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Les livres - Page 40

  • Je m'ennuie au bureau des fois

     

    Hello les lapins :

     

    C’est ma journée préférée : lundi, le retour au bureau ! Yeaaaaahhhh !

     

    Mais si ! Pourquoi ? Ce n’est pas crédible ?

     

    Dis-moi alors où, ailleurs qu’au bureau, tu peux tranquillement mettre à jour ton agrégateur de flux, à l’abri derrière un écran 24 pouces, sans se soucier des collègues partis en vacances ?

     

    Et puis j’ai une liste de tag à faire qui est assez mastoc, donc de la tranquillité il m’en faudra aujourd’hui.

     

    J’entends des voix grincer « et ton professionnalisme alors ???? » Pffff bandes de vautours prêts à mettre à bas mon intégrité professionnelle ! Je suis écœurée !

    Sache, malotru, que je prends sur mes temps de pause : oui je me sacrifie pour toi !

     

     

    Quand tu auras fini d’insinuer que je ne fiche rien au travail (comme toi qui me lis en quelque sorte), tu pourras piocher plus bas une idée bouquin pour la plage si tu es aoûtien, ou pour chez toi si ta vie sexuelle n’affole pas les scénaristes de Marc Dorcel.

     

     

    Comme j’ai la fâcheuse maladie dite de la « collectionite aigüe », j’ai acquis le dernier opus de la célèbre accro du shopping : cette fois elle s’est reproduite avec Luke.

     

     

    Je ne te cache pas que ça ne provoque plus chez moi le fol enthousiasme du début. Ok, ça n’a jamais provoqué de fol enthousiasme. Mais il y avait quand même des passages nombreux à faire rire un éléphant !

     

     

    Mais au fur et a mesure de l’avancement de la série, je ne peux pas m’empêcher de voir comme simplement des prétexte à surfer sur la vague du succès, que véritablement une idée nouvelle qui s’impose à tout écrivain.

     

    Mais bref, il parait que je suis une langue de pute, alors…

     

    Quand même, après celui-ci ; j’attends avec impatience « l’accro du shopping devient lesbienne », « l’accro du shopping passe son permis », « l’accro du shopping prend sa carte à l’UMP », bref j’ai plein d’idées, si l’auteur souhaite me contacter, on en reparle !

     

     

    Alors dans cette nouvelle histoire Becky Bloomwood est enceinte, et évidemment claque des tonnes de frics pour l’arrivée du grumeau. Elle vire son gynéco de famille (ça existe ça, drôle de concept ? Mais passons…) pour engager ze gynéco of ze stars and ze mannequins.

     

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    Et tu sais quoi ? Comme par hasard c’est l’ex de son mari, et cette ex est évidemment toujours amoureuse de Luke et c’est qu’une vilaine méchante qui va faire pleurer Becky, hou la grosse vilaine. Mais tu t’en doutes, et je ne fais pas de révélations fracassante : tout est bien qui fini bien.

     

    C’est gentil, c’est pas fin, mais ça se lit sans faim (référence inside, sauras-tu la retrouver ?) Vraiment il n’y a pas grand-chose d’autre à dire. Désolée.

     

    Et puis je te rappelle que je suis au bureau : me faire chopper en train de disserter sur Becky Bloomwood, alors que je me promène ostensiblement avec "Crime et Châtiment "  en allemand, ça me ferait mal.

    Oui je lis un écrivain russe en allemand, c’est tout un concept, ne me remercie pas de ce moment de bonheur, c’est cadeau chéri. Je ne parle pas russe, et je fais ce que je veux.

     

     

    La suite : toujours chez nos prolifiques amis Grand-Briton. Nicci French est le pseudonyme d’un couple tellement amoureux qu’ils ont trop bien fait l’amour, alors ce n’est plus un challenge digne d’eux. Du coup ils font comme moi, ils écrivent.

    Non, je te rassure, j’ai des ressources insoupçonnées : maintenant je fais l’amour en parlant allemand. Vivement que j’apprenne le russe.

     

    Par contre, tu vois, Nicci et French ont moins l’esprit de challenge que moi, alors ils se contentent d’écrire. Mais ils écrivent bien. Ouf !!

     

    La preuve, j’ai lu tout ce qu’ils ont publié à ce jour. Oui c’est une preuve, insolent.

     

    Au début, j’en ai acheté un pour voir, « feu de glace ». J’ai beaucoup aimé l’écriture. Il est toujours agréable d’être happé par une ambiance. Et pour ça ils savent y faire nos deux loupiots. C'est-à-dire que les sensations collent à l’histoire. Je me suis retrouvée à vivre dans ma peau la canicule d’un été à Londres, l’angoisse d’une femme traquée, les désarrois d’une mère à la recherche de sa fille.

