Sede vacante

Parfois on s'en va, parfois on revient, on pourrait presque en faire une chanson :)

A bientôt !

White is White

Je faisais part de mon amour des escarpins noirs, avant de penser à autre chose ; autant j’ai un net penchant à la colorimétrie la plus folle, question chaussures, autant porter du blanc aux pieds (en dehors de tennis), j’ai du mal. L’aspect peut vite tourner au cheap, ou au ringard un peu daté, voire à l’effet « mariée ». D’ailleurs quand j’y pense, pour mon mariage, j’avais des escarpins écrus.

Pourtant, je suis régulièrement travaillée par l’envie de blanc à mes pieds, surtout l’été, où j’ai plus envie de jouer les filles sur catalogue, robe longues, cheveux mouillés par la mer, plastique parfaite en moins hélas. Finalement je n’aime le blanc qu’en vacances, sur une belle robe en lin, ou le cuir de sandales finement travaillées.

J’avais en mémoire la photo d’un mannequin doucement alangui sur une plage, une couronne de fleurs à la tahitienne dans les cheveux, et les pieds plongés dans le sable certainement délicieusement chaud, ses sandales blanches négligemment posée près d’elle. Impossible de retrouver la photo en question, mais je sais quelle paire de sandales je voudrais si j’étais dans la même (et heureuse) position : ces superbes sandales blanches Harlot,

Ok, il y a un peu de bleu...

 

Et cette couronne de fleurs shoppée sur Asos, je la trouve divinement dans le ton de mon délire estival :)

 

Me reste à trouver la robe parfaite, perdre quelques kilos et je pourrais poser, ma paire de sandales Harlot négligemment ouvertes à mes pieds.

Dream a little summer dream :)

Black is black

Le principe d’une bonne organisation chez moi, ça tient pas à grand-chose, c’est peut-être pour ça que je suis souvent débordée. Mais il y a un petit truc que je n’oublie que rarement, c’est préparer ma tenue du jour, la veille au soir, avec évidemment la paire de chaussures assorties.

Je parle souvent couleur et fantaisie, et parfois j’en porte aussi, des trucs colorés et fantaisistes. Dans ces cas-là, à moins de vouloir jouer les blogueuse mode warrior que je ne suis pas, j’opte pour du noir, tout simple, aux pieds. L’infatigable escarpin noir bien sur, l’accessoire parfait pour n’importe quelle tenue, n’importe quelle circonstance. Ma paire d’escarpins noirs fétiches,  les voici, des Buffalo.

 

Un beau noir mat, simple à entretenir, souple mais solide, exactement la paire de chaussures de secours que je sors quand je ne sais plus quoi mettre. Je ne sais pas si on peut parler de « doudou » ou d’objet transitionnel, mais pourquoi se compliquer la vie :) ce sont des chaussures confortables, ni trop chic ni trop cheap, rassurante comme une bonne copine.

Ça me fait penser que je n’arrive pas à trouver une paire de chaussures blanches qui me fasse le même effet ? Curieux non ?

Sweet swap

C’est une jolie petite aventure qui vient de se terminer, le premier swap que je me suis promis d’organiser, après des mois d’hésitation je me suis lancée, fait l’appel, le questionnaire, le suivi et la découverte avec tous de ce petit jeu.

Le thème d’appui portait sur les couleurs, l’envie de printemps, et tout le monde a vraiment bien joué le jeu !

J’en profite pour remercier une fois de plus les participants : Nane, Xtinette, Isa, Julie B, Manutop, Heidi, Kielut, Elisabeth, Angemad, Carole Nipette, Fanny, Jeannette, Rock’n’ Laurette, Chib, Angelita.

On passe aux résultats des petites réflexions des uns et des autres ? Allez :)

Nane pour Xtinette :

Isa pour Julie B :

Heidi pour Kielut :

Elisabeth pour Angemad :

Carole Nipette pour Fanny :

Jeannette pour Rock’n’Laurette :

Chib pour Angélita :

Xtinette pour Nane :

Julie B pour Isa :

Kielut pour Heidi :

Angemad pour Elisabeth :

Fanny pour Carole Nipette :

Rock’n’Laurette pour Jeannette :

Angélita pour Chib :

 

Enfin, l’adorable Manutop pour moi :

Et moi pour lui

 

Plein de couleurs, de douceurs dans tous ces colis, et j’imagine avec plaisir la recherche que cela a demandé, comme chaque binôme a du réfléchir à l’autre, essayer de découvrir ce qui pourrait lui accrocher un sourire au visage.

En tout cas, moi j’ai le sourire et j’espère renouveler l’expérience dans l’année :) Avec vous ?

No sport ?

Je dois être la fille qui fait le moins de sport au monde, ou alors de mon quartier, ou peut-être de mon étage. Bref, le sport, c’est un truc mystérieux, mais j’ai décidé de changer (Oh lala !) et de faire un peu plus de sport (un peu plus que zéro sport c’est pas mal, non ?) J’exagère un peu mon apathie sportive, vu le nombre d’heure que je peux marcher dans une semaine. Mais en l’occurrence j’avais envisagé un peu plus sérieux, un genre de jogging bi hebdomadaire, histoire de décrasser mon corps.

Après, question équipement, je n’y connais juste rien… Une paire de basket, c’est une paire de basket, hein, juste une paire de running… Et j’avoue que mon premier reflexe est de juger si elles me plaisent ou pas, non pas si elles sont efficaces pour l’activité que je veux pratiquer.

Grossière erreur !

Après discussion avec des joggers assidus (un mystère de plus pour moi…), j’ai pu déterminer ce dont j’avais besoin pour u ne pratique peu intensive, sur tous revêtements, et qui protègent bien mes chevilles. J’ai finalement jeté mon dévolu sur des baskets Gel Pulse 4 de Asics, je suis une joggeuse neutre, avec une foulée universelle. Avouez que vous ne saviez pas qu'on pouvait avoir une foulée universelle, ou cupinatrice ou pronatrice ? En tout cas moi, je ne savais pas...

 

Après, je ne vous raconte pas tous le cinéma pour trouver un pantalon de jogging qui ne me donne pas envie de pleurer. (Adidas c’est parfait) (Du sobre, noir, trois bandes et basta)

Maintenant, il faut me voir courir, c’est encore très poussif, mais au moins j’ai redémarré une petite activité sportive (la natation ça compte aussi, remarquez…) vu ma maladresse à trouver le bon rythme au début, je suis bien contente d’avoir demandé des conseils techniques pour choisir la meilleure paires de basket possible. Je ne suis pas près de lâcher mes Asics

Il faut croire que le sport est la drogue qu’on décrit, une fois qu’on a commencé, impossible de s’arrêter ?