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Oh Océane - Page 137

  • Il y a quelqu'un ?

    Hello mes agneaux. Nous voilà au creux de l’été, et cela fait un bon mois que nous ne nous sommes parlé. La faute à un planning surchargé (eh oui, je ne suis pas la feignasse que l’on pourrait croire…) mais pas seulement.

    D'abord, merci pour vos voeux de bon anniversaire, cela m'a beaucoup touchée, et soyez-en tous remerciés !

    L’été n’est pas forcément la période que je préfère. Bien que née au sud de la Méditerranée, je suis à mon top avec une température extérieure de 21-23 ° maximum…. Au-delà c’est la canicule, mon cerveau se liquéfie et je ne me sens bonne qu’aux tâches mécaniques et imposées.

    Bref, voilà donc un billet pour m’encourager à me repencher sur cette blogosphère que j’aime bien, relire vos billets aux uns et aux autres, retisser ce lien particulier…

    Doucement refaire les pas, la promenade quotidienne qui me laissait de jolies pensées pour la journée…

     

    Alors qu’ai-je fait durant ce mois écoulé, à part les obligations obligatoires obligées ? Pas grand’chose… De la lecture, et mon Dieu pas toujours de celles qu’on se sent tenu de vanter, mais bon, pas de chichis entre nous, hein…

    Je me suis fait la semaine dernière une overdose de chick litt.

     

     

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    Que ce soit clair, je ne me permettrais d’en conseiller aucun des quatre. Le fait est que chaque récit était bien ficelé, avec une gentille histoire et une incontournable happy end. Je les ai achetés et lus avec plaisir, enfin avec le même plaisir que l’on prend à savourer une boisson pleine de bulles rafraîchissantes ! Mais est-ce suffisant ? La bulle est légère, légère, elle s’envole vite… C’est un peu de la fast littérature, vite lue, vite oubliée… Mais loin d’être désagréable…

     

    Avant de vous quitter pour ce jour, j’aurais une insigne faveur à vous demander. Voilà, mon fils n’a jamais eu de doudou, mais à quatre ans il s’est pris d’affection pour lui :

     

     

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    C’est Pioupiou, un poussin en porcelaine, que j’ai du avoir en guise de décoration sur un gâteau vers Pâques…

    Pioupiou a eu une première fois une petite mésaventure, il est tombé, je l’ai soigné recollé. Mais la semaine passée, il a encore eu une chute malencontreuse, et il devient plus compliqué à soigner.

    Si l’un d’entre vous sait où je peux me procurer son jumeau, je lui en serai éternellement reconnaissante. Mon fils tient vraiment à son « bébé »…

     

    Merci de votre aide !

  • Chaque heure fait sa plaie et la dernière achève

     

    Remercions Théophile Gautier de nous apporter sa lumière pour le titre du jour :)

     

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    Aujourd’hui est un jour spécial, puisque administrativement, chronologiquement, tout ça quoi, j’ai un an de plus. Chouette. Bref.

    Qu’ai-je fait depuis l’an dernier ? Que faisais-je l’an dernier à la même époque ?

    J’avais des envies, des lubies, des projets, des croyances naïves. De manière amusante, tout, absolument tout s’est effondré, rien ne s’est déroulé comme prévu. Ce n’est pas grave c’est la vie. Mais du coup, je me demande finalement ce que signifie « fêter son anniversaire ». Je sais, je suis chiante. Je pourrais convoquer mes copines les plus proches, faire un gâteau, etc.… mais bon, non. Je préfère en général réfléchir à des trucs nuls, pas drôles, à me demander pourquoi finalement je n’ai pas eu la fête surprise avant de me rappeler mes menaces de tuerie généralisée si quiconque s’y essayait, à une fête surprise…

    Bon, sinon, aux anniversaires j’aime bien faire un bilan : hou que c’est original, non ?? Bref là, les trucs auxquels je tenais :

    -Passer mon permis : j’ai eu le code… la conduite attend.

    -Finir mes ouvrages d’écriture en cours : presque, presque….

    -Avoir un autre enfant, peut-être : bah voilà…Bref.

    -Etre adulte enfin : je crois que oui ça c’est fait !!!

    Et puis c’est tout je crois.

    Qu’est ce que je souhaite pour l’année qui vient ? Rien de spécial, que de faire ce que j’ai à faire au mieux qui se puisse être.

    Allez à demain !

