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  • Matutinale

    Parfois je me rappelle que j’ai un Pinterest, et je passe un joli moment à regarder de belles images. Des tasses à thé, des gâteaux époustouflants et des visages d’êtres inconnus mais pourtant aimés. C’est marrant comme ça peut me détendre, de passer de Tumblr à Pinterest, en faisant un crochet par We <3 it.

    Le truc c’est que j’ai beau me persuader du contraire, la vie est souvent moche. Le ciel est gris, il fait froid, je n’éprouve pas d’affection particulière pour mes collègues de travail.

    Mais j’aime bien marcher dans la ville, prendre le bus sous la pluie, et regarder les gouttes faire la course sur les vitres. J’aime moins les visages fermés de mes contemporains…

    Je regarde souvent le soleil se lever, même quand moi je ne suis pas obligée de sortir du lit. Je regarde le soleil apparaître sous les nuages, avec ces trainées de couleurs, et puis briller de plus en plus… Il y a quelque chose de magique dans cette vision. C’est le moment de la journée que je préfère, qui me rassure le plus. J’aime regarder l’aube naitre sous mes yeux, je peux me recoucher ensuite avec un sentiment incroyable d’apaisement.  Il y a ce moment particulier, entre la nuit et le jour, quelques minutes qui n’appartiennent ni à l’un ni à l’autre. Elles sont comme une échappée irréelle.

    Regarder l’aube et puis me rendormir, la tête pleine de nuages en couleurs  et d’oiseaux surréalistes. 

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    Allégorie de l' aube - William Bougereau


  • Harlan Coben - Remède Mortel

    Entamer un roman de Harlan Coben, c'est le risque de passer une nuit blanche. Cela a été le cas encore cette fois ! 

    Remède Mortel est la nouvelle sortie française du maitre américain du suspens. Il s'agit de la réédition de son second roman, paru initialement en 1991.

    Le sujet tourne autour du SIDA, maladie qui marque nos sociétés depuis les années 80 hélas. 

    Je vous mets le résumé de l'éditeur : "Une clinique new-yorkaise hautement sécurisée. Un médecin qui se suicide. Des patients sauvagement assassinés.

    Coïncidences ? Complot ?
    Et si l’annonce prochaine d’une extraordinaire découverte médicale avait déclenché cette vague meurtrière ?
    Sara Lowell, jeune journaliste très en vue, mène l’enquête. Mais ses révélations pourraient bien faire d’elle la prochaine victime d’un mystérieux serial killer…"

     

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    Le sujet est sensible. Un serial killer qui s'en prendrait à des malades du SIDA, les enjeux autours d'un éventuel traitement, tout ça crée une ambiance tendue. On est comme sous pression: à la fois intrigué par l'enquête elle-même, et inquiet pour les différents personnages, notament Sara et mari.

    Les scandales politico-sanitaires sont hélas une sorte d'habitude sous nos latitudes, en France ou ailleurs, alors on trouvera toujours à s'identifier, à s'interroger et à s'émouvoir de ces sujets. Si on rajoute à cela la plume incisive de Coben, et sa capacité à nous tenir en haleine, avec plus de rebondissements que dans un match de basket, on a l'assurance de frémir jusqu'à la dernière ligne !

    La chute finale est comme toujours chez Harlan Coben l'occasion d'un assaut final sur nos émotions de lecteurs.

     

    Retrouvez plus d'info sur ce dernier opus, disponible depuis le 15 septembre, sur le site de l'auteur, Harlan Coben, ainsi que sur sa page Facebook !

  • 1, 2, 3, Mickey, Donald et moi

    Il faut croire que je deviens accro aux sensations fortes… Après notre expérience de la fin juin, nous avons remis ça chez Disney. C’est motivés que samedi dernier, accompagnée de ma descendance, nous sommes allé chercher des sensations fortes. Et il y en a eu. Presque trop ^^ ! La tour de la terreur porte bien son nom…

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    On est reparti de là avec des babioles, surtout pour le petit. Des trucs Némo, et surtout Cars… Ha lala la Cars… C’est la star de la maison… Des livres, des images Panini, le DVD, des voitures, des peluches, des magnets, des tout ce qu’on voudra avec Cars dedans…

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    C’est curieux comme les héros naissent aux yeux des enfants… Bref, Flash MacQueen c’est le héros de mon fils.

    Enfin, notez que mon fils ne fait pas dans la discrimination, et que tout les dessins animés sont les bienvenus pour lui ^^ ! En ce moment,  il découvre Phineas et Ferb, sur Disney Channel.

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    Dessin animé très marrant, avec des frères très aventuriers. Et qui me vaut, de la part de mon fils, des demandes réitérées d’ornithorynque. Oui, un ornithorynque. Comme dans la série…  Je n’ose avouer à mon fils que le Père Noël ne lui apportera pas d’ornithorynque bleu…

    Il va se contenter de la série je crois :)

  • Touch of pink

    La rentrée est à peine entamée, mais la pluie, elle, s’est installée. Tant et si bien que le ciel est gris, et les gens aussi… je prends le même bus la plupart des matins, et je vois les mêmes gens habillés de la même triste manière.

    Depuis des années que je fréquente le monde du travail, dans des secteurs assez différents, je suis frappée par la même grisaille uniforme qui règne partout. La règle est qu’il ne faut pas se démarquer, qu’il faut se fondre dans le décor de l’entreprise. Je parle là essentiellement de vie de bureau,  de ces endroits où les hommes doivent être en costumes, et les femmes en tailleur sobre, avec relâche le vendredi parfois…  J’ai rarement rencontré des personnes qui osaient se démarquer vestimentairement parlant. Je ne suggère pas qu’il faille s’habiller comme un clown pour le principe,  mais je pense qu’on peut tenter de rester soi-même y compris dans le cadre du travail. Et je ne pense pas que le soi-même de tous mes collègues de bureau soit le gris et le noir…

    Moi, je fais comme je veux, parce que c’est comme ça, on me le pardonne la plupart du temps. Les naïfs voient en moi une fille « originale » « audacieuse », ou ce qui voudra qui excuse que je porte des escarpins jaunes ou une jupe orange (pas en même temps rassurez-vous…) J’ai noté que les gens craignent, à tort, de passer pour des gens un peu légers, ou superficiels, manquant de sérieux, s’ils font preuve d’une certaine fantaisie. C’est dommage.

    J’ai l’impression que le gris du dehors peut « contaminer » nos humeurs. J’aimerais voir un peu plus de couleurs, de fantaisie, de folie au quotidien. Pas seulement dans les vêtements d’ailleurs.

    Du vernis arc-en-ciel sur les mains, et des taches de couleurs vives dans la ville, c’est quand même pas compliqué :) 

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    PS : n'oubliez pas de jouer là (click click) pour gagner un petit lot sympa et coloré !

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