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Oh Océane - Page 181

  • Le féminisme et moi, émoi ??

     

    Suis-je féministe ?

     

    C’est une question que je me suis souvent posée, sans y trouver de réponse. Sauf peut-être la suivante : c’est quand j’y pense le moins que je le suis vraiment.

     

    Mais dès que je commence à réfléchir à cette question, c’est le bazar dans ma tête. Ou plutôt les réponses aux grandes questions médiatiques ne trouvent jamais écho en moi.

     

    Ainsi de ce pauvre Orelsan.

     

    Vous avez tous entendu parler d’Orelsan je pense, et de la chanson commise par lui, la délicate « sale pute ». Ce titre a au moins pour lui un certain réalisme, à la Zola ?? Qui sait…

     

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    Attention je me prépare à réfléchir :)
    Meditation, by John William Waterhouse

    J’ai écouté cette chanson, et comment dire, ce n’est pas ma tasse de thé. Les paroles sont approximatives, mal assemblées, le tout manque de cohérence et même de vigueur, malgré la vulgarité du propos.

    Ce cher Aurélien, car c’est son prénom, s’est vu l’objet d’une diatribe médiatico-bloggosphérico-politique assez unanime.

     

    Hou le méchant qui traite les femmes de pute et en appelle à leur éviscération et autre joyeusetés (pour les personnes soucieuse d’exactitude ou les amateurs de gore, je vous invite à lire ou à écouter la chanson).

    Bon, c’est clair, j’ai pas aimé, c’est pas terrible, voire à chier.

     

    Toutefois, était-ce nécessaire de lever haut le bouclier du féminisme et de désigner Orelsan comme le nouvel Ennemi ??

     

    Je ne pense pas, en toute modestie (et puis je pense un peu ce que je veux en même temps), et c’est même assez comminatoire comme procédé.

     

    Aurélien est un jeune homme qui commet une œuvre intellectuel de fort mauvais gout certes, mais ça reste une œuvre de l’esprit. Et il en est de sa chanson comme de n’importe quel œuvre de création : elle reste la liberté de l’artiste, et la censurer, et bah, c’est de la censure non ??

    Si on me rétorque que les paroles sont méchantes, pas gentilles, tout ça, je rétorquerais à mon tour que le bon goût et le talent ne sont hélas pas une condition pour sortir une œuvre dans ce pays.

     

    Vous avez déjà écouté les paroles de certaines chansons (Requiem pour un fou) où notre Jauny national annonce qu’il a tué celle qu’il aime (cette te-pu) et qu’il butera tout ce qui bouge : c’est mal non ???

     

    Et la palanqué de chanson de Michel Sardou la nouille ? Le bon temps de colonies, femmes des années 80, le bac G, je suis pour (la peine de mort, explicit lyrics comme on dit !), j’en passe et des pires : mais tout autant de chansons qui m’ont agressé et qui m’agressent par leur racisme social et ethnique, par leur misogynie et par leur stupidité. Je ne me rappelle guère d'une levée de bouclier contre ces attentats aux Grands Principes du Droit.

    Vous connaissez Charles Baudelaire ou Sade, même Zola : de bien belles ordures, le rebut de l’humanité si j’en crois les chroniques de leurs contemporains ! J’espère qu’ils sont interdits en France, je frémirais si de tendres lycéens tombaient sur leurs textes ! Dieu fasse que la Mairie de Paris exerce à leur égard la même vigilance qui a conduit à exclure Orelsan du réseau des médiathèques de la ville.

    Et nous femmes, avons-nous besoin de telles ennemis ? Est-ce là le danger ? Ou est-ce un leurre, un joujou, un os à ronger, nous détournant de la revendication naturelle de nos justes droits ?

     

    Je penche pour une belle escroquerie intellectuelle.

     

    Vous vous rappelez la parité ? J’étais pour, je suis adhérente du Parti qui l’a mise en place (Vas-y Martine nique lui sa race à Manuel, vire-le pitiééé), mais à quoi ça a servi ?

