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Challenge - Page 2

  • La Parisienne - Inès de la Fressange

    Inès de la Fressange est une belle femme, élégante et au fait des codes les plus subtiles de la mode. C’est avec un a priori positif que je me suis penchée sur son ouvrage, La Parisienne. C’est une sorte de guide de l’élégance parisienne pour tous les jours.


    Le résumé de l’éditeur nous en dit plus : « Quels sont les secrets du chic de la Parisienne ?
    Inès de la Fressange livre toutes ses astuces de style, beauté, déco, ses adresses préférées et les bonnes attitudes à adopter dans ce carnet très gai écrit avec la complicité de Sophie Gachet, journaliste à ELLE.
    Les photos et les dessins sont réalisés par Inès et sa fille Nine d'Urso joue le modèle sous l'œil du photographe Benoît Peverelli. Les modes passent, Inès reste ! »


    C’est un livre qui ne se raconte pas vraiment, mais essayons quand même.
    L’ouvrage se divise en sept parties.


    Mode in Paris : c’est la plus grosse partie, normal. J’ai adoré. On y trouve pêle-mêle des conseils pour avoir un placard avec des essentiels, des basiques de bons gouts, les quelques chaussures indispensables à avoir, comment s’habiller pour tel événement, comment trouver son style, celui qui nous va bien, et bien sûr quelques adresses toujours chics et sûres. Du maillot de bain au manteau, en passant par la petite robe, les bijoux, les sacs et autres accessoires, on nous détaille des façons de les porter, décalées, élégantes, sobres, toujours du plus beau chic parisien. Et on apprend les merveilles qu’il est possible de combiner avec un jeans, un chemisier blanc et une paire de chaussures.


    La belle de Paris : La partie beauté du guide, avec des conseils pour établir sa routine soins et beauté personnalisée, là encore on fait le point sur les essentiels de la salle de bains et du vanity. J’ai aimé les conseils qui font la part belle à une hygiène de vie et d’esprit, plus qu’aux produits de beauté en eux-mêmes, même si ensuite on nous en conseille quelques uns.


    La parisienne d’intérieur : quelques pages de conseils pour embellir son intérieur, des idées déco et de bonnes adresses. Là encore des idées simples à réaliser chez soi, comme le fait de joliment encadrer les dessins de nos enfants, ou privilégier de jolies boites sobres pour ranger le petit bazar. Des choses simples, mais auxquelles on ne pense pas toujours.


    Paname food : là, nous avons d’abord quelques conseils pour recevoir chez soi sans stress, ses copains ou un amoureux, puis quelques bonnes adresses pour un verre ou un diner. Pas inutile, quand on ne sait jamais où sortir…


    Parisienne attitude : là, c’est assez savoureux, c’est un chapitre qui décortique quelques attitudes bien parisiennes, tout en donnant de chouettes secrets, à partager ou pas :)


    Paris pour petits : comme son nom l’indique, pour les petits, des adresses fashion, des lieux de sorties pour les amuser le dimanche, et quelques conseils pour habiller nos enfants du dernier chic.


    Un lit à Paris : dernier chapitre, où l’on découvre quelques beaux hôtels, de belles enseignes, de caractères, avec chacune son charme !


    En bref, j’aime énormément ce guide, que je feuillète de temps à autres par plaisir, sans but précis. Parfois j’y trouve la réponse à une question que je me posais quelque temps auparavant.


    C’est un joli cadeau à faire à n’importe quelle femme, puisque cette parisienne qui donne son titre à l’ouvrage est avant tout la métaphore d’une femme de bon gout, élégante et sobre, qui prend soin de son apparence et de son cerveau, qui sait que la beauté n’est rien sans une certaine élégance des intentions et de l’attitude.
    Et sincèrement, même si pas mal des adresses indiquées sont onéreuses et pas forcément accessibles à toutes, cela s’accompagne de véritables conseils qui permettent d’interpréter au quotidien cette élégance toute parisienne.
    Cool, non :) ?

