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Oh Océane - Page 143

  • En parlant d'adresse...


    Vous savez ce que j'aime avec ce blog, à part vous,  bien sûr (oui, je vous flatte^^) c'est qu'il m'arrive de temps à autre de recevoir un cadeau, notamment des livres. Et vous savez comme j'aime lire... Bref là j'ai eu la joie de pouvoir lire gracieusement le dernier roman de Harlan Coben « sans laisser d'adresse » paru chez Belfond !

    harlancoben.jpg

    Harlan Coben, je l'ai découvert comme tout le monde, avec « ne le dis à personne ». OMG ce putain de suspens qu'il a su laisser planer jusqu'au dernier paragraphe, quasiment, du dernier chapitre ! Je l'avais adoré ! Et Monsieur Ex qui n'aimait pas plus que ça lire du roman, avait été également emballé ! Il faut dire que Coben ne s'embarrasse pas de fioritures. Ecriture concise, précise, pas d'envolés lyriques inutiles, un style sur de lui et une surtout une maitrise du suspens implacable !

    Donc c'est automatiquement et avec confiance que je lis chacune de ses parutions, y compris la série des Myron Bolitar. Pourtant, là, la première fois j'avoue avoir été dubitative : bah oui un héros principal agent sportif un peu bizarre, entouré de catcheuses et d'une avocate tout aussi space les uns que les autres, je trouvais le mélange trop explosif ou hasardeux pour être réussi. Et puis si : les personnages sont réels, attachants, vivants et leur définitions caractéristiques tout à fait logiques et crédibles.

    Dans cette nouvelle aventure de Myron Bolitar, on retrouve ce dernier dans le rôle de chevalier servant qui lui sied tant, et qui vient en aide à une jeune femme qu'il n'a pas vu depuis plus de sept ans, femme qui sait à qui s'adresser visiblement...

    Bref on suit nos joyeux compères de New York à Paris en passant par Londres, avec les rebondissements d'usage et surtout la plume acérée de maitre Coben !

    Je ne sais pas s'il dirige des master class d'écriture, mais mon Dieu comme je m'y rendrais avec plaisir !

    En attendant, on peut toujours tenter de se rendre à New York déjà ! Et oui, à l'occasion de la sortie du film, un jeu concours est organisé ! Je vous laisse jeter un œil avisé sur le site officiel de Mr Coben click clik. Et puis la page fan de Facebook reclick click !


    Si l'un d'entre vous va à New York, il peut m'emmener avec lui ? S'il vous plait ???!!

    Pour en finir avec les petites infos, j'ai cru lire que cet opus faisait déjà l'objet d'une adaptation pour le cinéma. Je n'ai pas creusé pour voir le casting et le réalisateur, mais miam miam l'acteur qui fera Myron Bolitar, car celui-ci tel qu'il est décrit n'est pas loin d'être un homme parfait !

    Bon mes lapins, vous avez de la lecture, une idée cadeau bouquin pour la fête des Mères ou des Pères ou votre pomme, un jeu à tenter fissa avant le 3 mai pour m'emmener partir  à NYC, et du cogitage sur le casting idéal de ce futur film ! En espérant que toute cette procrastination vous empêchera bien de bosser au bureau !

    Ne me remerciez pas, je suis là pour ça.....

    Et sinon, les éditions Rivages, j'ai plus de lecture là....

     

  • Au septième ciel du plaisir


    Le chiffre 7 continue de me poursuivre. En même temps ça ne me dérange pas, c'est mon chiffre favori. Aujourd'hui il est l'occasion de parler de sept choses que j'aime, à l'invitation de délicat Férocias, Grand Sacrificateur du Soleil, s'il en est.

    Vous parler de ce que j'aime. Vous commencer à le savoir un peu. Mais il y a toujours grande variétés dans mes intérêts, alors n'ayons pas peur de la redite.

