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  • Touch of pink

     

    Le week-end se termine doucement. Un peu plus rose j'espère. Journée dédiée au rose pour ma part. Alors pour rester dans le ton, je me plie, les joues rosissantes de joie, au pink link de Chrys.

    Je sais que je tombe facilement dans le nunuche fifille, et j'aime ça, c'est une partie de moi aussi. Alors quoi vous montrer de rose ce soir ?

    Je ne sais pas. Mais je sais que demain, j'aurais envie de sortir une jolie bague de ma boite à trésor rose,

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    Puis j'aurais envie de replonger mon nez dans cette odeur si particulière d'amandes amères, doux souvenirs de l'école et d'une certaine colle blanche Cléopâtre... Grâce à Castelbajac...

     

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    Enfin, le soir, probablement, je prendrais le temps de remplir une page du Moleskine du moment, pour y fixer les plus jolis moments de cette journée.

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    Le rose ira à merveille aux joues d' Elizabeth, de Bloody Selena, de Camille, et de Eré, si elles le veulent bien !
  • Ce n'est pas la chair qui est réelle, c'est l'âme.

    La chair est cendre, l'âme est flamme. C'est la suite du titre, tirée d'un extrait de Victor Hugo.


    Je suis un être complexe : sous des dehors de fine tacticienne politique, se cache une âme d'enfant.

    J'ai attachement particulier au passé, au temps d'avant, et parfois j'en conserve des traces (si tu me parles de mes rides, tu peux ravaler ta morgue petit insolent, je garde un visage lisse comme des fesses de mannequins botoxé)

    J'ai quelque part chez moi une grosse boite (2 en fait) où je conserve des cartes, des coupures de journaux, des jaquettes de cassettes audio, des lettres aussi.

    Je suis comme une petite fille qui ouvre sa boite à trésor quand je me penche sur ces cartons.  Une petite fille qui ouvre de grands yeux, encore émerveillée de ses souvenirs.

    Je t'en montre certains, et ne te moques pas de ce mélange hétéroclite, chaque pièce représente un souvenir cher à mon cœur.

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    Dans le sens des aiguilles d'une montre, en partant du bas, tu peux reconnaître :


    - Une photo de Peter O'Toole, tirée du film Lauwrence d'Arabie, de David Lean, l'immense David Lean. Cette photo était scotchée sur la page de garde de mon cahier de français en seconde. J'aime les vieux films, David Lean et Maurice Jarre. Et ces yeux sublimes de Peter O'Toole sont un plaisir supplémentaire.

    -Des photos de Marylin Monroe, idole de mon adolescence, que j'aime toujours et dont la filmographie mérite plus que le cliché de gentille blonde habituel.

    -Une page de pub Opium, avec le sexy Ruppert Everett.

    - Un supplément spécial Jacques Demy des Inrockuptibles. J.Demy est un cinéaste que j'adule, et pas seulement parce qu'il est nantais, ou qu'il sublime Catherine Deneuve et Françoise Dorléac, Anouk Aimé ou Jacques Perrin, ou pour tout ça à la fois...Il filme l'amour, le temps qui passe, le regard plein de tendresse de celui qui veut capter encore un instant de bonheur, un seul instant, avant de tourner les pas.

    -Une coupure de journal annonçant la diffusion de Dream On, une de mes premières série culte, avec l'inénarrable Martin Tupper (joué par Brian Benben). Le héros relie chaque événement de sa vie à des scènes de film. C'est plein de dialogues drôles, percutants et tendres aussi.

    -Une carte postale représentant Morten Harket, le chanteur de A-Ha, oui j'étais amoureuse, te moques pas, j'avais 13 ans à peine.... Et j'écoute toujours leurs albums, que je te conseille !

