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Les films - Page 8

  • Viens que je te soul (in the) kitchen


    Aujourd'hui, j'ai franchi le mur du son de la fainéantise et de l'exploitation d'autrui.

    Non, je ne suis pas devenu casteur pour émission de téléréalité. Il me reste un peu d'amour propre.

    Twitter est un domaine plein de possibilités... J'ai déjà rameuté quasi toute ma Time Line pour voter pour moi chez Manu... Remember ?


    [Petite parenthèse, manu est ma nouvelle belle-maman, au fait : oui j'épouse son fils et j'hérite de tout ce qui est griffé Sonia Rykiel, reste plus qu'à convaincre le fiston en question, mais Daydreamer et Shaya ont déjà approuvé les robes de demoiselles d'honneur et la fontaine de mojito au mariage, et aussi des chips pour les gosses de Day et le mien, faut penser à tout, c'est usant]


    Tu comprends qu'avec tout ça, répondre à vos commentaire, ou écrire des notes, ce n'est pas évident... Alors je continue sur ma lancée « j'exploite honteusement mes gentils et talentueux followers ».

    Donc, voilà de quoi il s'agit : tu as certainement entendu parler de Soul Kitchen ? Mate le trailer du film:


    J'ai lu et vu de très bonnes critiques à son sujet, et j'espère aller le voir ce week-end. Mais sans payer ma place : puisqu' une charmante demoiselle qui s'occupe de la promotion de ce film m'a gentiment offert des places, afin que je me fasse une idée.

    Vu les excellentes critiques de Rue89 et des Inrock, je pense passer un bon moment !

    J'ai du coup aussi 2 fois 2 places à offrir !

    Pour te donner envie de le voir, même si tu ne gagnes pas les places ici, je pourrais attendre lundi et te faire un excellent résumé de ce film. Mais comme je te l'ai dit, je suis en mode « j'exploite mon prochain ». J'ai donc abusivement profité de l'innocence d'un adorable blogueur pour lui faire écrire une note sur ce film. LoCiol a donc vu et aimé le film, et tu pourras lire, s'il te plait, son avis à cet endroit là, click click.

    Une fois fait, tu reviens ici, et si tu veux gagner un des 2 lots de 2 entrées pour Soul Kitchen, je te demanderais simplement de répondre à une chose : quel festival international du film a décerné son prix spécial du Jury à Soul Kitchen ?


    Tirage au sort parmi les bonnes réponses demain à 22h , filmé grâce à la SUBLIME caméra Flip de la non moins SUBLIME Gazelle !


    That's all !


    Don't forget : Dans les souliers de Causette, un an d'abonnement à gagner, clik click !

     

  • Le ronin aux cheveux verts


    La grande Manu (un peu de flatterie ne nuit pas) nous propose un concours qui déchire sa mère (pas celle de Manu, je ne me permettrai pas... vu l'enjeu)  Un concours où je peux on peut gagner une mini caméra. Il suffit de parler de son film préféré. En gros, je schématise.

    Telle que tu me vois là, ange de ma vie, j'aime le cinéma, mais essentiellement avec des gens morts dedans.

    Halte là ne t'enfuis pas !! Non je ne suis pas fan de films de zombies et autre Saw 1, Saw 2, Saw 3 etc..... (Encore que ce soit le pied pour filer se réfugier dans les bras d'un charmant jeune homme, je suis fourbe et j'ai lu l'art de la guerre de Sun Tzu : ses techniques marchent aussi pour le cul et l'amour)

    Non, quand je parle de films avec des morts dedans, je parle des acteurs d'avant, car c'est connu c'était mieux avant ma bonne dame !

    Gregory Peck, Montgomery Clift, Clark Gable, Liz Taylor (qui va pas tarder à clamser je pense), autant de raisons de mouiller ma culotte cinéphile (oui, je suis dans une pleine période poésie).

    Alors comme je suis aussi une chieuse, en plus d'être poète, je vais te parler de 2 films, un du temps d'avant que c'était mieux avant, un d'un japonais, parce que j'aime le Japon et les japonais et toutes les japonaiseries possibles ! Mais tous 2 ont un point commun : ils me parlent à moi des relations humaines, du rapport qu'entretient l'homme avec les apparences, qui sont évidemment trompeuses, et la conscience que l'on a de sa propre éthique et de ses propres faiblesses.

    Alors, le premier que j'aime voir et revoir et que je te conseille de visionner en ces temps fâcheux d'identité nationale, c'est Le Garçon aux Cheveux Verts.

