En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Comme j'ai une vie palpitante de bloggeuse hyper pas influente, l'autre soir je regardais pour la 47ième fois « un jour sans fin », avec Bill Murray, mon Bill Murray d'amour en fait : filmo drôle et émouvante, et drôle et émouvante. Oui, je l'aime.
Brrrrref on revient à nos moutons mon lapin.
Le scénario est simple, le héros revit sans cesse la même journée. Au début il est cynique, voire un peu méchant, misanthrope, désabusé, blasé, et à la fin il est heureux et couche avec l'héroïne. On ne dirait pas, mais j'adore.
Ce film me fait toujours le même effet : envie et peur de moi-même, et un peu d'optimisme aussi.
Je t'ai déjà entretenu de mon rapport compliqué au temps, ici ou là.
Au début du film, Bill Murray prends le fait de revivre cette journée comme une punition, et ne fait rien que récriminer et constater les même choses qui se déroulent jour après jour. Puis petit à petit, il se sert de cette malédiction pour changer le déroulement de sa journée et surtout pour changer la vie des autres. Il finit par s'attacher aux acteurs de cette répétition incessante d'un moment de sa vie, et là où au début il se servait de cette situation pour manipuler, il devient de plus en plus humain.
Il se sert de cette journée pour s'améliorer lui et améliorer la vie des autres.
C'est exactement ce dont j'ai envie : j'aimerais disposer de ce don, pour recommencer certaines choses et les faire en mieux, ou du moins autrement.
On a tous un moment réfléchi sur nos actes passés, en pensant qu'on aurait pu faire autrement. Avec le recul, on a un regard différent, une analyse un peu plus subtile des faits. Tout simplement on peut avoir envie de réparer, de faire du bien là où on a fait du mal. Et surtout égoïstement, on peut avoir envie de revivre un moment formidable et rassurant de notre vie.
Le temps est-il une matière qu'on puisse triturer ? J'aimerai bien.
Je crois à une notion du temps assez particulière : je crois que la vie se répète en miroir indéfiniment, je vis ce que j'ai déjà vécu, et ce que je vais vivre. Pourtant je ne suis pas adepte du fatum. Mais je crois que les 2 sont conciliables. Il faudrait que je reprenne certaine des mes lectures et que j'expose plus clairement cette théorie.
Mais pour ce jour, j'ai une pensée pour tous ces jours passés, qu'on apprécie d'autant plus qu'on ne peut les rattraper. Je crois que je ne me débarrasserai jamais de cet espoir, que je peux revenir en arrière et revivre encore ce temps passé avec un autre regard. Avec le souci de m'améliorer et d'améliorer la vie des autres.
Mais dans le fond, notre vie n'est que la seule et même journée, qu'on recommence tout les matins, une partition qu'on s'efforce de jouer un peu mieux chaque jour.
Le lendemain, j'ai regardé The Big Lebowski, j'ai envie de jouer au bowling du coup.
Voilà.
Et la prochaine foi, je t'expliquerais comment Brooke Logan Forrester, m'a renvoyé à un affrontement interne entre la morale Nietzschéenne et la morale Kantienne.
Brooke est blonde, et se pose beaucoup de questions.
Bon, j'ai fait un texte court, là, non ????
Bon, un peu de musique, ne me remercie pas surtout.
Oh que vois-je ? Une dame avec une coiffure ridicule en forme de chais pas quoi ? Encore un concours à la con de Ginie !
Après tes chaussons, cette petite curieuse veut voir ta coiffure. C'est qu'on s'ennuie en Province, y a pas M6, tout ça, donc on fait passer le temps comme on peut.
Si tu veux participer à ce fabuleux challenge capillaire et remporter du cadal, tu vas là, et t'as jusqu'à ce soir minuit. Bon c'est court, mais je t'en avais déjà parlé la semaine dernière, t'avais qu'à te bouger le cul avant.
J'aime Ginie, car grâce à elle, je peux m'acheter des trucs. Oui, acheter est une passion chez moi. J'ai eu la joie d'acheter mes premiers chaussons de la vie intersidérale grâce à son précédent concours, et là j'ai eu un prétexte en or pour claquer un smic ukrainien en connerie chez Alexandre de Paris et Evita Peroni : the King and the Queen of the serre-têtes. Car oui, la Blair Waldorf qui sommeille en moi s'est réveillé, fallait bien Ginie pour ça.
Bon, je te montre mon préféré, avec des jolies fleurs en nacre et cristal de Swarovski :
Voilà, voilà....Oui, c'est ma participation...
Maintenant Ginie, j'ai une demande officielle : tu peux faire un concours sur le thème « ton plus beau sac Mulberry » ? Je cherche une raison de m'offrir le Alexa, et je compte sur toi ma poule.
Oh que vois-je ? Une grenouille !!!!! Mais pas n'importe quelle grenouille : c'est la kikimate de novembre:
Alors, elle est pas canon ?? En vrai, j'ai pas de couettes, et mes jambes.... Bah tu sais...