    -Juste en dessous, 2 reproduction tirées du dessin animé Hercule, de Disney. Alors, un soir que nous étions peut-être un peu ivres de mauvaise vodka et en attente d'un Macdo salvateur, les copains nous attendant d'ailleurs, une amie et moi avions décidé que ces images étaient vraiment très jolies, et qu'il nous les fallait. Le hic c'est qu'elles étaient fixées, et très bien fixées, sur les chariots de Carrefour. On a donc attendu le soir pour commettre notre forfait, avec l'aide d'une sous-Zubrowska pour nous encourager. 12 ans après, je crois, je les ai toujours et je les adore ! **VOLER C'EST MAL**

    - Enfin, le numéro de Vendredi, l'hebdo du Parti Socialiste, sorti à la mort de François Mitterrand. Le 8 janvier de chaque année est pour moi une date triste, même si le 10 mai me redonne le sourire ensuite. Quand il est mort, j'ai pleuré, beaucoup, longtemps. J'ai pleuré sur mon enfance, sur la joie de mon instituteur de CP en 1981, sur ces belles victoires humanistes gagnées avec Badinter, Yvette Roudy. Je pleurais sur cette hymne passé : « France socialiste
    Puisque tu existes
    Tout devient possible ici et maintenant ! » et sur ces espoirs parfois déçus, et parfois source de tant de joie.

    Je conserve ces choses, comme des preuves que ma vie a eu lieu, que j'ai vraiment existé toutes ces années. Ce sont des rappels d'instants tout aussi précieux que ce que j'espère encore de l'avenir.

    Et comme je ne suis pas que nostalgie et sérieux, regarde comme je cède à la grelucherie sans vergogne :

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    C'est un adorable ours aux ailes d'ange, dessiné par mon chouchou, Christian Lacroix lors d'un Noël pour les Galeries Lafayette. Je n'avais ni enfant ni nièce ou neveu à gâter, j'ai simplement voulu cet ours pour moi, un doudou de grande fille un peu solitaire et égoïste, un peu triste parfois, et surtout toujours capable d'ouvrir de grand yeux émerveillés devant un ours orange aux ailes blanches.

    Voilà le temps de remercier Chocoladdict, qui me donne une occasion de me pencher sur mon âme d'enfant.

     

  • T'es au courant ?

    EDIT: Rajout de liens concours: oui je suis un peu tête en l'air et surtout j'ai écrit la note devant Esprits Criminels et Shemar Moore il est bandant canon

    Billet utilitaire et récapitulatif aujourd'hui !


    Les concours fleurissent sur la bloggosphère et je m'y perdrais presque ! Je n'ai pas eu le temps d'installer les bannières, honte à moi ! J'essaie de me rattraper un peu, en rappelant ici quelques un de ces concours, que je vous convie  à visiter !


    Ça va faire un peu linéaire, mais pas le choix, soyons efficace avant tout.


    D'abord, n'oublie pas d'aller voter pour moi chez Manu, là, click click, je suis limite déçue par l'absence de raz de marée en ma faveur.... Dois-je tout faire ici ? Racoler sur Twitter, supplier mes amis ! On n'est pas sorti des ronces !


    Ensuite si tu es une maman toute fière (comme moi, sauf que moi mon fils c'est vraiment le plus mignon de la création, non ne me jette pas de parpaings, admets les choses) tu peux aller chez maman@home voir comment ton chouchou et toi vous pouvez faire une couverture de magazine !


    Chez Zaza tu peux concourir si t'as le look coco !


    Chez Chrys tu peux montrer la magnet attitude ton frigo !


    Chez Miss 400 un concours avec plein de 4 dedans, concept bien ciblé !


    Et chez Chocoladdict, tu peux montrer ton âme d'enfant !!


    Enfin, je te rappelle mon concours à moi de la mort qui tue pour gagner un an d'abonnement à Causette le magazine qui déchire tes capitons ! Tu as jusqu'au 21 mars minuit. Tu as tout les détails en cliquant là click click !!!


    Je pense que j'en oublie, alors n'hésite pas si tu as des suggestions, fais ta pub !

