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Armoires et Miroirs

  • Douceur et nutrition au menu du jour

    Dans ma quête perpétuelle de la peau la plus douce possible, voici mes trois produits chouchous du moment. Trois découvertes pour moi, peut-être pas pour vous ! J’avoue être assez infidèle : j’aime changer et tester de nouveaux produits de beauté, même si ceux que j’utilise me conviennent déjà.

    Cette semaine, deux coups de cœur et une petite déception.

    Premier coup de cœur avec l’huile soin de l’eau à la verveine du Maroc, de la très jolie et naturelle marque Les Sens de Marrakech. Je ne sais pas si vous êtes passés à côté, mais il y a comme une mode des soins à appliquer sous la douche et puis à rincer ensuite. La casse-pied que je suis était assez réfractaire à ce changement d’habitude : utiliser un soin hydratant sous la douche et non pas après. Je ne voyais pas trop la logique ni l’efficacité. Rien de mieux qu’un usage prolongé pour en savoir plus. J’ai donc pu me faire ma propre idée, avec ce joli flacon, qui promet un vrai soin nourrissant sous la douche. Premier truc : Dieu que ça sent bon ! Il faut dire que moi, n’importe quoi à la verveine je l’aime d’amour. Cette odeur fraîche et citronnée, c’est tout ce que j’aime. Bon point. Première douche, je me lave, voilà vous connaissez le concept je pense ^^ et puis une fois toute propre j’applique cette huile qui sent bon (elle sent TRÈS bon) et ensuite je rince. Et là, je me dis, si je rince, il en reste quoi ? Bon, donc je rince, je me sèche et là, miracle, la peau est douce et sent bon la verveine. Je pige pas trop comment c’est possible, mais l’effet douceur est là (ok, je suis butée, un truc qui est rincé est censé disparaître pour moi…) Et je commence à comprendre l’engouement de certaines pour ce type de produit : une fois que tu es sortie de la douche, tu peux t’habiller direct, sans coller de partout. C’est un bénéfice non négligeable. Et cette odeur de verveine… Divine. Mais je me répète :) Sur le long terme, j’ai constaté un fini de douceur très agréable sur la peau, moins de sécheresse, surtout au niveau des cuisses (à cause du port trop régulier de jeans..) et donc c’est plutôt une bonne surprise pour moi. Pour ceux qui n’aiment pas l’odeur de la verveine (les fous), l’huile soin de l’eau existe dans une déclinaison à la fleur d’oranger, ainsi qu’à l’ambre et au musc. J’ai très envie de tester la version fleur d’oranger, c’est une odeur que j’aime aussi beaucoup et qui me rappelle fatalement les vacances.

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    Je souligne tout de même le plus important : l’huile soin de l’eau, comme le reste des produits Les Sens de Marrakech, est à base d’ingrédients naturels, notamment l’huile d’argan du Maroc. C’est aussi ça qui justifie mon coup de cœur. Et cette divine odeur de verveine !

     

    Autre coup de cœur, chez Bioderma cette fois : l’eau apaisante et rafraichissante Hydrabio Brume. J’étais dans ma parapharmacie préférée, histoire de faire le plein de Serozinc (un truc dont je ne peux me passer), quand, je ne sais pourquoi, je me suis dit tiens change et prend une autre eau pour une fois…. Le matin, après m’être lavé le visage (oui je me lave le visage matin et soir et non je ne suis pas folle), donc après m’être lavé le visage, je m’asperge avec une eau hydratante. J’alterne entre un brumisateur d’eau d’Évian et donc le fameux Serozinc, qui a pour vertu de calmer ma peau sensible. La brume Hydrabio de Bioderma est aussi apaisante que je le souhaitais : il faut dire qu’à Paris et autour, l’eau du robinet est très calcaire et desséchante, d’où la nécessité d’une eau plus apaisante après la douche. Et comme on va vers un temps de plus en plus chaud (enfin je l’espère pour cet été...) j’avais aussi besoin d’une eau à vaporiser tout au long de la journée. Alors, j’ai acheté la version classique de cette brume Hydrabio, pour pas cher du tout, dans les trois euros, mais j’ai vu en fouinant sur le site de la marque qu’elle existe en plus avec un spf 30 : je la veux ! J’ai déjà parlé de mon obsession des spf en ville, surtout l’été ! Bref, j’ai à peine entamé ce flacon, mais je sais que je ne vais pas tarder à acquérir la version avec spf 30. Quitte à se pshitter de l’eau sur le visage, autant qu’elle soit multifonction.