    La Parisienne - Inès de la Fressange avec Sophie Gachet

    Flammarion - Dans les 25€

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    Par ailleurs, j'avais acquis cette ouvrage dans l'idée de participer au challenge de l' Irrégulière, Read Me I'm Fashion.

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  • Lire, des fois, ce n'est pas obligé...

    Parfois je me dis que je devrais m’abstenir de lire certaines choses. Je sais que serais déçue, et pourtant je me lance, sans m’arrêter en chemin.

    Trois livres différents, pour trois déceptions, dont deux auxquelles je m’attendais et une que je craignais...

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    Avec Laurent Gaudé, ça n’a jamais été facile. Je n’accroche pas à son écriture, son sens du récit me passe au dessus de la tête et je ne comprends pas son succès. (certes, je suis un peu jalouse de n’importe quel écrivaillon publiée, je me meurs de ne pas l’être moi-même...) Passée cette petite jalousie, je ne peux que sincèrement avouer ne pas accrocher aux côtés sinueux des récits de Laurent Gaudé. Là où Murakami sait créer un monde de rêves parallèles, Gaudé me donne à voir une sorte de brouillon mal ficelée. Je n’arrive pas à voir où cette pelote emmêlée est censé m’emmener.  Les Olivier du Négus  souffre à mes yeux des mêmes défauts. J’ai essayé de rentrer dans ces 4 récits, mais impossible. Je me suis emmerdée comme jamais. Du monologue brouillon et interminable, des histoires intéressantes sur le papier, en théorie, mais si mal exploitées… J’ai beau y repenser, entre l’Afrique, l’Antiquité, l’ Italie, qui revient sans cesse, les histoires de morts, de vie et de guerre, aux belles promesse, de tout cela il ne me reste qu’un ennui lourd. J’ai fini ma lecture comme on monte une pente raide, avec efforts et suées à la clé… On verra le prochain, je ne désespère pas…

    Autre déception, tout à fait calculée celle-là, c’est le dernier Sophie Kinsella,  la reine de la mauvaise chick lit…

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    On retrouve notre accro du shopping en mère de famille, toujours aussi déraisonnable, et flanquée d’une gamine, Minnie, aussi à claquer que la maman… On observe donc les sessions shopping mère-fille, on se moque un peu de la totale nullité de l’accro en matière d’éducation. C’est l’occasion pour Kinsella de gagner un peu plus d’argent avec sa franchise. On sent que ça s’essouffle, tant les situations sont grotesques et grandiloquentes. Et tout finit par s’arranger royalement, ouf. Pourquoi le lire, me direz-vous ? Je  ne sais pas. Peut-être mon éternel et personnel challenge « je ne sais pas résister à une couverture pourrie de Chick Lit » Pardon. Mais j’ai recommencé ensuite…

    Avec ça :

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    Oui, déjà la couverture pique les yeux, tout ce rose…ça fait bobo aux mirettes.

    Passée la couverture, ça continue dans la douleur, mais là, c’est les phrases et l’histoire qui font mal… Carrie est une jeune étudiante qui monte de sa province à New-York pour un stage estival d’écriture (tiens, c’est Candace Bushnell qui ferait bien d’entamer un stage d’écriture..)

    Bref Carrie se fait voler son sac, est hébergée par une fêtarde de première, la chère Samantha, et rencontre une féministe hystérique (sic) Miranda. Tout ce petit monde va en soirée, tombe amoureux, rompt, retombe amoureux et bla bla et bla bla bla… Ce qui m’a étonnée, c’est que Candace Bushnell essaie de nous présenter Carrie comme une apprentie écrivain, mais celle-ci est motivée par tout sauf l’écriture. C’est assez curieux. Sinon, l’histoire est inintéressante, faiblarde et mal racontée.