    A mettre en place des femmes déjà bien lotie dans la vie, dans l’espoir que cela fasse aussi effet sur le reste de la société. Tu parles, que dalle.

     

    Les emmerdes de la caissière à mi-temps avec un planning éclaté sur une journée complète, c’est une réalité qui continue. Les femmes employées moins bien payées que leurs collègues hommes, ça continue. Les difficultés d’accès à certaines professions, ça continue. L’utilisation de l’image de la femme de manière infantilisante ou sexiste pour vendre une bagnole, ça continue ! Pourtant Mecedes Erra a bien été présidente d’un grand groupe publicitaire, non ? Une femme…Les femmes de pouvoirs agissent encore comme les hommes de pouvoirs: dans un seul but, la recherche de la préservation et de l'accroissement de leurs privilèges. Il n' y a pas plus de sororité que de fraternité en dehors du Saint Profit et de son dieu l' Argent.

    Alors ce pauvre Orelsan, franchement c’est pipi de chat, snake oil et compagnie.

    Je dis un grand bravo à Olivia Ruiz qui lui a dédié son concert des Francofolies : la question n’est même plus à l’esthétique musicale mais au principe de la censure. Quelles limites, et quels juges : vous ? Moi ? Le bon sens populaires qui élit et réélit des VOLEURS à la mairie de Levallois Perret, des escrocs à Nice, dans les Hauts-de-Seine, des dynasties de parasites à la tête des villes de France ? Et j’en prends ma part au PS…hélas.

     

    Qui peut s’arroger le droit à la censure et s’avancer comme un blanc chevalier ?

    Qui peut s’ériger en chantre d’une morale commune ? Frédéric Lefebvre ? Haaaaaaaa haaa ha !

     

    La vraie question est celle de l’éducation et de l’égalité réelle pour tous : mais ça c’est un peu plus compliqué que de dire bouh le méchant Orelsan, et puis merde ça demande une certaine réflexion, voire de l’argent ! Non, non, non, contentons-nous d’enfermer nos jeunes en prison plutôt que de les éduquer.

    Sinon, je vais faire ma moralisatrice à 2 balles, mais il y en a qui sont allé voter aux Européennes ?

    Si, si il y a un rapport.

  • Liz Taylor, le snobisme et moi

     

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    Continuons un peu la quête de nos hypothétiques lectures d’été.

     

     

    Today, a British Author, avec des majuscules s’il-vous plait: William Makepeace Thackeray. Même que ce n’est pas n’importe qui. Et ce n’est pas parce qu’il m’a sauvé la mise à mon oral d’anglais du bac que j’en parle. Non, non.

     

     

    Comme nous l’apprend Frère Wikipédia, Thackeray a écrit entre autre les Mémoires de Barry Lyndon, ouvrage adapté fabuleusement au cinéma par le fabuleux Stanley Kubrick (oui je suis snob, je trouve Kubrick fa-bu-leux), et vous me connaissez, je suis affublée de nombreuses manies. Une de ces manies c’est de décrypter le générique des films vus, et de me jeter sur le bouquin dont il peut éventuellement être tiré.

     

     

    C’est ainsi que je fis la connaissance de cet écrivain aussi indispensable à une bonne éducation, qu’un petit voyage en Brittanie (note- là une subtile allusion au concours de Manu, que tu es convié à enrichir de ton vote en faveur de 3 augustes participants de ton choix, dont moi si possible, sinon ta race passe ton chemin malotru, tu ne mérites pas de lire la suite) amen.

     

     

     

    Et Vanity Fair tu connais ? Ce n’est pas qu’une (géniale) revue, avec de sublimes séries photos :


     

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    Vas-y Keira mange un peu et arrête de faire la moue


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    Tina !!!!