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    Bon, après cet usage hasardeux du non moins hasardeux verbe « pshitter », passons à la petit déception. Celle-ci concerne un baume pour les lèvres de chez Sanoflore, vivement conseillé par la dame de la parapharmacie pour remplacer mon baume rêve de miel de Nuxe. Bien mal m’a pris de l’écouter. Il faut dire qu’il y avait un genre d’opération promo sur les produits Sanoflore et je crois bien que la dame voulait faire son chiffre… bref, ce baume s’appelle Baume Lèvres Nourricier, et bien laissez moi vous dire qu’il ne nourrit pas grand-chose. Il a tout les inconvénients du Nuxe : gras et collant, sans l’effet vraiment repulpant du Nuxe. Le matin, c’est à se demander si on a vraiment mis un baume hydratant avant de dormir. Comme dit la chanson, pour tout autre chose, il n’y a que les draps qui s’en souviennent. Navrée pour cette métaphore érotico-musicale, mais franchement c’est ça. Le baume colle au drap, et hydrate que dalle question bouche. Pour un produit assez onéreux au gramme, c’est dommage. J’ai l’impression en plus que le produit n’est plus commercialisé depuis mon passage à la parapharmacie : il ne me manquera pas !

     

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    Allez, la prochaine fois, je parlerai vraiment manucure :)

  • La crème de la crème - Daylong et Weleda

    Winter is gone, quoi qu’en pense la météo actuelle. J’attendais des jours meilleurs pour parler de choses un peu futiles, mais vitales, sauf que les jours meilleurs, on les attend encore, il pleut, il pleut, c’est moche. Heureusement qu’il reste les tubes de crème pour nous remonter le moral. Je prêche peut-être pour ma propre chapelle, mais ça ne vous le fait pas à vous, ce petit plaisir d’ouvrir un nouveau tube de crème comme on découvre une nouvelle friandise ?

    Voilà trois de ces petites « friandises » de soins, que j’ai testé les derniers mois. Deux coups de cœur et une grosse déception.

    On va commencer par ce qui a été mon coup de cœur de la fin d’hiver : la crème Daylong, des laboratoires Galderma. Tous les ans, à l’approche de l’été, ou simplement quand il y a exposition solaire intense (comme le soleil d’hiver en montagne par exemple), je n’ai qu’une seule crainte, une mauvaise réaction de ma peau. Je souffre de lucite, depuis presque toujours, et je me traine en plus un petit melasma sur un côté du front, invisible la plupart du temps, mais qui s’assombrit en cas d’exposition solaire. Autant vous dire que je mets des chapeaux et que je ne lésine pas sur la crème solaire en vacances. Mais en fait, le soleil est là en permanence : oui je sais, quel scoop ! Et en ville, pour tous les jours en gros, j’avais ce souci de trouver une crème, avec un SPF suffisant pour me protéger et pas chopper un brunissement du melasma en plein hiver ou un début de lucite dès avril. La plupart des crèmes de jours actuelles contiennent un SPF, mais qui n’est jamais à plus de 20 ou 30, du moins je n’ai jamais vu plus. Le SPF en gros c’est le degré de protection des UVA/UVB. Et honnêtement se tartiner de crème solaire en ville, avec ce que ça a de collant, blanc et moche, très peu pour moi... Bref, la prise de tête.

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    La crème solaire Daylong, je l’ai essayé deux mois : temps nécessaire pour moi pour juger de son efficacité. Ce qui m’a incité à l’essayer, c’est un SPF 50 et une texture légère, qui a priori pouvait me convenir au quotidien. Perfect match. Pour vous expliquer, le matin, je mets un sérum, ensuite ma crème de jour, et enfin la protection solaire : vous imaginez bien que tout ça doit être léger léger pour ne pas asphyxier la peau. D’où l’énorme coup de cœur à l’usage pour la Daylong. Légère, fluide, qui pénètre vite et bien, bref du rêve en tube. Coup de cœur qui s’est confirmé au fil des jours, en ne voyant ni début de lucite, ni brunissement de melasma à l’horizon. Ma dermato m’avait expliqué que le souci avec un melasma, c’est qu’on peut penser en être débarrassé, et il suffit d’un coup de soleil pour le voir réapparaitre plus foncé que jamais… Je suis donc très attentive au sujet. Bref, j’ai trouvé le SPF que je peux utiliser au quotidien en ville, sans retouche et sans souci pour dix à douze euros environ. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais le soleil est en général mauvais pour toutes les peaux, même celles qui ne souffrent ni de lucite ni de melasma : il accélère le vieillissement. Autant vous dire que je recommande la Daylong à tout le monde depuis que je m’en sers. J’en suis au troisième mois d’utilisation et tout se passe bien : si bien que je regrette qu’il n’y ait pas un peu plus de soleil !

