Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Oh Océane - Page 183

  • Le pont

    Mes poulets:



    A venir, plusieurs notes sur


    - du thé,

    - des robes,

    - du féminisme avec de la prise de position dedans,

    - des livres, de la musique,


    Etc...etc...


    Faut juste que je les écrive en entier, en fait, avec des phrases et des mots qui vont bien ensemble.


    Je suis zen.....et pas au boulot !!!!


    A plus tard mes chéris.

     

     

  • Je reviens du Tabac

     

    Non, je ne veux pas mener cette chère Anna sur le sentier de la perdition, alors qu’elle entame un arrêt clope total.Non je ne suis pas comme ça. Anna, courage pense à ton 13ième mois !

     

    Dans la douce province d’où je viens, le bureau de tabac, c’est l’endroit où t’achètes les journaux, les timbres (et accessoirement des clopes, je le reconnais).

     

    Oui tu as compris, on va (encore !!!!) causer journaux.

     

    Causer. C’est le terme qui sied.

     

    J’ai hésité à faire un jeu de mot pourri pour le titre, genre causons de causette (oui Causette c’est la revue dont il va s’agir, mais on voit ça après, là je te raconte ma vie).

    Il était bien mon jeu de mot, ou bien pourri ? J’ai des velléités d’humour. Je suis sûr que je peux être aussi drôle que…Non pas Anne Roumanoff, ni Florence moyennement drôle Foresti…Ni Roselyne trop rose Bachelot…Non mon modèle de drôlerie féminine c’est  Barbie, la poupée : des années qu’elle nous fait rire avec sa caricature de la femme ! On y croirait. Barbie elle est tellement libérée, que la mienne je l’avais mariée avec mon otarie en plastique jaune (ou était-ce un phoque ? Je ne sais plus, le doute m’habite.)

     

    Bref, Barbie phoqueuse (mouahhhhhhh je suis drôle, z’avez vu ???), c’est le genre de sujet dont pourrait s’emparer CAUSETTE.

     

     

    Vous savez, le journal dont parlait Gee Mee dans un commentaire.

     

    Zieutez la couv’:

     

    couv.JPG

     

    Alors donc je ne connaissois pas cette revue. Chère, 4,9€  mais pour 2 mois, et dedans ça le vaut.

     

    C’est un magazine plus féminin du cerveau que du capiton, c’est le slogan du bidule, et ce n’est pas faux.

    On te parle faits de société, féminisme, actrice, romans, mais avec un vrai ton nouveau.

     

    edito.JPG

    Dans ce numéro, on aborde des sujets aussi variés que le maillot de bain ou les frais de nos députés, le pourquoi de la chasse aux poils. On croise des humoriste moins mains stream que les stars télévisuelles habituelles. Le journal est ponctué de dessins, de saynètes, ce qui change un peu des (indigestes) pages pub par millier.

     

    poil.JPG

     

    Le ton général est intelligent, pas trop relou non plus, ça reste très accessible, c’est simplement la prise en compte de nouvelles envies de lectures féminines.

    Ne vous attendez pas à des pages shopping par exemple pour l’article sur les maillots de bain, ce n’est pas le genre de la maison.

    Il y a une page très intéressante sur la gratuité, et ses enjeux actuels, de belles photos sur la Chine.

     

    Jusqu’au bout Causette nous soigne, avec une petite page bd très sympa en 4ième de Couverture.

     

    renommer.JPG

     

    Bref, une belle découverte, un régal. Recommandez-la à vos médiathèques cette petite Causette.

  • La fin de l'enfance #2

    2.jpg

     

    Je recule le moment d’écrire ce truc, que je ne sais même pas nommer. Pas hommage en tout cas.

     

    Juste une vague d’émotion qui est venue me surprendre. Michael Jackson, puisque c’est lui dont il s’agit, représente beaucoup pour moi.

    Je suis née à la fin des années 70, et j’ai donc grandi avec sa musique. Je me rappelle parfaitement de ces fabuleuses années 80, des Gazelle Adidas, du Tang, des poster d’Ok magazine et de Podium dans ma chambre.

    Et des 33 tours de Michael, acheté par mon grand frère. La folie qui s’est emparé de lui à l’écoute de ses chansons.

     

    Et comme mon frère m’avait initié à des choses aussi hétéroclites que le jeu de dame, le chewing-gum Hollywood en tablette, ou le talent de Marius Trésor ou Bernard Hinault ; de la même manière il me suggérait d’écouter ce prodige.

     

     

    time.jpg

    Toute jeune j’ai biberonné à la chanson française par ma maman (Daniel Balavoine, si tu nous entends…) et au son Motown, par mon frère. Bien sûr, il y avait d’autres artistes, mais parlons de Michael.

