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Dernier rendez-vous pour ce samedi mystère.
La phrase du jour est : « en russe, c’est le commencement du mot espoir ».
Alors, à quel billet cela fait-il référence ?
Je vous rappelle les trois premiers rendez-vous de ce jeu de piste :
Donc, samedi prochain, je tire au sort parmi ceux qui auront trouvé les quatre billets concernés, le gagnant :)
A très vite !
Il avait raison, Carl Jung.
Sinon, tirage au sort des duos pour le swap ce soir, j'envoie les questionnaires des binomes demain.
Bon jeudi :)
Je parlais la semaine passée des nouvelles lectures de mon fils, et du fait qu’il grandissait. Loin de m’en plaindre, j’y trouve un nouveau plaisir en fait, celui de partager avec lui ce que moi enfant j’ai aimé.
Chaque semaine presque, dans mes virées libraires, je pense à mon fils. Parfois il m‘accompagne et choisit lui-même un titre : il a comme moi ses lubies, et c’est ainsi qu’il a enchainé une bonne dizaine de Roald Dahl l’an dernier, entre deux Geronimo Stilton :)
Ces derniers temps, je lui ai présenté d’autres belles plumes de mon enfance, Pierre Gripari, et puis aussi André Maurois.
Comme je l’ai aimé cet auteur, dans ses romans pour les grands (que je recommande à vos yeux) mais aussi dans ce délicat conte pour enfants, petits et grands.
Le pays des 36000 volontés, c’est celui que va découvrir Michelle, petite fille de 7 ans. Alors qu’elle essaye vainement d’apprendre une fable pour l’école, Michelle va s’endormir pour se réveiller au milieu d’un drôle de désert, rencontrer un pharaon, et monsieur le corbeau Honteuzéconfus, des fées, une reine et tant de personnage extraordinaires.
C’est un roman féerique et heureux, un voyage dans l’imaginaire d’une petite fille qui me laisse des années après encore de jolis souvenirs. Et c’est une chose que j’ai pu partager avec mon fils, qui a aimé, et a ouvert souvent de grands yeux d’étonnement.
Il y a tant de trésors dans nos livres d’enfants.
Le Pays des 36 000 volontés - André Maurois
Au Livre de Poche - Dans les 4€
Un samedi plein d’enfants joyeux et agités pour un anniversaire fait de la maman une sorte de zombie le dimanche (et le samedi aussi en fait…) Et j’ai donc lamentablement zappé la publication de mon épisode trois du non-jeu du samedi !
Je me rattrape ? Avec toi ?
Alors voilà, je te rappelle les règles à lire là :
Et la phrase mystère du jour est :
« Il parait que nul n’y est tenu, même pas Michel ? »
Alors, à quel billet de blog sela fait-il référence ?
Sinon, pour le swap, il me manque encore des questionnaires, dès que j’ai l’ensemble, je procède au tirage au sort des duos !
Belle journée :)
La semaine dernière on a eu la seconde galette des rois au bureau, suivi d’un pot de départ en retraite, le lendemain. Tout ça pour dire que je suis loin de me sentir légère ces jours-ci. Manque de sport surtout. Alors je me suis dit fais un peu de sport. Tu vas rire, ami lecteur, je n’ai pas une seule paire de chaussures de sport digne de ce nom. Logiquement j’ai cherché des baskets sur le net. Illogiquement j’ai passé plus de temps à comparer les couleurs, le design, que les performances techniques… En même temps, moi le sport… Autant je n’ai aucune paire de basket permettant de faire un sport intensif, autant j’ai toujours aimer les baskets, tennis, surtout Adidas, qui fait toujours de belles choses. J’ai une vieille paire bleu ciel et jaune (oui, tu as bien lu, bleu ciel et jaune) que j’adore.
Là j’ai des envies de violet, de parme (je crois que c’est encore lié à mes envies de printemps !) Je repense à un de mes jeans purement estival, blanc (oui, comment porter un jeans blanc en dehors de l’été ?) et je vois bien une de ces petites choses à mes pieds :
Les Deauville, de Le Coq Sportif, tout un programme dès le nom, promesse de farniente en terrasse.
J’hésite avec ce modèle, plus satiné:
Le parme tout doux aux pieds, c’est parfait pour courir d’un rendez-vous à l’autre sans avoir l’impression de se fatiguer
J’avoue, je préfère flâner gentiment le long d’une promenade, que courir, épuisée, vers un objectif quelconque :)