     

    Donc les oubliées du fond du rang pour cause de Shemar Mooropholie :

     

    Toujours pleins de bonnes choses chez Les Ménagères de moins de 50 ans, Dom et Manou, qui vont regretter que ma timidité ai lâché l'affaire, puisque je vais les squatter plus souvent :). En ce moment, outre des billets drôles et incisifs (comme mes dents) elles te proposent de jouer pour un épilateur, et aussi pour un emini caméra flip, mais ça, laisse moi te dire que c'est moins intéressant :D

     

    La belle et délicieuse Gazelle, qui ne pue pas, quoique après une séance d'abdo je demande à sentir l'aisselle de madame, bref la fille pas ordinaire, te propose aussi un obscur et pas intéressant concours pour gagner une caméra Flip, qui sert à rien alors laisse la moi en répondant à des équations du second degré, la garce !

     

    Enfin, last but not least, MissBrownie dont le nom me donne faim, faut changer de pseudo madame ça va pas du tout là, te propose aussi des petites choses sympa, dont effectivement le concours Alice in Wonderland !

     

    Bon, et là, s'il y a des fôtes d'ortographe, fait pas chier, je suis au bureau !

     

  • Le ronin aux cheveux verts


    La grande Manu (un peu de flatterie ne nuit pas) nous propose un concours qui déchire sa mère (pas celle de Manu, je ne me permettrai pas... vu l'enjeu)  Un concours où je peux on peut gagner une mini caméra. Il suffit de parler de son film préféré. En gros, je schématise.

    Telle que tu me vois là, ange de ma vie, j'aime le cinéma, mais essentiellement avec des gens morts dedans.

    Halte là ne t'enfuis pas !! Non je ne suis pas fan de films de zombies et autre Saw 1, Saw 2, Saw 3 etc..... (Encore que ce soit le pied pour filer se réfugier dans les bras d'un charmant jeune homme, je suis fourbe et j'ai lu l'art de la guerre de Sun Tzu : ses techniques marchent aussi pour le cul et l'amour)

    Non, quand je parle de films avec des morts dedans, je parle des acteurs d'avant, car c'est connu c'était mieux avant ma bonne dame !

    Gregory Peck, Montgomery Clift, Clark Gable, Liz Taylor (qui va pas tarder à clamser je pense), autant de raisons de mouiller ma culotte cinéphile (oui, je suis dans une pleine période poésie).

    Alors comme je suis aussi une chieuse, en plus d'être poète, je vais te parler de 2 films, un du temps d'avant que c'était mieux avant, un d'un japonais, parce que j'aime le Japon et les japonais et toutes les japonaiseries possibles ! Mais tous 2 ont un point commun : ils me parlent à moi des relations humaines, du rapport qu'entretient l'homme avec les apparences, qui sont évidemment trompeuses, et la conscience que l'on a de sa propre éthique et de ses propres faiblesses.

    Alors, le premier que j'aime voir et revoir et que je te conseille de visionner en ces temps fâcheux d'identité nationale, c'est Le Garçon aux Cheveux Verts.

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    Le pitch comme dit Ardisson mon idole en matière de T-shirt noir, c'est le suivant : « Orphelin à la suite d'un bombardement sur Londres, le petit Peter Frey est recueilli par un vieil artiste de cirque, Gramp, qui manifeste tant d'affection et de gentillesse pour l'enfant que celui-ci se laisse peu à peu apprivoiser. Miss Brand, sa nouvelle institutrice, lui prête d'autant plus d'attention qu'elle sait que Peter est pupille de la Nation et ne peut se consoler de la perte de ses parents, malgré toutes les prévenances de Gramp. Quelle n'est pourtant pas la surprise de Peter, un matin, de se réveiller avec les cheveux verts ! Du jour au lendemain, il devient l'objet, puis la victime de la curiosité de ses petits camarades et des adultes qui se moquent de lui. Personne ne peut trouver d'explication valable à cette extraordinaire situation. »

    Film de Joseph Losey, avec dans le rôle du petit garçon, Dean Stockwell plus connu pour son rôle de Al l'hologramme dans Code Quantum....