    Chacune de ses chansons était l'occasion d'une nouvelle hystérie à la maison !

    Je suis une femme très attachée au temps qui passe et aux souvenirs. La mémoire est le véritable siège de l’émotion, avant le cœur. Et ma mémoire est fidèle à ses émotions et à ce qui les a fait naitre. Ma mémoire et mes émotions doivent beaucoup aux années 80, époque de l’enfance, puis de l’adolescence. Comme j’ai eu des chocs littéraires avec de grands écrivains, Steinbeck, Hugo ou London par exemple, j’ai également eu des « révélations » musicales.

     

     

     

     

    D’aussi loin que remonte ma mémoire, je me rappelle plus ou moins de chanteurs, de musiciens, qui venaient ponctuellement apporter quelque chose dans ma vie, comme la votre certainement. Mais il y avait deux statues immuables : Mozart et Michael. Ne soyez pas choqués par ce parallèle, je vous parle simplement des deux grandes émotions musicales qui ne m’ont jamais fait faux bond.

    Je revois la petite chaine hi-fi dans ma chambre, avec les cassettes audio qui tournaient en boucle : des opéras de Mozart et les albums de Michael.

     

    m_mj6.jpg

     

    Michael c’est un paradigme à lui tout seul. Le paradigme de ma vie d’abord, en tout cas de ma vie telle que je la voyais adolescente. La souffrance, les névroses de l’enfance, dont certaines ne nous quittent jamais, et qui forgent une personnalité. Je ne parle même pas de la souffrance que l’on peut subir en réalité : je fais référence à cette capacité que l’on peut avoir, à un moment de sa vie, de porter toute la souffrance du monde, tel Atlas. Vrai ou faux peu importe, cette communion, cette empathie avec l’inconscient collectif, on la ressentait chez Michael : lui aussi portait le monde sur ses épaules, et cette névrose d’adolescent me le rendait encore plus sympathique.

     

    Michael c’est l’enfance, ce moment que je ne retrouverai jamais. Et c’est peut-être là que je bloque. Il a tellement marqué cette époque de ma vie, puis mon adolescence, que  sa mort signifie plus, trop.

     

    Tant qu’il était vivant, le champ des possibles était ouvert : un nouvel album, une nouvelle scène, certes. Mais surtout, lui vivant, c’est le passé qui continue, c’est la mémoire ravivée.

     

    Sa mort a mis en lumière la fin d’une époque pour moi. Je n’ai plus 10 ans, je ne suis plus chez mes parents, comme sur ce polaroïd, encadré par ma maman et mon frère, en jupe de velours bleu et sous-pull noir. Je ne suis plus entre eux deux, en attente de la vie. Je suis là, loin de tous mes repères, avec des années de plus. Des années passées à vivre une vie d’illusion et de projets infinis, comme une possibilité éternelle d’essayer, de tenter.

     

    La mort de l’artiste, c’est la mort de l’enfant d’abord : on ne se projette plus. Il faut agir et écrire son histoire définitive avant de partir soi-même.

     

    Et merde j'ai pleuré comme une idiote toute la semaine.

     

     

     

     

    billie jean.jpg
  • Revue de presse

     

    Ça te dit qu’on reparle journaux, revues, mensuels, hebdo, presse quoi ?

     

    En même temps t’as pas le choix, vu que je ne vais pas commencer non plus à te demander ton avis. Mais t’inquiète, ce temps viendra…

     

    [Ici, installation de la première phase de suspens…restez pas loin les gens, suite du teasing dans quelques jours !]

     

    Bref, revenons à nos moutons : nos amis les journaleux, et leur prolifique production.

     

    Tu connais mon amour immodéré de tout ce qui est écrit (même les boites de céréales le matin…), et donc je lis plein de journaux, des fois n’importe lesquels. Non, pas Libé, le Nouvel Obs ou le Figaro quand même, j’ai un sens de l’humour limité les concernant.

     

    Bon, voici ma cargaison de la semaine passée, avec une erreur d’achat, un fil rouge, et des petits nouveaux ! Tu joues avec moi ??

     

    Alors là, je crois que l’erreur on la voit tout de suite (le premier qui dit les Inrocks spécial MJ est banni à vie de ce blog, et je lui maraboute le zizi : oui M1, je pense à toi ^-^)

     

    journaux.JPG

     

    Si je vous dis « tous les secrets de Marc Levy »,  des conseils lectures par Anna Gavalda, des pages modes aussi excitantes que Angie from Secret Story, des bons plans sur Paris (oui Paris c’est la France), tu penses à qui ? À Elle…Oui j’ai fauté, je suis sorti de mon code de conduite, comme quand j’ai acheté (oui quoi payé avec mes sous !!) un deuxième roman de Guillaume Musso !! je sais pas, c’est mon goût pour l’aventure, l’inattendu, le risque ???