    J'aime la beauté : sous toute ses formes. L'esthétisme, les jolies choses. Tout cela provoque des émotions tellement belles et apaisantes. Regarder un tableau de Sir Lawrence Alma Tadema par exemple, peut me tenir en haleine pendant de longs moments, à chercher les détails, la beauté de chaque coup de pinceaux. Ou passer quelques instants à regarder de jolies tasses à thé : acte ô combien inutile mais délicieux. La beauté me ravie.

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    The Finding of Moses - Sir Lawrence Alma Tadema

     

    J'aime lire : cela rejoint un peu les propos précédents. C'est la beauté des mots, leur alignement propre et la musique de la phrase qui est ma motivation première. Parfois une histoire bien simple, sans complication, mais avec une écriture ciselée et belle, voilà qui me suffit et m'enrichit l'âme bien plus qu'une saga compliqué écrite avec les pieds.

    J'aime manger : oui ce n'est pas très glamour tout ça. Peu importe. La bonne chère, savourer un plat, prendre plaisir à savourer des mets, et l'assumer, quelle joie !

    J'aime apprendre : je suis de nature assez curieuse, et je me lance souvent dans des voies qui ne sont pas forcément les miennes, avec plus ou moins de succès, mais toujours avec plaisir ! Il m'arrive de me plonger dans des bouquins de mathématiques, de physique quantique, sans évidemment tout comprendre, mais le besoin est là d'essayer de comprendre. Et rien que ça, c'est un plaisir.

    J'aime écouter de la musique de toute sorte : un de mes plus grands plaisir est d'alterner de grands airs d'opéra et de la musique pop ou des classiques arabes. Le mélange des sonorités, la variété des accords, chaque modulation vient me parler, d'une manière différente. C'est une façon de chercher la joie musicale complète...

    J'aime écrire aux gens : cela arrive de moins en moins, avec nos nouvelles habitudes. Mais j'aime écrire des lettres, avec un stylo plume, sur du papier.... C'est un plaisirs sans pareil. Et si je ne craignais pas de passer pour un genre de folle, je pourrais écrire à certaines d'entre vous, dont j'ai l'adresse, juste comme ça, par plaisir d'aligner les mots, de m'enquérir de vous. Et les lettres d'amour sont les plus belles à écrire.

    J'aime le thé : oui, cela vous étonne, non ? Le thé est la boisson par excellence, tant il y a de saveurs différentes ! Là encore j'aime la variété et chaque origine de thé m'apporte quelque chose !

    Un poème de Théodore de Banville pour nous parler du thé ? Regardez donc :

     

    Théodore de BANVILLE


    Le Thé

    Miss Ellen, versez-moi le Thé
    Dans la belle tasse chinoise,
    Où des poissons d'or cherchent noise
    Au monstre rose épouvanté.

    J'aime la folle cruauté
    Des chimères qu'on apprivoise :
    Miss Ellen, versez-moi le Thé
    Dans la belle tasse chinoise.

    Là, sous un ciel rouge irrité,
    Une dame fière et sournoise
    Montre en ses longs yeux de turquoise
    L'extase et la naïveté :
    Miss Ellen, versez-moi le Thé.


    Alors, l'un d'entre vous me dira ce qu'il aime par-dessus tout ?

     

  • Ce qui rime avec escadrille ne peut être bon


    Gens de la toile, ça ne va pas. Ça ne va pas du tout même je dirais.

    On est à deux Sveltesse chocolat-pistache de l'été et donc tous les magazines féminins (sauf Causette, ouf !) nous abreuvent des conseils saisonniers pour perdre les kilos laissés par les chocolats de Pâques et la galette de janvier entre autres. Bon, tout cet unanimisme me ravit en réalité, juste pour une chose, et une seule : on sent que l'été approche... Mais il y a une autre déferlante qui menace, et qui me plaît bien bien moins.

    Il semble qu'il y ait imminence pour une sorte d'attaque géante d'espadrilles. Oui, tu as bien lu, gens, des ESPADRILLES !!!!