    J'aime ce film car il montre tout simplement les réactions des uns et des autres face à l'inconnu, à l'étrange. Le petit garçon, en acquérant cette couleur de cheveux inhabituelle devient un étranger à sa propre communauté. Celle-ci ne se fonde que sur les apparences, et là où il y avait un petit garçon adorable, elle ne voit plus qu'un être étrange, qu'elle ne peut vraiment comprendre, ni affecter dans une case attendue. C'est évidemment une métaphore sur l'intégration, les étrangers, ceux qui doivent faire face à l'incompréhension des autres face à leur apparence. J'ai adoré cette façon  presque poétique de parler des différences sans l'air d'y toucher. Comment la même personne peut être vue de différentes manières pour une simple question de couleur de.....cheveux ! Ça peut sembler incroyable, mais finalement est-ce plus incompréhensible que de s'en tenir à une couleur de peau ?

     

    L'autre film, c'est Zatoïchi de et avec Takeshi Kitano. Le pitch : « Dans le Japon des samouraïs, Zatoïchi est un voyageur aveugle qui gagne sa vie en tant que joueur professionnel et masseur. Mais son handicap dissimule un guerrier stupéfiant dont l'extrême précision et la rapidité en font un combattant hors-pair. Au fil de ses pérégrinations, Zatoïchi arrive dans un village sous la coupe d'un chef local, Ginzo, qui fait régner la terreur en se débarrassant de quiconque osera se dresser sur son chemin, par l'intermédiaire d'un redoutable samouraï ronin, Hattori. Zatoïchi rencontre dans un bar deux geishas aussi belles que dangereuses, qui se rendent de ville en ville pour rechercher le meurtrier de leurs parents. Leur seul indice est un nom : Kuchinawa. Alors que les hommes de main de Ginzo découvrent Zatoïchi, le combat s'engage et la légendaire canne-épée de celui-ci entre en action. »

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    Zatoïchi est un incroyable guerrier, aveugle ! Pourtant il manie les armes comme personne ! Sans vouloir déflorer le film (auquel cas tu t'arrêtes de lire ici même) la chute est phénoménale et du coup nous interroge encore sur notre capacité à nous arrêter aux apparences ! En effet Zatoïchi n'est pas aveugle : il voit parfaitement ! Mais il considère que la véritable force est de s'affranchir de certaines apparences, la confiance est une force intérieure. Comme aveugle, Zatoïchi fait l'objet d'un mépris et l'on pense qu'il est fragile. Mais les apparences sont encore une fois trompeuses. Zatoïchi lui n'a pas besoin d'offrir une façade guerrière ou pleine d'une arrogante confiance pour réussir. Il puise sa force ailleurs, et nous prouve qu'il est inutile et dangereux de se contenter de  regarder la façade pour en tirer des conclusions.


    Voilà deux films que je te conseille de voir au plus vite !

     

  • Premier tour


    **Note programmée, mais je reviens vite reprendre les choses en mains !**


    Aujourd'hui, c'est le premier tour des élections régionales. Il y a toujours les mêmes cassandre qui annoncent une abstention massive, comme si c'était une fatalité.

    Pourtant il faut aller voter, et s'impliquer.

    Voter. Pourquoi ? Très souvent, à lire l'actualité, à simplement regarder le comportement de nos édiles et de nos chers élus, et plus largement de ceux qui composent ce qu'on appelle pompeusement l'élite de la nation, je ne me sens pas plus valable qu'un serf du moyen-âge à qui l'on donne l'autorisation de voter pour son propriétaire.

    A quoi ça tient ? au fait que c'est toujours le même panel qui se fait élire et réélire, qui tient les rênes des différents pouvoirs. On a affaire aux mêmes castes sociales depuis des années et des années. Voter peut sembler dérisoire et comme inutile.

    J'ai eu des déceptions politiques, de grosses déceptions. Mais aussi des joies immenses, des victoires, des actes qui ont donné un jour un sens au fait de voter pour tel ou tel.