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    Le pitch comme dit Ardisson mon idole en matière de T-shirt noir, c'est le suivant : « Orphelin à la suite d'un bombardement sur Londres, le petit Peter Frey est recueilli par un vieil artiste de cirque, Gramp, qui manifeste tant d'affection et de gentillesse pour l'enfant que celui-ci se laisse peu à peu apprivoiser. Miss Brand, sa nouvelle institutrice, lui prête d'autant plus d'attention qu'elle sait que Peter est pupille de la Nation et ne peut se consoler de la perte de ses parents, malgré toutes les prévenances de Gramp. Quelle n'est pourtant pas la surprise de Peter, un matin, de se réveiller avec les cheveux verts ! Du jour au lendemain, il devient l'objet, puis la victime de la curiosité de ses petits camarades et des adultes qui se moquent de lui. Personne ne peut trouver d'explication valable à cette extraordinaire situation. »

    Film de Joseph Losey, avec dans le rôle du petit garçon, Dean Stockwell plus connu pour son rôle de Al l'hologramme dans Code Quantum....

    J'aime ce film car il montre tout simplement les réactions des uns et des autres face à l'inconnu, à l'étrange. Le petit garçon, en acquérant cette couleur de cheveux inhabituelle devient un étranger à sa propre communauté. Celle-ci ne se fonde que sur les apparences, et là où il y avait un petit garçon adorable, elle ne voit plus qu'un être étrange, qu'elle ne peut vraiment comprendre, ni affecter dans une case attendue. C'est évidemment une métaphore sur l'intégration, les étrangers, ceux qui doivent faire face à l'incompréhension des autres face à leur apparence. J'ai adoré cette façon  presque poétique de parler des différences sans l'air d'y toucher. Comment la même personne peut être vue de différentes manières pour une simple question de couleur de.....cheveux ! Ça peut sembler incroyable, mais finalement est-ce plus incompréhensible que de s'en tenir à une couleur de peau ?

     

    L'autre film, c'est Zatoïchi de et avec Takeshi Kitano. Le pitch : « Dans le Japon des samouraïs, Zatoïchi est un voyageur aveugle qui gagne sa vie en tant que joueur professionnel et masseur. Mais son handicap dissimule un guerrier stupéfiant dont l'extrême précision et la rapidité en font un combattant hors-pair. Au fil de ses pérégrinations, Zatoïchi arrive dans un village sous la coupe d'un chef local, Ginzo, qui fait régner la terreur en se débarrassant de quiconque osera se dresser sur son chemin, par l'intermédiaire d'un redoutable samouraï ronin, Hattori. Zatoïchi rencontre dans un bar deux geishas aussi belles que dangereuses, qui se rendent de ville en ville pour rechercher le meurtrier de leurs parents. Leur seul indice est un nom : Kuchinawa. Alors que les hommes de main de Ginzo découvrent Zatoïchi, le combat s'engage et la légendaire canne-épée de celui-ci entre en action. »

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    Zatoïchi est un incroyable guerrier, aveugle ! Pourtant il manie les armes comme personne ! Sans vouloir déflorer le film (auquel cas tu t'arrêtes de lire ici même) la chute est phénoménale et du coup nous interroge encore sur notre capacité à nous arrêter aux apparences ! En effet Zatoïchi n'est pas aveugle : il voit parfaitement ! Mais il considère que la véritable force est de s'affranchir de certaines apparences, la confiance est une force intérieure. Comme aveugle, Zatoïchi fait l'objet d'un mépris et l'on pense qu'il est fragile. Mais les apparences sont encore une fois trompeuses. Zatoïchi lui n'a pas besoin d'offrir une façade guerrière ou pleine d'une arrogante confiance pour réussir. Il puise sa force ailleurs, et nous prouve qu'il est inutile et dangereux de se contenter de  regarder la façade pour en tirer des conclusions.


    Voilà deux films que je te conseille de voir au plus vite !

     

  • Love Story

     

    Salut mon lapin, tu as vu comme je t'abandonne ? Le fait est que je ressens comme une immense fatigue morale. Je crois que j'ai envie de trucs merveilleux qui ne se passent pas en fait. Tu sais, la magie, l'incroyable, l'inattendu. Et il n'ya  rien que le quotidien, terne et quotidien justement.

    C'est à moi de le bousculer, je sais bien, mais là j'ai carrément envie qu'on me prenne par la main et qu'on m'emmène dans un endroit fabuleux

    Pourtant il y à matière à rêver si l'on s'en donne la peine. J'écoute toujours autant de musique, pas mal de Francis Lai et Michel Legrand en ce moment. Un peu nostalgique.