     

    Autre coup de cœur, la crème aux plantes médicinales de Weleda. Un joli tube tout vert qui sent bon les herbes citronnées quand on l’ouvre. N’ayez crainte du greenwashing : Weleda suit des process rigoureux depuis des décennies pour offrir des produits les plus naturels possibles et les plus respectueux de la Nature et des Hommes. J’ai acheté ce tube dans ma pharmacie habituelle parce que je cherchais une sorte de crème doudou, l’hiver m’ayant laissé bien asséchée et abimée, sur les joues et les mains. La crème aux plantes médicinales est une sorte de crème à tout faire, un peu comme la crème de huit heures d’Elizabeth Arden, que j’adorais, mais dont je ne supporte plus l’odeur ! La concurrence était rude quand même. Mais Weleda l’a relevé avec brio. La texture baume et le parfum léger, tout est parfait et surtout je suis venue à bout des petites zones sèches qui m’agaçaient, rien que sur les mains elle a fait merveille très vite. Pour six euros, c’est une crème que je vais utiliser et réutiliser sans modération.

     

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    Pour finir, grosse déception avec le réparateur apaisant de Dermophil Indien. C’est une marque de parapharmacie que j’aime bien habituellement, donc quand j’ai vu ce soin intensif destiné à réparer les gerçures et les crevasses, je me suis dit que ce serait parfait pour mes mains trop sèches en hiver. Et bien que dalle, walou, rien : j’ai réussi à vider la moitié du tube en vain. Pourtant je n’avais pas la moindre gerçure ni crevasse, juste des mains trop sèches, notamment sur les côtés des paumes. Outre une odeur trop forte et pas géniale, cette crème n’a rien soigné du tout. Un essai, un ratage, je n’en rachèterai jamais.

     

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    La prochaine fois, si tu es sage, on parlera manucure (oui, je sais que tu as hâte)

  • Déjà deux mains

    Hier j’ai donc commencé à vous parler de ce sujet sensible, non pas le nouvel album de Francis Cabrel, mais mes ongles.

    Avec la situation catastrophique de départ, j’ai procédé en deux phases : l’urgence, et la routine. Hier, je vous ai montré les produits que j’ai utilisés en guise de trousse d’urgence, et franchement en huit/dix jours il y a eu du mieux, notamment grâce au Bouclier de l’ongle de Mavala.

    Ensuite, je dois dire que je suis du genre à prôner le changement régulier de produit, histoire de renouveler les effets positifs de chacun. Chaque soir j’applique une crème, ou bien une huile, spécifique pour les ongles et cuticules, et je change donc régulièrement de produit. Mes préférés restent quand même Nailactan, de Mavala, qui fait des merveilles sur les ongles très abîmés, et Apricot, de Essie, qui est une huile nourrissante d’une redoutable efficacité, même sur les cuticules les plus sensibles.

    Puisque nous sommes chez Essie, restons-y :

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    A côté de l’huile Apricot, j’utilise régulièrement, en guise de soin, Fill The Gap (qui lisse les ongles striés) en alternance avec Millionails (un soin fortifiant à base de fibres et de fer).

    Pour l’instant je ne mets plus de vernis, j’attends une belle repousse et surtout un renforcement des ongles. Mais quand j’utiliserai du vernis à nouveau, Help Me Grow servira de base, pour éviter notamment une coloration de l’ongle par les vernis.

    Et là on arrive à un souci qu’on a tous plus ou moins connu : l’ongle qui devient jaune.

    C’est moche, hein ?

    SED NON FATUM EST (Coucou Najet Vallaud-Belkacem)

    Il n’y a pas de fatalité même je dirais.

    Le jaune est une couleur que j’adore, mais pas sur l’ongle (enfin sauf si c’est un vernis)

    Bref, non au jaunatrisme de l’ongle. Comment le combattre ?

    Et bien comme nous l’apprennent les russes qui soignent la gueule de bois avec une petite vodka, je dirais qu’il faut combattre le mal par le mal, et le jaune par le jaune.

    Jaune citron, même.

    Oui, le bon vieux truc de mamie : se frotter les ongles avec un citron frais, ou bien un reste de citron, une fois que l’on aura pressé son jus dans la vodka précitée.

    Mais tu peux zapper la vodka, c’est toi qui décides, avec modération et une olive pour moi.