    Bref, il sera très bien au recyclage ce numéro de Elle… Sinon, il y avait la belle pub Dior Escale en quatrième de couverture, ça console.

     

    Par contre, camarade lecteur, jettes-toi sur le LIRE, spécial poche, si toi pas savoir quoi lire, t’auras des pistes, plein de pistes, ou tu me demande, j’adore caser les bouquins que j’aime !

     

    Et GQ, j’adore, je suis fan !! Même les photos à oilp de Gisèle, elles sont belles ! Il y a des articles pointus sur le cinéma, la musique, la littérature, les icônes d’hier et d’aujourd’hui, toutes choses qui intéressera les ladies aussi bien que les gentlemen ! Et leur page style sont très bien faites, avec de véritables leçons de bon goût et de dress code ! Lisez –le  si vous ne connaissez pas, vous serez agréablement surpris !

     

    Femme, comme d’hab’ j’aime, z’avez qu’à l’achetez vous saurez.

     

    Muze : je suis fidèle depuis le premier numéro, je vous en ai déjà parlé, un magazine féminin orienté sur la littérature et plus largement sur la culture.

     

    Et puis bah, les Inrocks, voilà quoi, je suis encore triste de ce que vous savez…

     

    Et là, que vois-je, que vois-je !!!

     

     

    cavill.JPG

    Oubliez BIBA, c’est BIBA quoi, rien de spécial, pareil z’avez qu’à l’acheter.

     

    Par contre le hors-série Muze sur des femmes d’exceptions, n’hésitez pas ! J’ai fais des découvertes, comme la photographe Tina Modotti, ou Louise Bourgeois ! C’est le genre de numéro que l’on garde longtemps !

     

    L’Optimum, encore une revue cataloguée Homme, que j’ai pris plaisirs à lire, mais moins que GQ. A voir…

     

    Au milieu de la photo, certains auront reconnu Henry sexy Cavill en une de  Upstreet, qui lui consacre un bel article, avec quelques portraits miam miam mais pas assez dénudé hélas !

    Upstreet est une belle revue, très classieuse, pointue et qui mérite le détour. Henry, Henry…

     

    Et puis bah, Télérama, c’est mon journal télé, encore plus intéressant que d’habitude…

     

    Le point je ne le prends jamais, jamais, sauf là. Pour ce que vous savez.

     

    Et le Time, je le lis quelquefois, et là, je ne pouvais le louper, pour ce que vous savez.

     

    Quant à celui dont je ne prononce pas le nom, malgré les multiples images que je vous en montre, je vous en reparle ce soir.

  • OctoTagg

     

    Aujourd’hui j’inaugure une série de tag, que je n’avais pu honorer du fait de ma petite absence bloggosphérique. Je me plie donc avec joie, maintenant que je retrouve un peu de temps libre, à ces joyeux questionnaires, qui nous apprennent parfois beaucoup sur nous-mêmes !

     

    J’ouvre le bal avec ce tag venant à la fois de Filipa et Chocoladdict, et vue chez Miss Babooshka.

     

    Allez voir leurs réponses, elles sont tout aussi passionnées et malicieuses les unes que les autres !

     

    La règle du jeu :

     

    1/ Ecrire 8 souhaits

    2/ Dire à quoi font penser les 10 mots donnés

    3/ Dire un mot sur sa tagueuse

    4/ Taguer 8 personnes et les prévenir

     

    Pour ma part :

     

    Mes souhaits :

     

    Maitriser mon avenir professionnel.

     

    Perdre quelques kilos superflus…

     

    Etre moins anxieuse, arrêter de tout le temps réfléchir, à tout et n’importe quoi : en gros lâcher prise.

     

    Apprécier les vacances, le farniente, rien foutre de la journée sans culpabiliser.

     

    Avoir mon permis. Ne pas rire please.

     

    Réfléchir au fait de savoir si je veux ou pas, vraiment un autre enfant.

     

    Etre moins intellectuelle passive, et un peu plus manuelle active, et n’y voyez aucuns sous-entendue sesskuelle.

     

    Avoir plein plein de flouze, de pognon, d’oseille, de blé, pour m’acheter des tonnes et des tonnes de chaussures et de bouquins et déménager dans un 100m2 dans Paris, et faire plaisirs à mes proches, et m’acheter des tonnes de chaussures et de bouquins aussi.

     

    En fait la liste pourrait être encore bien longue, mais on a dit 8 souhaits.