Mais, mais, mais ! C'est un véritable bestiaire ici, voilà un papillon !!
L'auteur de ces petites merveilles de dessins, c'est Monsieur Kiki l'escargot. Chez lui, vous verrez les autres zani-mots qu'il a créés, et franchement ça vaut le coup d'œil !
Demain, tu verras mes fantasmes indiens. Ou pas. On verra. Suuuuuuspens....
Heaven I'm in heaven And my heart beats So that I can hardly speak And I seem to find The happiness I seek When we're out together
Dancing cheek to cheek
Heaven I'm in heaven And the cares That hung around me Through the week Seem to vanish Like a gamblers Lucky streak When we're out together Dancing cheek to cheek
Oh I love to climb a mountain And to reach the highest peak But it doesn't thrill me Half as much As dancing cheek to cheek
Oh I love to go out fishing In a river, or a creek But I don't enjoy it half As much as dancing Cheek to cheek
Dance with me I want my arm about you That charm about you Will carry me through to
Heaven I'm in heaven And my heart beats So that I can hardly speak And I seem to find That happiness I seek When we're out together Swinging cheek to cheek
Come on and dance with me I want my arm about you That charm about you Will carry me through Right up to
Heaven I'm in heaven And my heart beats So that I can hardly speak And I seem to find That happiness I seek When we're out Together dancing Out together dancing Out together dancing Cheek to cheek
Another day, another tag, faut dire que j'ai un retard qui confine à l'irrespect : pardon, pardon, je me rattrape, je fais ce que je peux !
Aujourd'hui mes chéris, on va tirer le chiffre 7 à la roulette du web. Oui ce chiffre est très populaire parmi les tags, pourquoi ? Je ne sais mais c'est mon chiffre préféré alors tout va bien !
Je crois qu'au total il y aura 3 tags autour du chiffre 7.
Voici le premier. Alors Alicia et Chinchilla ont eu la gentillesse de me désigner avec d'autres blogs qu'elles apprécient, comme destinataire de ce joli prix :
Je les en remercie d'autant plus que j'aime leur rendre visite. Chacune présente une diversité de gouts et de centre d'intérêts qui fait que je découvre toujours un truc nouveau pour moi, ou bien cela me remet en mémoire des bons souvenirs de lectures ! C'est d'ailleurs ce que j'apprécie dans la plupart de ceux que je lis : me faire découvrir de nouvelles choses, me changer les idées en me faisant rire ou en m'émouvant...
Par la même occasion, Alicia, Chinchilla, ainsi que ma compatriote Ckankonvaou, me demandent de raconter 7 choses que j'aime faire ! Que 7 !
Va falloir choisir, et choisir c'est renoncer et blablabla...
On y va quand même !
J'aime lire : oui ça fait bien longtemps que je n'ai pas parlé bouquins ici, mais ça va changer. Je lis toujours énormément, 3 livres par semaines en moyenne, et c'est une activité dont je ne pourrais me passer. J'aime un peu tout, sur la quantité je lis à peine plus de romans que d'essais, pas mal de poésie, un peu de théâtre aussi, et puis je relis mes écrits personnels. Parfois je me retrouve comme ça à me rappeler des moments particuliers de ma vie ; récemment je suis retombé sur un cahier qui date du collège, en 3ièmeB, où je consignais la « psychanalyse » qu'Anne-Catherine L. avait entamé avec moi ! C'est étrange de relire mes phrases, mon analyse de son comportement et mes conseils, j'étais déjà un peu barrée faut croire !
Et son corollaire : j'aime écrire, voir les mots, jouer avec, regretter de n'avoir pas le talent épique d'un Steinbeck, ou la vigueur de Hugo, mais bon, on fait comme on peut.
J'aime résoudre les situations : pour faire la transition à ce que je disais tout de suite, j'ai la fâcheuse tendance de m'impliquer un peu trop dans tout. Si j'ai conscience d'une difficulté ou d'une situation un peu rude, je me a joue psy à 3 sous, et donneuse de conseils, ou simplement épaule compatissante. Le mauvais côté de la chose c'est que cela confine parfois à l'empathie, et trop d'empathie tue la sympathie.
J'aime les séries de HBO : je cite HBO juste pour donner un ordre d'idée. En fait j'aime toutes ces séries un peu décalées, un peu barrées, et qui sont aussi fraiches que percutantes. Et j'aime aussi les vieilles séries ringardes qui n'auraient pas leur chance sur HBO, genre Mike Hammer, Côte Ouest, Dynastie. Dans mon Panthéon de série, je mets Dingue de toi : j'adorais la relation de couple des héros, et quand elle a commencé à se déliter, j'en pleurais ! C'était d'un réalisme et d'une sincérité !
Ensuite il y a Will and Grace, pareil c'est pour la relation d'amitié sans pareil qui lie Will et Grace. J'ai toujours eu du mal conserver des amitiés avec des filles, à part ma meilleure amie et sa femme, et je m'entends plus avec les mecs et mon meilleure ami, qui est homo adorait comparer notre relation avec cette série, surtout parce que je manquais de confiance et que je cherchais toujours l'amour ailleurs, alors que lui était si sûre de ses sentiments, toujours !