    Pour ce qui est de la lecture, je suis happée par Daphnée Du Maurier, dont je découvre quelques titres que j'avais négligé, surtout parce qu'ils n'étaient guère trouvable, mais heureusement Phoebus Libretto continue à nous proposer la réédition de chef d'œuvres oubliés.

    J'essaie de magnifier mon quotidien par l'écriture aussi. Pour tout te dire, enfin presque tout, j'ai ouvert un blog ailleurs, anonyme, qui me permet de fictionner un peu plus que de coutume.

    Le femme de Boris Vian est morte. Je me rends compte qu'on n'a jamais parlé de Vian toi et moi. C'est un tort. Tu sais que les écrivains sauvent le monde et les gens. Lui m'a sauvé quand j'avais 16 ans, il m'a montré qu'on peut être ce que l'on veut, et si les gens ne s'arrêtent qu'aux apparences, tu peux manipuler ces apparences et faire quand même ce que tu veux. Je crois que ça vaut la peine qu'on reparle de Boris, un vrai satrape lui.

    Erich Segal est mort. C'est un home incroyable, et on ne retient de lui que ce roman, Love Story, qui est pas mal, mais qui vaut surtout par le film qui en a été tiré ! Erich Segal est un homme incroyable oui, d'une diversité de talents et d'un éclectisme fabuleux ! Prenons date pour lui rendre un hommage correct.

    En attendant, écoute Andy Williams chanter le générique de Love Story, avec l'image radieuse d'Ali MacGraw, la femme de ma vie de toute éternité. Tiens, la musique est de Fancis Lai. Un des arcs parfait de la perfection : Ali MacGraw - Andy Williams - Francis Lai.

    Je crois que j'ai un fond greluche nunuche bien ancré : l'ouverture de cette chanson suffit à me vriller le cœur et à chercher le creux d'une épaule, n'importe quelle épaule presque.





    Tu sais peut-être que Madamezazaofmars nous a proposé un petit concours sympa, va voir . Je sais que plusieurs d'entre vous ont proposé déjà leurs photos, bravo à tous.

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    Pour ma part, tu sais ce qu'il en est, je suis incapable de faire une bonne photo seule, je dois toujours faire appel à une main secourable (Virginie ma chérie que serais-je sans tes photos ?), je n'ai pas participé, mais je serai ravie de voter, on a jusqu'à demain soir !

    Pour l'instant je me contenterais de te laisser admirer Ali MacGraw, oui encore, faut croire que c'est son jour. J'y peux rien si la regarder me fait pleurer tout en me rendant heureuse

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    Où puiser la magie du jour ? Je ne sais pas, mais je pressens que c'est une main amie qui prend la mienne, et qui m'emmène sous un ciel de lumière regarder un horizon visible à nos seuls yeux. Quelqu'un pourrait m'expliquer pourquoi la vie n'est pas que ça ? Naitre, travailler, mourir, c'est vain. A quoi occupons nous nos journées qui ne soit pas vain ? Dis-moi ? La vie n'est intéressante que par ses fantasmes, ses projections, rarement par son simple accomplissement.

    Sur ce, je te laisse, j'ai mon ordonnance de Seroplex à aller chercher.

     

  • Tonight Show

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    Une actrice merveilleuse. A la filmographie plus intéressante que les 3 éternels films qui repassent toujours.

    L’actrice blonde. Un personnage hors du temps.

    Si vous n’avez pas lu le récit de Joyce Carol Oates, allez-y, c’est une plongée en chute libre dans son cerveau et dans sa vie. D’une écriture particulièrement étonnante, émouvante. Comme en interne, en direct d’elle-même.

     

    Ce soir Marilyn dernières séances.

     

     

    My Marilyn - Ray Anthony

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  • Liz Taylor, le snobisme et moi

     

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    Continuons un peu la quête de nos hypothétiques lectures d’été.

     

     

    Today, a British Author, avec des majuscules s’il-vous plait: William Makepeace Thackeray. Même que ce n’est pas n’importe qui. Et ce n’est pas parce qu’il m’a sauvé la mise à mon oral d’anglais du bac que j’en parle. Non, non.

     

     

    Comme nous l’apprend Frère Wikipédia, Thackeray a écrit entre autre les Mémoires de Barry Lyndon, ouvrage adapté fabuleusement au cinéma par le fabuleux Stanley Kubrick (oui je suis snob, je trouve Kubrick fa-bu-leux), et vous me connaissez, je suis affublée de nombreuses manies. Une de ces manies c’est de décrypter le générique des films vus, et de me jeter sur le bouquin dont il peut éventuellement être tiré.