     

     

    A quoi me font penser les mots suivants :

     

    Message: you’ve got a message. L’attente, l’envie de voir un mail ou un SMS de l’Autre s’afficher sur ce fichu écran. Le manque entre 2 messages, l’angoisse, l’attente toujours, un peu plus insupportable. La lecture du message toujours trop rapide, toujours trop court, même s’il s’agit de longues et belles lignes. Et on le lit comme on s’envoie un shot de vodka, et puis on redescente violemment sur terre quand cela se termine. Jusqu’au prochain message. Jusqu’au dernier message, celui qui clôt tout les autres, qui met fin au voyage. La descente d’acide finale. Mortelle.

     

    Blogs : beaucoup de rencontres virtuelles, des découvertes et des coups de cœur. Je ressens des attachements que je n’aurais pas crû possible. On se prend d’affection pour des personnalités, un ton, des opinions. Des fois je me dis que finalement c’est seulement un aspect des gens que je connais comme ça, mais n’est-ce pas le plus sincère d’entre eux ? En tout cas je ne lis et ne commente que les blogs que j’apprécie. Il m’arrive quand même de faire des incursions dans certains territoires, en bonne donneuse de leçon que je suis, mais je comprends vite qu’essayer de convaincre quelqu’un que ses écrits sont discriminatoires ou misogyne, ou je ne sais quoi, est au mieux illusoire et de toute façon inutile.

     

    Prix du livre : trop cher mon ami, trop cher. Je n’achète quasiment que du livre de poche, qui est aussi de plus en plus cher.

     

    Croix : des cases à cocher, qui détermine un avenir immédiat, au pif parfois ! Le point de croix, le seul que je maitrise un peu en broderie !

     

    Scrap : ça fait partie des de mes velléités de manuelle active (cf. plus haut), et parce que je crois que scrap de bon goût existe ^-^.

     

    Création : l’essence de la vie. Nous avons tous des dont pour la création, sous une forme ou une autre. Créer c’est vivre.

     

    Bonheur : à trop le chercher, le conceptualiser, il m’échappe parfois. Alors que c’est simplement faire ce qu’on a à faire et vivre selon ses principes. Mais je retombes encore souvent dans des travers fâcheux : la chasse au snark, essayer d’attraper l’illusion loin là-bas devant moi, et une fois arrivée au but, me dire que l’illusion est mieux au loin. Moby Dick, le Snark et le K, sont les trois mantras que je me récite quelquefois pour ne pas oublier de ne jamais tenter de rattraper la chimère, elle n’est pas le bonheur.

     

    Vie : voir aux items Création, Bonheur et Passion. C’est dur de se rendre compte très tard que la vie, bah elle se vit, et c’est tout.

     

    Enfant : mon bébé, mon garçon, mon Trésor, mon chéri, mon cœur, ma vie. Du coup j’ai un peu de mal à m’imaginer avec un second enfant, l’aimerais-je autant ? J’ai donné tout mon cœur à mon fils, je ne sais pas si je suis capable de le faire 2 fois.

     

    Passion : le ressort de la vie. Ah si je pouvais ne faire que ce qui me passionne : lire, écrire, partager. D’ailleurs je cherche un aimable sponsor, qui m’éviterais d’avoir à travailler, ça serait sympa, merci de me contacter par mail.

     

    Dire un mot sur les taggueuses.

     

    Filipa : j’adore sa fraicheur et son enthousiasme ! Son blog est à son image plein de livres et de références Britanniques, dynamique et vivant. Elle sait partager ses coups de cœur, mettre l’accent sur ce qu’elle trouve de positif. Je plonge quelquefois dans ses listes de bouquins pour trouver de nouvelles sources de plaisirs. J’espère que tes souhaits se réaliseront Filipa !

     

    Chocoladdict : J’ai découvert son univers plus récemment et c’est une heureuse découverte. Elle donne l’image d’une femme drôle, sincère, enthousiaste elle aussi ! Et ce pseudo, mon Dieu ce pseudo à lui seul est un péché ! Elle me fait rire sur certaines notes, et puis elle sait adopter un ton plus tendre, plus sérieux parfois.

     

    Miss Babooshka : son pseudo se réfère à une artiste que j’aime énormément, alors j’avais déjà un a priori positif en découvrant son univers ! Elle nous montre une palette de passions proprement attachante. Bibliovore elle aussi, j’adore jeter un œil aux titre dont elle nous parle. Et comme Filipa, elle m’ fait découvrit pas mal d’artiste, de séries, de domaines où je ne serais pas forcément allée, mais que sa façon d’aborder rend intéressant.

     

     

    Tagguer 8 personnes : heu, non. Je crois que ce tag à fait le tour du monde des blogs que je lis alors je m’abstiens, sauf si quelqu’un se dévoue !