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    Toi qui me lis depuis si longtemps, depuis une éternité, un siècle, deux ans (copyright inside), tu sais mon attirance pour la shoes, la chaussure, le soulier, la pompe, la grolle etc... On ne va pas se faire le dico des synonymes, pas de ça entre nous mon gens à moi. Tu sais ma haute tolérance, voire ma fantaisie en la matière. J'ai même été jusqu'à posséder des tongs (traîtresses sur les rochers bretons, soit dit en passant...). Mais mon bon goût et mon élégance naturelle, ouais, rien que ça, connaissent deux barrières, deux interdits ultimes, THE tabou about the shoes, j'ai nommé la CROC (beurk) et l'ESPADRILLE.

    Oui, tu pourras faire et dire ce que tu veux, y mettre du sigle, du LV, du YSL, du Minelli, du American Vintage, l'espadrille c'est juste moche, synonyme de laid et de pas beau.

    Et depuis une semaine mes yeux me piquent. J'ai fait mon habituel réassort de magazine à la con, de Marie-Claire à Cosmo en passant par le Charançon Libéré, et bordel de tatane, de l'espadrille comme s'il en pleuvait !!!!! Je n'ai rien contre nos amis des Pyrénées, m'enfin bon s'ils pouvaient garder en circuit fermé leur production d'espadrille, je n'en ferais point un deuil. Que nenni.

    Sache lecteur chafouin que je renifle d'ici, que je ne parle pas sans savoir. J'en ai porté de l'espadrille, du temps que j'étais mineure et sous la garde pas toujours éclairée fashionistiquement parlant de mes parents. Qui non contents de m'avoir fait porter des sous-pulls en acrylique et des fuseaux, sous une immonde parka Chevignon de rigueur à l'époque, m'ont aussi « offert » des espadrilles pour trainer l'été. Alors non seulement c'est moche, mais ce n'est pas confortable. Je passais ainsi des heures, les orteils endoloris à rêver sur les escarpins Lanvin de mes magazines de mode, espadrilles honnies aux pieds....

    Pourquoi les bureaux de tendances ont décidé de me faire revivre ces atroces années ? Partout des espadrilles, en toile, en denim, en liberty, en chais pas quoi, mais moche et surtout prometteuses d'ampoules que le plus loyal tube de crème Nok ne saurait empêcher.

    J'ai envie de dire : fuck l'espadrille.

    Tu sais, gens de mon cœur, que la semelle de l'espadrille, ainsi que nous l'apprend Saint-Wikipédia, est composé de chanvre. Du chanvre. Repeat after me : du chanvre. Outre que j'aurais des idées d'utilisation autrement plus réjouissantes pour ce fameux chanvre, quelqu'un peut me dire pourquoi un produit qui est interdit dans le cadre d'une utilisation un peu psychotrope et joyeuse, est autorisé dans le cadre d'une utilisation d'enlaidissement du pied ? Que fait la police ? Au lieu de s'embêter à faire des descentes à Tremblay-en-France pour démanteler les trafics de cigarettes qui font rire (grâce à l'aide précieuse d'Emmanuel Chain), la police devrait s'intéresser à cette plaque tournante de l'espadrille au Pays Basque ! Des tonnes de chanvre pour des tonnes d'espadrille ! Ça mérite au moins du ferme pour les responsables !

    Si tu veux rejoindre le comité pour l'abolition et la destruction de l'espadrille, envoie moi un chèque et résiste !

    Non mais sans rire, des espadrilles.....

     

  • Seven, I'm in seven....

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    Seven, I'm in seven...

    Yes, I'm back, enfin j'étais pas très loin, juste très occupée, mais je promets de passer te lire.

    Ok j'ai déjà fait le jeu de mot, heaven, I'm in heaven, une fois, il y a fort longtemps....