    Avec une couverture rose… J’ai honte, un peu... Au moins, ça me fait participer au challenge de Stephie !

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  • Korma ça va ?

    Un peu de tout aujourd’hui. Surtout des choses à vous signaler en fait.

    Tout d’abord, Loul, du blog Légitime Gourmandise, a eu la gentillesse de m’inclure comme juré dans le cadre d’un concours de photos culinaires qu’il organise. Je vous invite à visiter son blog, et éventuellement à participer, si votre talent vous le permet.

     

     

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    Les lots offerts sont tout à fait beaux. La date butoir de participation est le 21 juillet. Profitez-en pour jeter un œil aux recettes de Loul, elles sont superbes. Il m’avait notamment donné une recette de brownie express qui a fait quelques heureux à la maison !

    En restant dans le domaine de la cuisine, décidément, je vais vous parler d’un autre concours, mais cette fois en tant que participante !  J’ai eu la possibilité (gourmande !) de tester les produits Patak’s dans le cadre d’un challenge culinaire, que je vous laisse découvrir dans l’image suivante.

     

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    Et pour la première recette, j’ai décidé d’utiliser le pot de sauce Korma, pour sublimer des filets de panga. Je vous invite à découvrir la recette et une photo du plat final (hors concours pour Loul ^^) sur mon blog Salade Océane.  Je ne connaissais pas ces produits et franchement la sauce korma avec le poisson, c’est une tuerie, le petit gout de coco en fond de bouche est juste sublime.

    Dans les produits envoyés, il y avait aussi des nans, vous savez ces pains indiens typiques ! Ici, on les a beaucoup apprécié, parce que  la recette de Patak’s contient des grains de nigelle, appelé aussi al-sanoudj en Algérie, et kalonji en Inde. C’est une graine réputé en rient, et ma mère fait encore régulièrement du pain en y intégrant des graines de nigelle. Donc retrouver ce gout a été une bonne surprise dans les nans Patak’s ! On les a mangé assez vite en fait : avec de la vache qui rit bien sûr, du Nutella, et j’ai réussi à en sauver un pour le fourrer avec une préparation de viande haché et d’échalote. Donc un pain qui se prête à pas mal de fantaisie. Pour le reste, rendez-vous sur Salade Océane, avec d’autres recettes (celle au korma pour commencer !)

    Un billet très culinaire aujourd’hui, mais promis, nous reviendrons à des nourritures plus spirituelles très vite, et puis les unes ne vont pas sans les autres !

    Pour finir, je vous invite à visiter le blog de la pétillante Krokette, qui organise un petit concours bien sympa. D’abord parce qu’elle nous fait découvrir une petite boutique en ligne pleine de petits trésors de tentation. Et surtout parce qu’elle te propose de jouer pour gagner un de ces mignons objets de tentation inutiles donc absolument nécessaires ! Et puis Krokette est toujours agréable à lire, un îlot frais dans cet océan qu’est la blogosphère !

    Voilà mes chéris pour ce jour. J’espère arriver à finir un billet sur un roman que j’ai terminé il y a un moment déjà, mais je l’ai tellement aimé que je ne sais pas comment en parler ! Le comble…

    Allez, en faisant un effort, je devrais y arriver… Mais je sais que je ne saurais pas communiquer la moitié de l’émotion et de la joie que j’ai éprouvé à le lire. Enfin…

  • Henry James, Agatha Christie et une intruse...

    L’image dans le tapis est une nouvelle de Henry James qui m’intriguait depuis longtemps. J’ai réussi à remettre la main sur le bouquin (paumé dans mes étagères…) et je ne le regrette pas. C’est un récit qui interroge le lecteur, sur la critique, l’écriture, la signification de l’un et de l’autre.