     

     

    Les deux auteurs plongent dans le cerveau de leurs protagonistes, et on vit la montée d’adrénaline de l’intérieure. Les angoisses, les questionnements sont subtilement amenés. Il y a toujours une grande cohérence dans leurs histoires, et c’est peut-être le plus effrayant, ce côté « Polar de proximité ».

     

     

    Du coup, je me suis mise à les acquérir par paquet de 4, et maintenant c’est fini, y en a plus ! Sniff…

     

     

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    Voilà, débrouille-toi maintenant, prend celui que tu veux. J’ai un travail moi, j’y vais. Bisous quand même.

     

     

     

     

  • Les Feux de l' Amour

     

    Ma caille, mon chéri, ici on saute du coq à l’âne : non rassure toi, je ne te parlerai de notre Nicolas de Président. Les bonnes choses il faut savoir les espacer pour les savourer.

     

     

    Non, aujourd’hui on cause Littérature dans le poste. Avec un grand L comme Lobotomie, Love, Limite acceptable à ne pas franchir, Liaisons Torrides etc…etc

     

     

    Mon poulet si, quand je te parle chick lit t’as envie de te barrer, passe ton chemin, ou reste, on va rire.

     

     

    Thackeray c’est bien, mais comme on dit chez Flunch, la variété c’est la vie.

     

     

    Alors aujourd’hui je veux t’emmener sur des territoires inconnus. Même de moi, ou presque.

     

     

    Les fautifs : Daniel, le roi de l’orthographe et de la chick lit (faut pas m’en vouloir Daniel J ),

    et Chiffonnette dans son terrier !

     

     

    De quoi s’agit-il ??

     

    De ça :

     

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    Ça claque sa race, non ??

     

    Et oui, il va s’agir d’ Harlequiner à donf’, c’est l’expression consacrée !

     

     

    Le challenge consiste à lire et à commenter un bouquin Harlequin, ou assimilé. Vous pouvez déjà lire la chronique de Daniel, celle de Chiffonette, et vous trouverez chez elle d’autres liens !

     

     

    Mes chéris, j’en ai acheté trois ! Oui je suis folle ! Mais j’avais tellement honte de cet achat, j’ai perdu pied! J’aurais été plus à l’aise en achetant une revue porno, ou presque ! Vous m’auriez vu à la caisse du Carrouf’ : j’étais rouge comme une pivoine !

     

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    Les titres: "Les belles amazones", "Une princesse amoureuse" et " à bord du diamant bleu"

     

    Et me voilà avec ces trois exemplaires : du coup je ne sais par lequel commencer ! Alors s’il te plait, manifeste toi et dis moi ton titre préféré, celui que je dois entamer !

     

     

    Je promets de le lire très vite et de vous en reparler après.

     

     

    J’aimerais particulièrement avoir l’avis de la maïeuticienne des piscines municipales, celui de la panthère qui fait grrrr, et aussi l’avis de ma jumelle cosmique ( au fait, mon Cyril maintenant il est gros et moche mouahhh).

     

    Si la reine des salles de sport à une opinion, je dis banco.

     

    Ou ferais-je jouer mon chauvinisme Nantais ?

     

    L'avis d'une sage au rickshaw ??

     

    Et toi le gros minou, t’en pense quoi du bouquin ? On attend l’avis de la fabuleuse blogueuse ? Ou celui de la plus belle en Mugler ?

     

    En même temps, on pourrait voir ce qu’en pense ma te-pu préférée que j'aime d'amour shoesesque, ou bien cette virginale future mariée, ou cette virginale future maman, ou la virginale jeune marié qui fait rien qu’à dire du mal de Nicolas Sarkosy !

     

     

    Comme on est multilingues, on demandera aussi l’avis de la Suisse ( 'tain, ça se marie dans tout les sens !!), celui de la Belgique également !

     

     

    En même temps, je connais une spécialiste du monde anglo-saxon, et de son bon goût, sera-t-elle plus à même de m’aider qu’une ex expat’ du Japon ?? Ou qu’une y vivant toujours ? Qui sait ?

     

    Par contre, si on attend que celle qui pérégrine finisse son ménage, on n'est pas sorti ! Et ce n’est pas la seule à pérégriner : certaines sont en vacaciones ou du côté de Carthage !

     

     

    Une libraire maman pourra peut-être nous aider ? Au pire, si on fatigue, on ira booster notre cerveau avec les jeux du petit Pimousse.

     

     

    Et je sais que je peux compter sur le cafetier-geek pour donner un avis objectif sur l’héroïne qui méritera au départ mon attention.

     

     

    Bref, si tu as un coup de cœur pour un des trois titres, aide-moi à choisir, là ils sont tous trop tentant…Si, si

     

  • Tonight Show

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    Une actrice merveilleuse. A la filmographie plus intéressante que les 3 éternels films qui repassent toujours.

