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Saviez-vous qu’il a neigé cette semaine ? Mais oui :) incroyable non ? Savez-vous ce qui se passe quand il neige ? A part les vilaines glissades ? Et bien je repense à chaque jour que j’ai connu sous la neige : j’en ai connu bien peu, juste assez pour m’en rappeler, et c’est agréable :)
Mise à part cela, on va passer quelques instants aux choses sérieuses, avec des résultats de concours.
D’abord, pour le concours Spartoo, qui permettait de gagner un bon d’achat de 50€, une main innocente, bien que collante à cause des fraises tagada je suppose, a désigné Niko, s’il veut bien m’envoyer ses coordonnées ça sera cool :)
Je crois que ma descendance aime manger des bonbons juste avant que je l’invite à choisir un petit papier dans un chapeau, ça doit être un gimmick entre nous ?
Bref, autre tirage au sort tagadacollant, avec la bOhx, cette fois-ci le sort a désigné Miss Cupcake : j’attends tes coordonnées !
Il va falloir que je retourne acheter des fraises tagada…
Sinon, autre chose ?
Oui, bien sûr :)
J’ai vu cette semaine Raintree Country, le fameux film d’Elizabeth Taylor que je cherchais, sans me souvenir du titre. Merci au hasard curieux qui l’a mis entre mes mains, un hasard auquel je m’attache, même si on ne se comprend pas toujours lui et moi.
Cette semaine, j’ai aussi pas mal tourné autour du livre de Dominique Bona, sur Gala, la femme de Dali. Je l’ai pris, reposé, repris, feuilleté, reposé, sans me décider à l’acquérir. Pourquoi ? Je ne sais pas. Je ne me comprends pas toujours… J’ai peut-être peur du coté gossip, de lire des choses peu amènes sur l’un ou l’autre… On verra bien, je sais que je finirais par le lire.
Cette semaine comme toutes les semaines, j’ai pensé au premier bouquet de pivoines, quand mai sera là, et comme leur saison passe bien vite, et quelles couleurs éclatantes j’ai envie de voir dans mon salon.
Puis mon esprit s’est perdu ailleurs. Il y avait encore quelques pivoines bien sûr, et puis quelqu’un qui me faisait la lecture. C’est quelque chose de spécial, une personne qui vous lit quelques lignes, juste pour vous. Voilà, j’étais là, les yeux fermés, à penser combien ce serait agréable d’être bercée par une voix amie, (aimée ?) reprenant les mots de Aragon, Pouchkine, Kawabata ou Eluard.
C’est la question qui revient souvent dans mes réflexions.
En réalité, la vraie question qui me taraude, c'est : qu’appelle-t-on Amour ? C’est quelque chose que l’on reconnaît en le vivant ? Est-ce un mot qu’on place sur des événements pour les draper d’un bel habit ?
L’Amour est-il encore de l’amour quand il fait souffrir ? Doit-il faire souffrir ? Apaiser ? Est-ce un voyage tranquille à deux, ou une sorte de combat qu’on se livre ?
Peut-être que c’est tout cela en même temps. Ou rien de tout ça.
L’amour, c’est l’absence présente dans ton cœur en permanence. Peut-être ?
C’est étrange, un Janus des sentiments : la chose qui réussit tout aussi bien à creuser un trou dans ton cœur, imperceptiblement, et à le remplir, le faire gonfler de joie.
Faut-il une réponse ? Pas forcément.
(L’art de poser des questions inutiles un jeudi soir…)
Bon. J’avais eu un petit sursaut d’optimisme, bla bla le soleil blabla le printemps… J’avais donc fait péter les ballerines. Et là, au lieu d’une fichue hirondelle, qu’est ce qu’on voit ? Une tempête de neige, un blizzard, oui un blizzard madame ! Quand la neige m’arrive aux mollets, j’ai tendance à transformer tout ce qui tombe du ciel en blizzard :)
Autant dire que les ballerines => poubelles (en vrai j’ai pu les sauver)
Ce qu’il m’aurait fallu aux pieds ? Des bottes. Bah oui, bêtement, des bottes… Le truc que je n’achète que contrainte et forcée, j’ai rarement des coups de cœur pour des bottes. Parlez-moi d’escarpins, de ballerines, de sandales, mais des bottes…
Sauf que quand il neige, les escarpins et les sandales, hein… C’est pas pratique (euphémisme inside)
Bref, les pieds froids, mouillés, gelés, endoloris et fébriles (tout ça à la fois, j’ai jeté un œil ému et envieux aux bottes de chez Moon Boot, marque que j’avais complètement oublié (d’où les orteils surgelés…) Depuis deux jours j’ai envie de chaleur, de confort, d’imperméabilité, j’ai envie de poser le pied dans la neige sans risquer de transformer mes orteils en croustibat.
Plus chocolat que croustibat, je craque pour cette paire superbe, qui ne craindra ni pluie ni neige (une livraison express ?!!!)
J’aime bien aussi cette version plus classique, presque doudou avec la moumoute qui déborde, et qui laisse envisager toute la chaleur du monde pour des pieds heureux (mes pieds ont des sentiments, pas les vôtres ?)
Enfin, voilà quoi, les botes c’est comme pour tout, il suffit de trouver chaussure à son pied :)
Sinon, je veux bien une hirondelle pour faire le printemps quand même !