     

     

    C’est ainsi que je fis la connaissance de cet écrivain aussi indispensable à une bonne éducation, qu’un petit voyage en Brittanie (note- là une subtile allusion au concours de Manu, que tu es convié à enrichir de ton vote en faveur de 3 augustes participants de ton choix, dont moi si possible, sinon ta race passe ton chemin malotru, tu ne mérites pas de lire la suite) amen.

     

     

     

    Et Vanity Fair tu connais ? Ce n’est pas qu’une (géniale) revue, avec de sublimes séries photos :


     

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    Vas-y Keira mange un peu et arrête de faire la moue


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    Tina !!!!


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    Et oui, je me suis mise au cheval :)



    Vanity Fair c’est aussi et surtout un roman de Thackeray, tournant autour des aventures de deux jeunes amies de pensionnat, l’une aussi intrigante que l’autre est naïve.

     

     

    Si tu aimes l’humour, le cynisme, reste ici. Les deux titres dont on va parler méritent ton attention.


     

    D’abord le Livre des Snobs (par l’un d’entre eux) : c’est un portrait au vitriol de la société contemporaine, comme ils disent dans les pages livres du Monde.


     

    Thackeray décrit le snobisme comme « le travers qui consiste à vouloir paraître plus que ce qu’on est […] ». Tu penses que ça m’a parlé, moi pour qui ai comme leitmotiv les équations suivantes :


     

    Parfum = Frédéric Malle ou Serge Lutens

    Foulard = Hermes

    Maroquinier = Maison Goyard ou Bottega Veneta

    Vestiaire = Céline ou Hermes, what else ? Suggestion de la Banque: H&M…

    Thé = Mariage Frères


     

    Et on peut continuer ad libitum. Je paierais volontiers un tueur en série pour débarrasser la place de Paris de Guillaume Musso, Marc Lévy et Anna Gavalda. Le marché du disque se porterait mieux si on me demandait mon avis avant de lancer un artiste, tu ne crois pas ?


     

    Je pourrais ne me faire couper les cheveux que à sec chez Massato, ou ne me chausser que sur mesure chez Massaro : ne fais pas l’inverse, il pourrait t’en cuire ^^ !

     

     

    Mais pire que tout, j’ai cet affreux snobisme de succomber aux travers que je dénonce, au prétexte que je suis très second degré, ou que j’expérimente…Bref je suis aussi de très mauvaise foi. Mais que celui qui n’a jamais acheté un CD de Britney Spears me lance ses souliers Roger Vivier (taille 39 si possible, merci) la première pierre.


     

    Tu vois que Thackeray (fait chier à écrire son nom, trop compliqué), appelons-le Will, Will donc, a trouvé une fois de plus un chemin direct vers mes perversions les plus enfouies.

     

    Ses descriptions des mœurs des baronnes, duchesses et autres comtes, la dissection de l’étiquette, les soirées en ville ou à la campagne, tout est prétexte à une plume drôle et acide ! Et mon Dieu, essayez de faire des parallèles avec nos propres contemporains, vous verrez que je ne suis pas la pire !

     

     

     

    L’autre petit recueil, c’est « Ivanhoé à la rescousse ».


     

    Tu connais certainement le très beau roman Ivanhoé de Walter Scott ? Sinon, vas-y les yeux fermés : juste tu les rouvre pour lire les pages avec les mots dedans. Et si t’es pas une feignasse, mais un être sensible épris de beauté et de connaissance, tu peux même voir le film de Richard Thorpe, avec notamment la sublime (et encore je modère mon enthousiasme) Elizabeth Taylor :


     

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    Ici Will, il nous explose l’histoire : Ivanhoé se fait grave ièch à la maison avec cette gourdasse de Rowena (jouée par la blonde Joan Crawford, en concurrence avec la bellissime Liz Taylor) et il se dit que quand même merde, Rebecca (Aka Liz the one and only), c’était peut-être une meilleure opportunité, moins blonde, plus brune, plus piquante, (comme moi quoi) un meilleur coup en somme.


     

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    Ni une ni deux, Ivanhoé, cet inconstant indécis (un homme si tu préfère…) se lance en croisade sous le prétexte fallacieux d’aider Richard Cœur de Lion (comme le camembert) alors qu’en fait c’est pour rattraper le coup avec Rebecca, voire même pour la récupérer, tous les mêmes je vous dis !


     

    Will s’approprie vraiment l’œuvre de Walter Scott et la réinvente sans la dénaturer. Et je ne te cache pas que depuis des années je souffrais en silence du choix marital d’Ivanhoé, te dire si cette réécriture m’a bien fait plaisir !


     

    Alors tu te lances ??


     

    Après on parle polar anglais si tu veux bien !