    Donc, le secret de mamie. Enfin, pas la mienne, mais une sorte de Mamie universelle et idéalisée, celle qui donne les bons conseils et fait des cookies sans gluten, sans sucre, sans lactose et sans cookies, THE Mamie.

    Sauf que la Mamie, elle oublie de dire un truc, avec son citron frais : ce n’est pas une fois de temps en temps, c’est avec une putain de fichue RÉGULARITÉ qu’il faut se frotter les ongles au citron.

    Hors, nous n’avons pas toujours un citron frais à portée de main (et sincèrement, la vodka c’est meilleure nature).

    Donc toujours NON FATUM et soyons sérieux deux secondes nous sommes en 2015 tout de même, soyons moderne et superflu avec une touche de hippie/bobo/root/chic, et on se fait un joli cadeau, pas cher et utile : de l’huile essentielle de citron (bio), une boite de bicarbonate de soude. Je vais partir du principe que tu as un bol, de l’eau chaude à portée de bouilloire (modernisme on a dit), et on y va.

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    Un peu d’eau chaude, quelques gouttes d’huile essentielles de citron, une demi-cuillère à café de bicarbonate de soude, on touille avec ses doigts, et on plonge ses mimines quelques dix minutes. Et cela une fois par semaine minimum (et jusqu’à deux fois si c’est vraiment moche)

    Ensuite, patience et longueur de temps font plus que force ni que rage a dit le poète (non, pas Kendji Girac) (pas Maitre Gims non plus, cherche encore). Alors tu patiente, et tu fais le soin régulièrement. Et tu auras des jolis ongles nacrés, et pas tout jaunâtres. D’autant plus que tu auras pensé à arrêter de fumer, n’est-ce pas ? Et surtout, surtout : TOUJOURS METTRE UNE BASE PROTECTRICE AVANT LA PREMIÈRE COUCHE DE VERNIS (sinon le vernis va colorer l’ongle que tu t’échines à déjaunir).

    Si tu veux rendre hommage à ta mamie et à ses bons conseils, tu peux remplacer le bicarbonate de soude par ça :

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    Oui, la mythique pastille à dentier est idéale pour déjaunir les ongles. Mamie est partout.

    Enfin, pour en finir avec cette petite aventure ongulaire, il va de soi que la première des choses est d’avoir un mode de vie sain (pas trop de vodka, semble-t-il), manger de tout afin d’avoir les apports nécessaires en vitamines et minéraux, et éviter de regarder les émissions de Cyril Hanouna.

    Pour ma part, j’aime faire deux à trois fois par an une cure de levure de bière, ça fait du bien aux ongles et aux cheveux.

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    Pour info tous les produits présentés ont été achetés par mes soins, mais la dame du Beauty Monop m’a à la bonne et m’a filé des limes en cartons gratos : c’est pas la gloire ça ?

    (Mais je suis frustrée, je n’ai pas assez dit cuticules aujourd’hui.) (Cuticules.) (Cuticules.)

     

    Reviens demain, il est possible qu’on se donne des airs d’intello, pour changer de l’ongle.

     

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  • A deux mains

    L’hiver dernier a été un peu fatal pour mes mains. Sécheresse cutanée, ton univers impitoyable. Mais encore, ça n’est pas si grave : de la crème hydratante, des gants, quelques nuits à dormir comme ça au risque de briser votre couple et tout s’arrange (surtout qu’avec mon célibat j’ai guère de scrupules à dormir les mains pleines de crème dans des gants en non-tissé, mais ceci est un autre débat)

    Le vrai souci c’est : les ongles ! Tu sais, ce truc qui arrive à être à la fois mou, cassant, strié, moche et moche quoi, et la seule envie qu’il y ait est celle qui l’entoure. D’ailleurs je n’ai jamais compris qu’on appelât ces petites peaux moches des envies (ça aussi, c’est un autre débat)

    Bref j’ai pris le taureau par les cornes et les ongles par la cuticule : investissement, soin, investissement, soin, soin, soin, tous les jours ma bonne dame (et la vaisselle avec des gants Mappa (j’envoie du rêve) (oui je n’ai pas de lave-vaisselle) (ne me juge pas).

    Je crois que la conseillère du stand Mavala au Beauty Monop m’a adorée :

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    De fait leurs produits sont efficaces et pas hors de prix. La crème cuticules est divine, et m’a vraiment satisfaite. Les cuticules dures, c’est fini.

    Je crois que je n’ai jamais autant dit cuticules de ma vie.