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    Et oui, je me suis mise au cheval :)



    Vanity Fair c’est aussi et surtout un roman de Thackeray, tournant autour des aventures de deux jeunes amies de pensionnat, l’une aussi intrigante que l’autre est naïve.

     

     

    Si tu aimes l’humour, le cynisme, reste ici. Les deux titres dont on va parler méritent ton attention.


     

    D’abord le Livre des Snobs (par l’un d’entre eux) : c’est un portrait au vitriol de la société contemporaine, comme ils disent dans les pages livres du Monde.


     

    Thackeray décrit le snobisme comme « le travers qui consiste à vouloir paraître plus que ce qu’on est […] ». Tu penses que ça m’a parlé, moi pour qui ai comme leitmotiv les équations suivantes :


     

    Parfum = Frédéric Malle ou Serge Lutens

    Foulard = Hermes

    Maroquinier = Maison Goyard ou Bottega Veneta

    Vestiaire = Céline ou Hermes, what else ? Suggestion de la Banque: H&M…

    Thé = Mariage Frères


     

    Et on peut continuer ad libitum. Je paierais volontiers un tueur en série pour débarrasser la place de Paris de Guillaume Musso, Marc Lévy et Anna Gavalda. Le marché du disque se porterait mieux si on me demandait mon avis avant de lancer un artiste, tu ne crois pas ?


     

    Je pourrais ne me faire couper les cheveux que à sec chez Massato, ou ne me chausser que sur mesure chez Massaro : ne fais pas l’inverse, il pourrait t’en cuire ^^ !

     

     

    Mais pire que tout, j’ai cet affreux snobisme de succomber aux travers que je dénonce, au prétexte que je suis très second degré, ou que j’expérimente…Bref je suis aussi de très mauvaise foi. Mais que celui qui n’a jamais acheté un CD de Britney Spears me lance ses souliers Roger Vivier (taille 39 si possible, merci) la première pierre.


     

    Tu vois que Thackeray (fait chier à écrire son nom, trop compliqué), appelons-le Will, Will donc, a trouvé une fois de plus un chemin direct vers mes perversions les plus enfouies.

     

    Ses descriptions des mœurs des baronnes, duchesses et autres comtes, la dissection de l’étiquette, les soirées en ville ou à la campagne, tout est prétexte à une plume drôle et acide ! Et mon Dieu, essayez de faire des parallèles avec nos propres contemporains, vous verrez que je ne suis pas la pire !

     

     

     

    L’autre petit recueil, c’est « Ivanhoé à la rescousse ».


     

    Tu connais certainement le très beau roman Ivanhoé de Walter Scott ? Sinon, vas-y les yeux fermés : juste tu les rouvre pour lire les pages avec les mots dedans. Et si t’es pas une feignasse, mais un être sensible épris de beauté et de connaissance, tu peux même voir le film de Richard Thorpe, avec notamment la sublime (et encore je modère mon enthousiasme) Elizabeth Taylor :


     

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    Ici Will, il nous explose l’histoire : Ivanhoé se fait grave ièch à la maison avec cette gourdasse de Rowena (jouée par la blonde Joan Crawford, en concurrence avec la bellissime Liz Taylor) et il se dit que quand même merde, Rebecca (Aka Liz the one and only), c’était peut-être une meilleure opportunité, moins blonde, plus brune, plus piquante, (comme moi quoi) un meilleur coup en somme.


     

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    Ni une ni deux, Ivanhoé, cet inconstant indécis (un homme si tu préfère…) se lance en croisade sous le prétexte fallacieux d’aider Richard Cœur de Lion (comme le camembert) alors qu’en fait c’est pour rattraper le coup avec Rebecca, voire même pour la récupérer, tous les mêmes je vous dis !


     

    Will s’approprie vraiment l’œuvre de Walter Scott et la réinvente sans la dénaturer. Et je ne te cache pas que depuis des années je souffrais en silence du choix marital d’Ivanhoé, te dire si cette réécriture m’a bien fait plaisir !