    L’actrice blonde. Un personnage hors du temps.

    Si vous n’avez pas lu le récit de Joyce Carol Oates, allez-y, c’est une plongée en chute libre dans son cerveau et dans sa vie. D’une écriture particulièrement étonnante, émouvante. Comme en interne, en direct d’elle-même.

     

    Ce soir Marilyn dernières séances.

     

     

    My Marilyn - Ray Anthony

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  • Toute ressemblance ne serait pas fortuite

     

     

    Très contemporain, non ?

     

     

    Sinon, je ne me suis pas foulée aujourd'hui. Un extrait du magnifique "Napoléon le petit" de Victor Hugo. Remplacez simplement l'image de Louis-Napoléon par celle d'un être un peu nerveux, un peu bourré de tics (et parfois d'alccol), un peu hâbleur et veule, un peu inculte et beauf, un peu autoritariste, un peu con pour résumer grossièrement, et cela fera la blague pour ce jour.

     

    [...] Qu'on traduise devant les assises un malfaiteur quelconque, le voleur dira aux juges: Le chef de l'État a volé vingt-cinq millions à la Banque; le faux témoin dira aux juges: Le chef de l'État a fait un serment à la face de Dieu et des hommes, et ce serment, il l'a violé; le coupable de séquestration arbitraire dira: Le chef de l'État a arrêté et détenu contre toutes les lois les représentants inviolables du peuple souverain; l'escroc dira: Le chef de l'État a escroqué son mandat, escroqué le pouvoir, escroqué les Tuileries; le faussaire dira: Le chef de l'État a falsifié un scrutin; le bandit du coin du bois dira: Le chef de l'État a coupé leur bourse aux princes d'Orléans; le meurtrier dira: Le chef de l'État a fusillé, mitraillé, sabré et égorgé les passants dans les rues; - et tous ensemble, escroc, faussaire, faux témoin, bandit, voleur, assassin, ajouteront: - Et vous, juges, vous êtes allés saluer cet homme, vous êtes allés le louer de s'être parjuré, le complimenter d'avoir fait un faux, le glorifier d'avoir escroqué, le féliciter d'avoir volé et le remercier d'avoir assassiné ! qu'est-ce que vous nous voulez ?
    Certes, c'est là un état de choses grave. S'endormir sur une telle situation, c'est une ignominie de plus.
    Il est temps, répétons-le, que ce monstrueux sommeil des consciences finisse. Il ne faut pas qu'après cet effrayant scandale, le triomphe du crime, ce scandale plus effrayant encore soit donné aux hommes: l'indifférence du monde civilisé.
    Si cela était, l'histoire apparaîtrait un jour comme une vengeresse; et dès à présent, de même que les lions blessés s'enfoncent dans les solitudes, l'homme juste, voilant sa face en présence de cet abaissement universel, se réfugierait dans l'immensité du mépris.[...]

     

    [...]

     

    [...]Les sceptiques sourient et insistent; ils disent: "N'espérez rien. Ce régime, selon vous, est la honte de la France. Soit; cette honte est cotée à la Bourse. N'espérez rien. Vous êtes des poëtes et des rêveurs si vous espérez. Regardez donc: la tribune, la presse, l'intelligence, la parole, la pensée, tout ce qui était la liberté a disparu. Hier cela remuait, cela s'agitait, cela vivait, aujourd'hui cela est pétrifié. Eh bien, on est content, on s'accommode de cette pétrification, on en tire parti, on y fait ses affaires, on vit là-dessus comme à l'ordinaire. La société continue, et force honnêtes gens trouvent les choses bien ainsi. Pourquoi voulez-vous que cette situation change ? pourquoi voulez-vous que cette situation finisse ? Ne vous faites pas illusion, ceci est solide, ceci est stable, ceci est le présent et l'avenir."[...]

     

    Pour les moins fainéants d'entre nous, il est possible de lire le texte en entier à cet endroit.

  • Liz Taylor, le snobisme et moi

     

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    Continuons un peu la quête de nos hypothétiques lectures d’été.

     

     

    Today, a British Author, avec des majuscules s’il-vous plait: William Makepeace Thackeray. Même que ce n’est pas n’importe qui. Et ce n’est pas parce qu’il m’a sauvé la mise à mon oral d’anglais du bac que j’en parle. Non, non.

     

     

    Comme nous l’apprend Frère Wikipédia, Thackeray a écrit entre autre les Mémoires de Barry Lyndon, ouvrage adapté fabuleusement au cinéma par le fabuleux Stanley Kubrick (oui je suis snob, je trouve Kubrick fa-bu-leux), et vous me connaissez, je suis affublée de nombreuses manies. Une de ces manies c’est de décrypter le générique des films vus, et de me jeter sur le bouquin dont il peut éventuellement être tiré.