Et puis Buffy, que je méprisais au début, genre un truc de vampire pour ado... Puis je me suis prise au jeu, et Spike y est pour beaucoup. Cette série est une métaphore de l'adolescence, la plus aboutie que je connaisse ! La fin, avec la mort de Spike, c'est exactement ce que je peux considérer comme la fin d'un cycle dans une vie.
J'aime rouler de nuit pour aller quelque part loin, sachant que je n'ai pas le permis, tu imagines bien que c'est un plaisir difficile à négocier !!
J'aime faire des liste : noter des pensées, les organiser, trier, prévoir. J'aime lister mes envies aussi, mes projets, des étapes ! Même la liste des courses, j'aime la faire !
J'aime l'idée d'apprendre : que ce soit une nouvelle langue comme le chinois ou le japonais, ou une activité manuelle, intellectuelle. Paracelse disait que le savoir est le second paradis du monde, il a raison, c'est exactement ça. Apprendre, comprendre, vivre intensément son univers, c'est une satisfaction sans fin. Parfois, je me dis que je serais plus heureuse si j'intellectualisai moins les choses, si je me posais moins de questions et que je ne cherchais pas autant de réponses. Mais dans le fond je préfère ça à l'ignorance. Le savoir est en soi une forme de bonheur un peu mélancolique.
J'aime le cinéma de l'âge d'or d' Hollywood, et un peu autour aussi ! Cary Grant, Gary Cooper, Gregory Peck, Fred Astaire, Elizabeth Taylor, Vivien Leigh, Clarck Gable, Marilyn, bref tu vois de quoi je parle !
Je suppose que je devrais désigner maintenant 7 blogs que j'aime particulièrement, mais ça devient compliqué, je crois que j'en aime plus de 7, pour des raisons différentes !
Je vais en citer quelques uns quand même ! J'aime Galy et Camille, les toutes premières à avoir laissé un mot, ce qui m'a fait un de ces chocs d'ailleurs ! Et puis elles sont drôles et cultivées et spirituelles !! Et en matière de chaussures, c'est des pros !
J'ai une pensée pour Sorcière Camomille, noyée sous le travail, j'aimerais tellement qu'elle reprenne son blog, avec son ton à elle, il me manque !
J'aime Kahlan et Anna, si différentes de moi (je crois) mais que j'adore lire !
Et puis bien sûr j'adore les conneries de NJC aka Daydreamer, qui sait raconter sa vie avec un talent drôle que je lui envie !
Enfin, comment ne pas citer Angie et Julie, encore 2 découvertes devenues essentielles.
Je ne taggue personne, vu que ce truc à tourné partout, sauf s'il y a des volontaires que je linke avec plaisir !
Un jeu de mot se cache dans le titre, sauras-tu le retrouver ??
Si tu as bien prévu ton doliprane, mais que tu n'as pas terminé tes révisions en philosophie aristotélicienne et en physique quantique, je t'offre une seconde chance, comme au bac. Tu as jusqu'à samedi pour te préparer psychologiquement à de la note longue, chiante, mélancolique, avec plein de mots dedans : certains auront plus de 2 syllabes mêmes. Il est fort possible qu'aucune image de vigoureux toy boy ne vienne adoucir la douloureuse, qui plus est. Je sais, je suis exigeante, mais c'est parce que j'ai confiance en toi et que je t'aime.
Sinon, en vrai, je n'ai pas terminé la note, vu que j'ai passé ma soirée à chercher à télécharger le plus pas légalement du monde tout ce qui était téléchargeable autour de Being Erica, série que je ne connaissais pas avant que cette chieuse de Camille (oui Camille qui veut pas me donner ses bottes Jil Sanders avant 2012) me mette sous le nez des photos de lui là,
Un certain Tyron Leitso, que j'aime déjà d'amour, et que je veux me marier avec et avoir des enfants (non les enfants c'est bon j'ai ce qu'il faut).
La série est pas mal, mais bon je te laisse voir chez ma collègue de Grand Soir, elle en parle très bien. Et puis j'avoue que je suis encore obnubilée (chiant à écrire comme mot zut alors !) par Tyron-Ethan...
Et tu sais quoi, je connais un homme qui lui ressemble en un peu plus âgé... Et j'avoue (que d'aveux bordel !) que je le trouvais craquant, mais bon ce nigaud est marié, il s'est reproduit 3 fois, bref un honnête père de famille....Dommage il parle si bien littérature, poésie et sentiments et cinéma...
Je vais opérer un transfert psychanalytiquement justifié sur Tyron.
Trois semaines que je tousse, la Dame aux Camélias peut aller se rhabiller.
J'envisage une retraite au Carmel, j'ai des trucs à me faire pardonner, c'est pas possible de (david) douiller autant avec cette bronchite ashmatique que je traine.