     

    Alors tu te lances ??


     

    Après on parle polar anglais si tu veux bien !

  • Manger c'est bien

     

    Hello les girlz et les boyz ! On se remet en ordre et hop au rapport ! I’m back from the East of France and other frontiers, et j’ai survécu à l’ingestion répétée et dense de nourriture locales !

     

    Que les dieux du schnaps, de la flammekueche, et du pain d’épice soient avec moi ! Que me soient pardonnés les péchés de bonne chère, la truite au riesling, le baeckeofe au 3 viandes…Enfer et Damnation, l’Alsace est pavée de bons petits plats !

     

    Mais on en reparlera. Si, c’est promis ! C’est sur ma liste de post à poster ^^ !

     

    Mes loupiots je viens vers vous pour solliciter humblement votre participation.

     

    Deux choses.

     

     

    LA PLUS IMPORTANTE :

     

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    Va voter pour moi chez Manu, pour que je puisse me goberger, me goinfrer de délicieuse victuailles britanniques !

     

    Steplait fait pas ta pute soit gentil(le).

     

    Comme ça après ingestion dudit panier de victuailles je fais une photo de moi en maillot de bain Huit te remercie.

     

    Et fait un tour chez les autres participantes, tout le monde s'est bien pris au jeu !

     

     

    SINON POUR LES GENTILS INFORMATICIENS qui passeraient par là :

     

    Avant, genre la semaine dernière, le Pagerank google affichait 4/10 pour ce modeste blog. Je m’apprêtais à négocier des encarts pub ici en 4 par 3 auprès de Chanel et Dior, et du billet sponsorisé payable uniquement en lingots d’or, tranquille tu vois.

     

    Puis, horreur malheur, Pagerank ne me détecte même plus 'culé !!!!!! No info disponible qu’il me dit l’insolent !

     

    Ce n’est pas que mon ego surdimensionné ne se satisfasse déjà d’un poste à haute responsabilité, d’un corps plus que parfait, et d’un cerveau envié par la plupart des Prix Nobel de Physique. Certes. Mais quand même, je l’aimais bien mon pagerank google. Pourquoi il me reconnaît plus, hein pourquoi ??? J’ai rien fait, je l’jure, pas une manip’, rien !

     

    Alors si tu sais pourquoi comment qu’est-ce, sois mignon téléphone- moi.

     

     

     

     

     

     

    Envoie moi plutôt un mail ou manifeste toi comme tu veux, sauf les signaux de fumée, dans la coproprio c’est pas des flexibles, la fumée ça les stresse !

     

     

    Et n'oublie pas: Chez Manu !!!!

     

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  • Another Spielberg

    Au fait : je serais indisponible ici quelques jours, à moins que je me connecte depuis un cyber, mais je ne vous aime pas assez pour ça. Faut pas déconner quand même !

     

    Par contre Ginie ma poule, si tu passes par là ma chérie j’ai pensé à toi l’autre soir au Stade de France.

    Vu que ces athlètes s’obstinaient à courir tout habillés (Romain tu me déçois), bref j’avais que ça à faire de penser.

     

    Donc pour toi Ginie, et ton rapport compliqué aux feux d’artifice, spécial cace-dédi :

     

    Vas-y DJ fait nous kiffer la vibe…Mais pas trop fort j’ai mal à la tête.

     

     

    Et oui: aprés mes photos pourries, voici la vidéo qui sert à rien ^^ !

     

     

    A dans quelques jours, amusez-vous bien !

  • Manu je t'aime ( catégorie titre sincère, oui c'est nouveau)

     

    Manu ne fait pas que penser. Elle lance aussi des concours trop dans la hype bloggosphérique.

     

    Mais pas n’importe quoi !

     

    Des concours avec à manger dedans !!!

     

    Oui, du manger, du miam, de la bouffe ! Anglaise…

     

     

    Nooon revient, t’en va pas !

     

    Ado d'époque.