    IMAGE TAPIS JAMES.gif


    Un jeune critique vient de publier un article au sujet de Hugh Vereker, puis rencontre ce dernier lors d’une soirée. L’écrivain, qui a lu la critique en question, en vient  se confier au jeune homme. Il lui raconte que toutes ses critiques sur son œuvre passent à côté du plus important, de ce qui sous-tend celle-ci, de ce que pas un critique n’arrive à voir : « la raison particulière qui est à l'origine de chacun de ses livres, quelque chose qui appartient au plan d'ensemble primitif comme l'image compliquée d’un tapis persan » Piqué au vif, le jeune critique va se lancer dans la relecture de l’œuvre de Vereker pour percer ce secret, mais en vain. S’ensuivent alors des élucubrations entre critiques, et le lecteur ne peut s’empêcher de se demander si il y a vraiment quelque chose à trouver, autre que l’inanité de toute critique. Car finalement c’est ce qui ressort de ces quelques pages fascinantes : une œuvre recèle autant de degré de lecture qu’il y a de lecteurs, voire de moments de la vie d’un lecteur. Essayer de cadrer un auteur, voir la lecture comme un « commentaire composé » et essayer de parler pour l’œuvre, sont autant d’acte emprunt d’arrogance. Du moins c’est mon avis. Car la mise en abime est permanente avec la réflexion qu’autorise cette nouvelle de Henry James. Critiquer et interpréter une œuvre est vain, et même interpréter pour dire qu’on ne peut interpréter est vain finalement. J’aime cette nouvelle, car elle me conforte dans mon idée de la lecture : une aventure propre à chacun !

    Lecture parfaite pour le challenge Henry James de Cléanthe, challenge-henry-james.jpg

     

     

     

     

    et le challenge Nouvelles de Sabbio.challenge-la-nouvelle6.jpg

    Changement de décor, avec Une Poignée de Seigle, de notre chère Agatha Christie. Je l’ai relu tout récemment, juste après avoir vu sur TMC une adaptation du roman. 

     

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    Je suis vraiment fan des adaptations télé des romans de Christie, et quand je suis à la maison, je les regarde avec plaisir. Pour en revenir au roman lui-même, c’est un de mes préférés, qui met en scène Miss Marple. Mr Fortescue est un riche homme d’affaire, retrouvé mort dans son bureau, avec une poignée de grain de seigle dans la poche de son costume. Ensuite, on retrouve à Yewtree Lodge, la demeure familiale, la galerie hétéroclite des membres de la famille justement. Une jeune second épouse qui batifole avec son prof de tennis, le fils ainé infantilisé par le père malgré sa docilité ; le second fils, prodigue, sui s’en revient de voyage après une grosse brouille avec lui, la fille amoureuse en dehors du consentement paternel… Bref autant de bonnes raisons de couper la chique à Mr Fortescue. Il faudra toute la sagacité de Miss Marple pour débrouiller cet écheveau compliqué ! J’ai passé un bon moment comme toujours !

    Lu dans le cadre du challenge de George.challange-agatha-christie.jpg

     

     

     

     

    Pour finir, Lexi Smart a la mémoire qui flanche, de l’inénarrable Sophie Kinsella.

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    Bon, bah, j’ai hésité à en parler, mais enfin, c’est fait, c’est lu. Comme d’habitude une jeune trentenaire londonienne, pas franchement moche, mais pas un canon non plus, avec un boulot moyen et un petit ami pas terrible. Puis hop, il se passe un truc (dans le genre licence littéraire, Sophie Kinsella s’autorise bien des rebondissements…) et on se retrouve avec une fille canon, à un super poste, mariée à un millionnaire cannonnissime aussi. Et puis finalement, elle se rend compte que la vraie vie c’est les sorties au pub avec ses copines, et que l’argent ne fait pas tout (qu’elle me le donne bordel) et bien sûr elle rencontre l’amour le vrai, en la personne d’un architecte ( ce qui, d’expérience, me semble impossible..)

    Bref un livre à lire vite fait à la plage et à oublier aussitôt. Ou même à ne pas lire en fait.