    Les autres produits sont en cours de test, mais cela commence bien, je le sens (oui j’ai une putain de bonne connexion avec mes ongles, on se parle sans les mots, pas toi ?) (Ne me juge pas, pas encore)

    Sinon, j’ai cessé de mettre du vernis pour le moment, le temps de tout réparer. Par contre, bonjour l’huile de ricin et le Miracle Cure de Sally Hansen :

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    Alors je ne sais pas grand-chose sur Sally Hansen, si elle est sympa ou blond ou de droite ou de la famille de Helly Hansen, mais en tout cas son Miracle Cure est un sacré bon produit ! (Oui, j’aurais pu dire miraculeux, mais bon, c’était facile). Une application pendant une semaine et l’effet est là.

    Quant à la peu glamour huile de ricin, elle compense son manque de sexy par une efficacité de killeuse. Sauf qu’elle ne tue pas. Et c’est connu ce qui ne tue pas nous rend plus fort (là, tu peux me juger)

    Je suis infiniment contente de partager ce moment de bonheur ongulaire.

    Passe un bon weekend (bon, si tu viens demain, on causera pas forcément d’autre chose, désolée)

     

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  • Time-Filler Eyes et considérations diverses sur la beauté

    Quand j’avais quinze ans, je n’aurais pas songé une seconde me passionner pour des crèmes, onguents et autre produits de beauté. Il y a eu un passage peut-être à seize ans, avec l’achat du premier rouge à lèvres, je me souviens, chez Monoprix, avec deux copines, un Gemey je crois, un tube de rose que je trouverais trop nacré aujourd’hui. Je ne sais pas ce qui s’est passé cette année-là, mais je sais que je passais pas mal de temps le nez plongé dans Cosmo, Marie-Claire, Elle, et à rêvasser de cosmétiques. Et cette année-là, je me suis offert un poudrier Estee Lauder, un petit bijou doré, que je possède encore.

    J’ai toujours peur de faire hurler mes amies féministes quand je parle cosmétique, tant certaine d’entre elle y voient une soumission à des diktats. Certes. J’essaie, comme je peux, d’expliquer que j’aime ces choses essentiellement pour moi, pour me plaire, parce que j’aime prendre soin de moi, et non pour plaire à autrui (je dirais que c’est seulement la cerise sur le gâteau !)

    Ce qui m’amuse, c’est que les hommes ont fini par succomber à l’attrait des petits pots de crèmes, des patches magiques et du masque raffermissant :)

    J’en veux pour preuve mon ex, qui a réquisitionné mes patchs masques défatiguants Eye-Recover de Filorga. Il faut dire qu’il en a apprécié l’efficacité, ceci explique cela : l’ex étant scientifique de formation, il aime que la rationalité du résultat vienne à son secours :)

    J’ai donc fait en sorte qu’il ne mette pas la main sur cette petite merveille, le Time-Filler Eyes :

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    Passé trente ans, la nature est une amie de plus en plus déloyale, et il faut prêter attention à chaque détail. Le Time-Filler Eyes est plein de promesses : estomper les cernes et les rides au coin des yeux, agir sur le relâchement des paupières, et redonner de la densité aux cils, rien que ça.

    J’ai passé une petite dizaine de jours, ou plutôt de soirées, à soigneusement masser le contour de mes yeux avec cette crème. Je n’étais pas très enthousiaste à l’idée de tartiner aussi les paupières, mais bon, je me suis dit qu’une fois ne serait pas grave, et j’ai bien fait.

    L’application est agréable, il faut simplement faire attention à mettre très peu de produit (c’est économique, je ne vais pas me plaindre…)

    Au matin, sensation très agréable, le regard s’ouvre sur un contour des yeux lumineux, et c’est déjà pas mal. Au bout de quelques jours j’ai ressenti un effet concret sur les petites cernes creuses, et sur les ridules du coin (la vie est une traitresse vous-dis-je !). Pour la densité des cils, je ne peux rien dire de concret encore, mais si le reste fonctionne bien, cela me convient. J’ai noté aussi que le maquillage tenait mieux sur la paupière, car elle est retendue je suppose.

    En tout les cas, j’aime la fraicheur de mon regard le matin.

    Le petit pot de 15ml (format habituel pour les crèmes yeux) coute entre 30 et 40€ selon l’enseigne de parapharmacie, et dure au moins trois mois.

    Je me demande quel crème a utilisé la Belle au Bois Dormant pour se réveiller fraiche comme une rose au bout de cent ans ?

    La prochaine fois que nous parlerons beauté, je crois qu’il s’agira de vernis :)

    Demain, la poésie sera de nouveau au rendez-vous.

    Bon week-end et soyez fous.

     

    Tip du jour →Filorag, time filler eyes, crème pour les yeux, beauté