    Voter ne suffit plus, il faut que ceux qui ont perdu confiance en la politique comprennent que la politique c'est justement eux aussi. S'impliquer devient une nécessité. Militer devrait être un réflexe. On peut vivre son implication de différentes manières, pas seulement en prenant sa carte dans un parti, mais aussi en votant donc, en essayant d'être un poids, un lobby, une force, en s'intéressant aux Conseil Municipaux, aux faits de grèves, aux associations citoyennes ? Trouver à s'exprimer d'une manière ou d'une autre, se faire entendre, même individuellement auprès de son député de son élu local.

    Voter n'est qu'une implication parmi d'autre : mais elle permet de faire entendre sa voix, ne laissez pas les autres s'exprimer à votre place.


    Rappeler leurs promesses aux écrivains de l'ombre qui rédigent de beaux discours sur  « La France qui souffre ce n'est pas seulement celle des exclus, celle des désespérés, celle des laissés-pour-compte, celle des sans-domicile, celle des pauvres sans travail.
    La France qui souffre c'est aussi celle des travailleurs pauvres, de tous ceux qui estiment ne pas avoir la récompense de leur travail, de leurs efforts, de leurs mérites. Celle qui sait qu'avec le SMIC on n'arrive plus à se loger, celle des temps partiels subis, celle des mères isolées qui ne peuvent pas travailler à temps plein parce qu'elles n'ont pas les moyens de faire garder leurs enfants. C'est la France des salariés de l'industrie qui vivent dans la hantise des délocalisations, des cadres qui redoutent à 50 ans de faire les frais de la prochaine réorganisation et de ne plus avoir de place dans l'économie et la société. C'est aussi celle des artisans, des agriculteurs, des pêcheurs écrasés de charges et de contraintes et qui n'arrivent plus à faire face. C'est la France des classes populaires qui a peur de l'exclusion et celle des classes moyennes qui a peur du déclassement. »


    Rappeler que si ces promesses n'engagent que ceux qui les écoutent, nous porterons notre oreille et notre voix ailleurs, vers ceux qui portent encore quelques valeurs humanistes et sociales. Et s'il y a une droite décomplexée, faisons vivre une gauche sans complexe également : rappelons ce que certains veulent, tout basiquement, prendre à ceux qui ont trop pour donner à ceux qui n'ont rien. C'est simple, mais c'est la seule réalité économique qui vaut.

    Rien, rien ne justifie et ne justifiera jamais que certains dorment sur des fortunes, exigent des salaires inqualifiables tout en expliquant à d'autres que la crise exige de se serrer la ceinture.

    La fameuse crise n'est que la crise des banquiers et des voleurs complices qui veulent récupérer leur mise, pas la notre, pas la mienne en tout cas.

    Si le travail est une si grande valeur, si l'on fustige tant ceux qui seraient les assistés de notre société car ils survivent à coup de RMI, CAF et autres RSA, soyons logiques et donnons à la valeur travail le salaire qu'elle mérite, au lieu d'appauvrir encore et encore la classe moyenne  et de la monter contre els plus pauvres qu'elle.


    Alors maintenant voter pour qui ?

    Chacun fait selon ses valeurs. Les miennes me portent encore vers le souvenir de Jaurès et de Blum, et même de François Mitterrand. Et oui, certains pourraient rire, se moquer, mais penchez vous sérieusement sur le bilan des 4 derniers Présidents de la République, et vous n'en verrez aucun qui ait apporté autant de changements positifs, de liberté, de reconnaissances envers les femmes, envers la pénibilité du travail, envers la nécessité de croire en son peuple et en toute ses composantes.

    Ma façon de m'impliquer c'est de mettre la pression à nos élues, de leur rappeler incessamment ces valeurs et ces victoires passées, et surtout de leur rappeler que leur action compromet le quotidien de tous.


    Vous êtes le véritable pouvoir.

    Pensez-y !