     

     

    C’est ainsi que je fis la connaissance de cet écrivain aussi indispensable à une bonne éducation, qu’un petit voyage en Brittanie (note- là une subtile allusion au concours de Manu, que tu es convié à enrichir de ton vote en faveur de 3 augustes participants de ton choix, dont moi si possible, sinon ta race passe ton chemin malotru, tu ne mérites pas de lire la suite) amen.

     

     

     

    Et Vanity Fair tu connais ? Ce n’est pas qu’une (géniale) revue, avec de sublimes séries photos :


     

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    Vas-y Keira mange un peu et arrête de faire la moue


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    Tina !!!!


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    Et oui, je me suis mise au cheval :)



    Vanity Fair c’est aussi et surtout un roman de Thackeray, tournant autour des aventures de deux jeunes amies de pensionnat, l’une aussi intrigante que l’autre est naïve.

     

     

    Si tu aimes l’humour, le cynisme, reste ici. Les deux titres dont on va parler méritent ton attention.


     

    D’abord le Livre des Snobs (par l’un d’entre eux) : c’est un portrait au vitriol de la société contemporaine, comme ils disent dans les pages livres du Monde.


     

    Thackeray décrit le snobisme comme « le travers qui consiste à vouloir paraître plus que ce qu’on est […] ». Tu penses que ça m’a parlé, moi pour qui ai comme leitmotiv les équations suivantes :


     

    Parfum = Frédéric Malle ou Serge Lutens

    Foulard = Hermes

    Maroquinier = Maison Goyard ou Bottega Veneta

    Vestiaire = Céline ou Hermes, what else ? Suggestion de la Banque: H&M…

    Thé = Mariage Frères


     

    Et on peut continuer ad libitum. Je paierais volontiers un tueur en série pour débarrasser la place de Paris de Guillaume Musso, Marc Lévy et Anna Gavalda. Le marché du disque se porterait mieux si on me demandait mon avis avant de lancer un artiste, tu ne crois pas ?


     

    Je pourrais ne me faire couper les cheveux que à sec chez Massato, ou ne me chausser que sur mesure chez Massaro : ne fais pas l’inverse, il pourrait t’en cuire ^^ !

     

     

    Mais pire que tout, j’ai cet affreux snobisme de succomber aux travers que je dénonce, au prétexte que je suis très second degré, ou que j’expérimente…Bref je suis aussi de très mauvaise foi. Mais que celui qui n’a jamais acheté un CD de Britney Spears me lance ses souliers Roger Vivier (taille 39 si possible, merci) la première pierre.


     

    Tu vois que Thackeray (fait chier à écrire son nom, trop compliqué), appelons-le Will, Will donc, a trouvé une fois de plus un chemin direct vers mes perversions les plus enfouies.

     

    Ses descriptions des mœurs des baronnes, duchesses et autres comtes, la dissection de l’étiquette, les soirées en ville ou à la campagne, tout est prétexte à une plume drôle et acide ! Et mon Dieu, essayez de faire des parallèles avec nos propres contemporains, vous verrez que je ne suis pas la pire !

     

     

     

    L’autre petit recueil, c’est « Ivanhoé à la rescousse ».


     

    Tu connais certainement le très beau roman Ivanhoé de Walter Scott ? Sinon, vas-y les yeux fermés : juste tu les rouvre pour lire les pages avec les mots dedans. Et si t’es pas une feignasse, mais un être sensible épris de beauté et de connaissance, tu peux même voir le film de Richard Thorpe, avec notamment la sublime (et encore je modère mon enthousiasme) Elizabeth Taylor :


     

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    Ici Will, il nous explose l’histoire : Ivanhoé se fait grave ièch à la maison avec cette gourdasse de Rowena (jouée par la blonde Joan Crawford, en concurrence avec la bellissime Liz Taylor) et il se dit que quand même merde, Rebecca (Aka Liz the one and only), c’était peut-être une meilleure opportunité, moins blonde, plus brune, plus piquante, (comme moi quoi) un meilleur coup en somme.


     

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    Ni une ni deux, Ivanhoé, cet inconstant indécis (un homme si tu préfère…) se lance en croisade sous le prétexte fallacieux d’aider Richard Cœur de Lion (comme le camembert) alors qu’en fait c’est pour rattraper le coup avec Rebecca, voire même pour la récupérer, tous les mêmes je vous dis !


     

    Will s’approprie vraiment l’œuvre de Walter Scott et la réinvente sans la dénaturer. Et je ne te cache pas que depuis des années je souffrais en silence du choix marital d’Ivanhoé, te dire si cette réécriture m’a bien fait plaisir !


     

    Alors tu te lances ??


     

    Après on parle polar anglais si tu veux bien !