    Mais c'est pour la bonne cause ! Ma douce biche de Banfora, Angie, si tu préfères, me demandait il y bien longtemps (un peu trop même) d'avouer sept choses que vous pourriez ignorer sur moi... Sept ! Comment faire, moi qui ne suis que transparence et épanchement ?

    J'essaie tout de même.

    Or donc :

    -Je pratique la magie, la divination et la sorcellerie. Oui. Rien que ça. Faudra que je t'explique un jour, plus précisément. Mais oracle divers, oui-ja et runes sont mes amis... Papus est un maître pour moi !

    -J'ai été présenté à deux concours généraux différents, Philosophie et Histoire. Ce qui en soit est déjà un honneur, je l'ai pourtant mal vécu, car à chaque fois je n'ai eu que des accessits : toujours mon éternel manque de rigueur...

    -Je ne distingue que difficilement et depuis peu, ma gauche de ma droite...

    -La sardine est pour moi un ennemi total : son idée même me donne envie de vomir tripes et boyaux...

    -Je suis superstitieuse et pleine de (mignons) rituels que ne renierait pas Adrien Monk.

    -Je déteste le main stream, j'aime faire comme il me plait et surtout venir en aide aux ambulances, au lieu de tirer dessus.

    -Je manque énormément de confiance en moi, à un point que tu n'imagines même pas. Et je suis extrêmement timide. Ce qui de facto me conduit à faire des choses parfois trop audacieuses. Va comprendre.

    Je ne désigne aucune victime expiatoire, puisque ces questions ont fait plusieurs fois le tour du web, à moins d'une âme consentante ?

    Je vous ai dit que j'avais du retard de tag ? Du coup j'y vais, je ne m'attarde pas....

     

  • Petite pause (sans kit kat )

     

     

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    Bonjour ou bonsoir mes loupiots.

     

    Je fais un passage rapide pour dire que je serais probablement assez indisponible les prochains jours. Donc pas de véritables notes ici cette semaine je pense. Et surtout ne me tenez pas rigueur de ne pas venir vous lire, je n'aurais vraiment pas le temps !Des petites choses à régler.

    J'espère ne pas m'absenter plus de quelques jours, c'est que vous me manquerez.

     

    Je vous laisse avec Cécile Sauvage :


    Le coeur tremblant, la joue en feu

    Le coeur tremblant, la joue en feu,
    J'emporte dans mes cheveux
    Tes lèvres encore tièdes.
    Tes baisers restent suspendus
    Sur mon front et mes bras nus
    Comme des papillons humides.
    Je garde aussi ton bras d'amant,
    Autoritaire enlacement,
    Comme une ceinture à ma taille.


    Et Véronique Sanson.

    Ma révérence:

    Quand j'n'aurai plus le temps
    De trouver tout l'temps du courage
    Quand j'aurai mis vingt ans
    A voir que tout était mirage
    Je tire ma révérence
    Ma révérence

    Quand mon fils sera grand
    Qu'il n'aura plus besoin de moi
    Quand les gens qui m'aimaient
    Seront emportés loin de moi
    Je leur tire ma révérence
    Ma révérence

    Et ma vie, endormie, doucement
    Et mon cœur sera froid
    Il ne saura même plus s'affoler
    Il ne deviendra
    Qu'une pauvre horloge à réparer
    Il n'aura plus de flamme
    Il n'aura plus de flamme
    Il n'y aura plus de femmes

    Et mes amis fidèles
    Auront disparu un à un
    Trouvant que j'étais belle
    Que j'aurais bien fait mon chemin
    Alors j'aurai honte de mes mains
    J'aurai honte de mes mains

    Quand j'n'aurai plus le temps
    De trouver tout l'temps du courage
    Quand j'aurai mis vingt ans.
    A voir que tout était mirage
    Alors j'entends au fond de moi
    Une petite voix qui sourd et gronde
    Que je suis seule au monde.





     

    Ne soyez pas sages surtout.


    Я люблю тебя (YA lyublyu tebya)