     

     
    Le pont Mirabeau

    Sous le pont Mirabeau coule la Seine
    Et nos amours
    Faut-il qu'il m'en souvienne
    La joie venait toujours après la peine

    Vienne la nuit sonne l'heure
    Les jours s'en vont je demeure

    Les mains dans les mains restons face à face
    Tandis que sous
    Le pont de nos bras passe
    Des éternels regards l'onde si lasse

    Vienne la nuit sonne l'heure
    Les jours s'en vont je demeure

    L'amour s'en va comme cette eau courante
    L'amour s'en va
    Comme la vie est lente
    Et comme l'Espérance est violente

    Vienne la nuit sonne l'heure
    Les jours s'en vont je demeure

    Passent les jours et passent les semaines
    Ni temps passé
    Ni les amours reviennent
    Sous le pont Mirabeau coule la Seine

    Vienne la nuit sonne l'heure
    Les jours s'en vont je demeure

    Guillaume Apollinaire "Alcools" - 1913
      
  • Au fond du Val on y l'Hees son honneur

    On a beaucoup parlé de France Inter ces temps derniers, dans la presse papier, sur les blogs. Il y a eu des pétitions à signer, des endroits où manifester. Je n’ai fait ni l’un ni l’autre. Pourtant j’adore France Inter. Non, ça ne veut rien dire « j’adore ». France Inter est MA radio depuis l’enfance. Je n’ai hélas pas la mémoire exacte de toutes les émissions, mais je sais que chaque moment de ma vie, ou presque, a été accompagné de cette station. Dieu sait qu’il y en a eu des changements. Plus tard je vous reparlerais de mes souvenirs de radio et pourquoi France Inter est aussi capitale dans ma vie.

    Pour l’instant revenons à l’affaire de ce début d’été. Guillon, Porte, et les autres. Oui les autres. Le duo sinistre Hees-Val fait bien des victimes, pas seulement mon chouchou Didier Porte et Monsieur Guillon. Non, les Roux et Combalusier du dégraissage d’antenne, ne font pas dans le détail. C’est toute une grille qui est bouleversée, jetée aux quatre vents. La grille efficace d’une station en bonne santé, qui ne justifiait pas de tels bouleversements.

    Guillon et Porte ne sont que le sommet de l’iceberg. Pour en finir avec ces deux-là, je suis étonnée que des gens soient étonnés de leur éviction. Val depuis une bonne quinzaine d’années, opère un cheminement sûr et réel vers une espèce de néolibéralisme opportuniste, habillé maladroitement encore de ses oripeaux d’ancien « gauchiste ». Val a mis du temps à montrer son véritable visage, mais déjà quand il avait repris Charlie Hebdo, ses méthodes de patron auraient fait la joie de Ernest-Antoine Seillière et de Laurence Parisot réunis. La façon qu’il a eue de provoquer, oui, provoquer des crises au sein de ce journal que j’affectionnais pour sa liberté de ton, ont réduit cet hebdomadaire à l’ombre de lui-même. L’épisode Siné n’était qu’un épisode parmi tant d’autres. Comme de laisser de manière vulgaire et outrancière une tribune de choix à Richard Malka pour que ce dernier traîne dans la boue Denis Robert. Et oui Malka, BDiste à ses heures, est aussi l’avocat de Charlie Hebdo ET de Clearstream, vous savez, la chambre de compensation qui sert surtout à échanger des flux d’argent en toute discrétion. Denis Robert subit une vraie chasse à l’homme juridique, ruinante financièrement et moralement, pour avoir enquêté sur cette sombre boîte. Et Malka, l’avocat de Clearstream a pu bénéficier des colonnes de Charlie pour éructer sur ce vilain vilain Denis Robert.

    Bref, Val ne comprend que les enjeux du pouvoir et ne sait que se tourner vers la lumière qui brille, aussi bling bling soit-elle….

    L’éviction de Guillon et Porte, qui ne cachent pas leur anti sarkozysme, est donc dans sa logique.

    Mais il ne s’arrête pas là, le duo de fous. Kathleen Evin, voit son sort vaciller. Eric Lange est remercié, ainsi que Philippe Debrenne et son « Dormir Debout », qui m’accompagne dans mes nuits blanches depuis des années… Et Marjorie Risacher, et François Morel, et « Esprit Critique », bref, c’est un sabordage en règle… Sans aucune raison, que celle de vouloir imprimer sa patte et faire son petit chef à deux balles.

    Voilà ce qu’ils sont, des petits patrons de merde, qui emmerdent leurs employés, lesquels ont voté la défiance envers eux.

    Et à Hees, spécialement, qui sait ce que c'est que de se faire débarquer sans crier gare pour complaire aux gens de pouvoir, et qui ose cette sortie dans Le Monde à propos de Stéphane Guillon, Didier Porte et François Morel: « Je considère que cette tranche d'humour est un échec. Elle a montré une grande misère intellectuelle dont je ne m'accommode pas. Il n'y aura pas de changement d'horaire ni de remplaçants ». Il ferait bien de se pencher sur sa propre carrière et ses vissicitudes.

    La Roche Tarpéienne est proche du Capitole.

     

    La parole à François Morel, qui résume si bien ce que je n'arrive pas à exprimer.


    Bref, je suis dégoûtée.

  • Hé ho !!!

    Mes agneaux je reviens bientôt de cette pause blogguesque, mais j’en avais besoin ! J’espère que vous allez tous bien, j’aperçois certains d’entre vous sur twitter, mais vous me manquez !

    J’ai ouvert mon lecteur de flux, 256 articles non lus…. Vous ne m’en voudrez pas si je ne remonte pas vos blogs respectifs, hein ? Promis ?

    Bises, à demain !