     

    De la bonne bouffe anglaise. Ne sois pas de mauvaise foi, oui ça existe !

     

    Ne te fie pas à tes souvenirs d'ado boutonneux!

     

    C’est vrai que souvent on découvre la nourriture anglaise en voyage scolaire au collège.

     

    Pour ma part, c’était en 1984, ou 1985, je sais plus. T'était pas né ? On s'en fout, insolent.

     

    J’y suis allée avec mon collège de bonnes sœurs, genre le couvent des oiseaux part en vadrouille.

     

    Mon binôme c’était celle qui est toujours ma meilleure amie Alexandra. A l’époque on s’habillait en jean neige ou en mini, les yeux charbonneux, on écoutait Cure et Madonna en fumant des joints le soir dans notre chambre à l’école…

     

    L’école avait affrété un car en commun avec l’école de GARÇONS. Enfin c’était majoritairement des branleurs de notre âge, pleins de boutons et à la voix aigüe, mais aigüe comme pas permis.

     

    Sauf David et Cyril ! Ils étaient beau, musclés ! C’était des vieux de troisième, autant dire des hommes mûrs et expérimentés. Et même qu’on est sorti avec eux dans le car.

     

    [Note pour la jeune génération : sortir à l’époque = rouler des gros patins en mettant les mains sous le pull de l’autre et en pouffant comme des idiotes.]

     

    T’imagine la découverte de la sensualité à l’arrière d’un car rempli de crétins et de branleuses ?? L’extase que c’était.

     

    Cyril, si tu passes par là, quand je t’ai dis que je t’aimais, en fait non, oublie, c’était des conneries.

     

    Bref, après des heures de roulages de pelles intenses, avec quand même des minutes-respirations, on arrive au port de Calais.

     

    Et tu sais quoi mon lecteur chéri : le tunnel sous la manche n’existait pas à l’époque !!! Tu rends compte ??? Alors quoi, tu pense qu’on est arrivé à Londres à la nage, en poussant le car depuis Calais ??

     

    Que Nenni, on a pris un bateau, enfin, un truc qui glisse sur l’eau et qui va vite pour toi, sans que tu ais a enfiler ton maillot de bain Adidas de compétition pour faire la brasse papillon.

     

    Je te passe les détails du voyage, pareil hein, toujours à base de pelotage intensifs et de cantiques chantés par ceusse qui avait la bouche non-occupée à mieux.

     

    Arrivé à Londres, les Bonnes Sœurs nous lâchent dans nos familles d’accueil.

     

    Alexandra et moi on arrive, on se présente, les indigènes nous font la bise. Tout va bien.

     

    Hop, ils nous montrent notre chambre, la cuisine, mettent la table.

     

    Et se barrent au pub !!!!! Sans nous, les enculés malotrus ! Et surtout en nous laissant devant ça :

     

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    Et ça aussi !

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    Pouahhhh, beurk pas bon, caca boudin, qu’on s’est dit avec Alex ! Tout a fini aux toilettes. Comme tout les repas qu’ils s’échinaient à nous servir avant de filer en famille au pub !

     

    Nous on était contentes, on avait quartier libre, pour sortir, fumer, boire et rouler des pelles.

    On s’est essentiellement nourris à base de fish and chips et de fruits.

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    Le reste, bof…

     

    Le matin on avalait des litres de thé au lait avec des toasts pour se caler, mais c’était pas la joie gustative.

    Mais ça reste un de mes meilleurs souvenirs ! Tu comprends, la découverte du corps de l’autre, à défaut des restos 3 étoiles de Londres, ça valait le déplacement ^^ !

     

    Manu, tu ne crois pas qu’il serait temps que je révise mon jugement sur les délices du palais Anglais (et je ne fais pas référence à Camilla et Charles, sinon je vomis mon fish and chips)

     

    God Save The Manu.

     

    Et que je n'en grille pas un à dire que je ne pense qu'au cul et à la bouffe !