    Lu dans le cadre de « je ne sais pas résister à une couverture pourrie de Chick Lit », challenge ultra personnel….

  • Mister Pip et Hercule Poirot

    Souvent, quand je ne connais pas un auteur, je suis attirée par une couverture d’abord, puis un titre. Quand je dis attirée, ce n’est pas forcément positif. Je peux m’approcher d’un livre juste pour voir ce qui se cache derrière une couverture très belle ou au contraire bien trop criarde.

    Mister Pip fait partie de ces bouquins qui ont atterri dans ma bibliothèque parce que la couverture me piquait les yeux… Là c’est ma photo du bouquin qui va vous piquer les yeux…

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    Je ne regrette pas cette jolie lecture. Je vous mets d’abord le résumé de l’éditeur : « Sur une petite île du Pacifique, Matilda et ses camarades de classe se passionnent pour les aventures vieilles d’un siècle d’un orphelin appelé Pip, dans une ville appelée Londres qui leur paraît plus réelle que leur propre région à feu et à sang. Mais dans une Île ravagée par la guerre, l’imagination ne protège pas toujours de la folie des hommes. » L’auteur, Lloyd Jones, m’était tout à fait inconnu.

    Sur cette petite île du pacifique se dessine un très honorable roman d’initiation, avec pour personnage central une petite fille, Matilda, et Pip, le héros du roman de Dickens, « les grandes espérances ». Matilda et ses camarades habitent une île dévastée par la folie des hommes, la guerre, la cupidité meurtrière et la haine quotidienne. Leur monde est bouleversé, sans repère. Un drôle de personnage, Bel Œil Watts, décide de prendre les enfants en main, de leur faire classe. Mais pas n’importe quelle classe. Il les accompagne dans une véritable école de la vie, à travers Pip, le petit orphelin créé par Dickens. Les enfants vont apprendre de Bel Œil une autre façon de considérer la vie, l’humanité, jusqu’à effrayer les adultes. Ces adultes qui ne comprennent de la vie que la violence. Je me suis attaché à Monsieur Watts, à Matilda, je me suis fais plaisir à redécouvrir aussi le roman de Dickens, qui est mis à contribution par l’auteur. C’est un roman optimiste. J’ai retenu que l’apprentissage de la vie n’a pas d’âge et ne s’arrête jamais. J’ai des yeux pour voir, et pourtant je ne regarde pas toujours…

    Un roman à lire avec son ado, ou pour soi, simplement.

    Mister Pip de Lloyd Jones - Editions du Livre de poche

     

    Changement de décor, avec un ouvrage d’Agatha Christie.

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    « Les écuries d’Augias »  est le second volume des Travaux d’Hercule. Et oui, l’antiquité avait son héros, les détectives ont le leur aussi, et quel plus grand héros que le mythique Hercule Poirot ! Agatha Christie l’a donc fait héros de 12 nouvelles reprenant la thématique des 12 travaux de l’Hercule antique. Ce recueil comprend donc les nouvelles suivantes, en plus de celle qui donne le titre :

    Le Taureau de l’ile de Crète

    Les chevaux de Diomède

    Les troupeaux de Geryon

    Les Pommes d’or du jardin des Hespérides

    La capture de Cerbère

    Christie excelle dans l’art de la métaphore. Chaque nouvelle trouve un point d’ancrage dans un fait criminel, pour ensuite se construire autour de la signification antique de chaque mission. Et puis on se plait à croiser la serviable Miss Lemon, et l’intrigante Comtesse Rossakof, dans un restaurant, l’Enfer, qui lui sied comme un écrin à une perle un peu sombre… Bref, on passe un bon moment à déguster ces petites nouvelles !

    J’en profite pour signer là ma première participation au challenge Nouvelles de Sabbio,

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    et ma seconde pour celui de George.

    Les Ecuries d' Augias de Agatha Christie - Club des Masques.                        challange-agatha-christie.jpg