vous demande pas si pour vous un tumblr ne sert qu’à boire son café dans la rue :)
What Ali Whore découvert via @bertrand_k
Les mecs et les châtons, via je sais plus j'ai pas noté :(
L’expo Edward Hopper s’est terminée la semaine passée au Grand Palais. J’ai eu l’occasion d’y aller trois fois. Une première fois en compagnie, histoire de faire découvrir l’œuvre. Ensuite j’y suis retournée seule, pour prendre le temps de revoir à nouveau ces toiles que j’ai tant aimé de loin, en reproduction uniquement. Et c’était une vraie joie, un moment vraiment génial que celui où l’en rencontre pour la première fois une œuvre en vraie.
Pourtant, il me manquait quelque chose à chaque fois (à part repartir avec un tableau sous le bras…) Cette chose qu’il me manquait, je n’ai pu l’identifier que la troisième fois où je suis allé voir l’expo, la dernière semaine. Cette chose, c’est la solitude, le silence.
Au milieu de l’immense foule de ma troisième visite, je me suis tenu à peu près une heure, avant de repartir, parce que je ne me sentais plus aussi bien que les deux premières fois. J’ai jeté un dernier coup d’œil derrière moi, comme pour dire au revoir au peintre, mais je ne pouvais plus rester. Je me suis retrouvée dans un paradoxe impossible à gérer émotionnellement. Celui de regarder la solitude, le vide, tels que recréés par Hopper dans ses tableaux, cela au milieu de la foule et du bruissement des milliers de commentaires sous cape des autres visiteurs.
Ce n’est pas de l’égoïsme. C’est juste que ce que j’ai toujours aimé et compris dans ces toiles, c’est l’immense détresse et la solitude des cœurs humains, et il m’a semblé presque injuste et irrationnel de n’avoir pas un moment compris que le partage entre l’artiste, l’œuvre et son public, pouvait se faire aussi à distance, par l’esprit et la compréhension.
Je me suis sentie si seule au milieu de cette foule, aussi seule que sur certains tableaux de Hopper, et pourtant de trop aussi. J’avais après tout pris ce que j’étais venu chercher les deux premières fois : la certitude que où que l’on soit, quelle que soit le monde qui nous entoure, nous sommes essentiellement seuls.
Aujourd’hui, juste un petit billet à rappels :)
D’abord le Swap Couleurs. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 8 février encore, les modalités sont à lire dans le billet dédié, il suffit de cliquer sur la vignette :
A tous ceux qui m’ont envoyé le mail pour me confirmer leur inscription, merci, je vous envoie très vite le questionnaire, dès le 9 février.
Il y a aussi le non-concours (je n’ose pas appeler ça un concours, c’est plutôt un jeu de piste à ma sauce ^^)
Pareil, pour jouer, il suffit de cliquer sur la vignette :
Un dernier rappel, pour les vernis addict : toujours plein de vernis OPI et Mavala en vente à prix cassé là :
On se retrouve demain ?
(Et il faut VRAIMENT que je m’attaque à répondre aux commentaires très vite !!)
Bisous :)
Ce premier mois de l’année touche (presque !) à son terme. C’est un mois long, long et parfois pénible : il faut se remettre de décembre, comprendre qu’on entame un nouveau cycle, reprendre le rythme...
Ce mois de janvier est spécial pour moi cette année. J’ai formalisé une décision qui me trottait en tête depuis longtemps, que je pensais être une lubie et qui en fait est la clé de mon épanouissement professionnel.
J’ai aussi accepté le prendre le risque de montrer ce que j’écris, et qu’on ne l’aime pas…. Enfin, si on pouvait aimer, ce serait mieux…
Il y a des voix qui hantent ma tête, des voix masculines, mais très différentes pourtant, et une nouvelle s’est ajoutée à ma liste, celle de Clément Hervieu-Léger (que soit remercié celui qui l’a mise à portée de mon oreille…)
J’ai retrouvé certaines envies, que je croyais enfouies, voire perdues… Envie de plaire, d’aimer et d’être aimée, et ce n’est pas si évident :)
J’éprouve une joie de plus en plus forte à préparer minutieusement le moment du thé, ça n’est pas encore au niveau d’une cérémonie japonaise, mais quel plaisir !
Me promener dans Paris est redevenue un autre de ces plaisir, explorer certains petits quartiers, les ruelles, les arrière-cours discrètes et fleuries…
Enfin, janvier c’est aussi le début d mon challenge bien personnelle, celui qui vise à trouver le plus de moment extraordinaire, je fais un premier bilan mensuel bientôt.
Finalement janvier, même avec son Blue Monday, sera une jolie traversée.