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Curieuse torpeur de ces derniers jours. On peut dire que j’en fais moins que d’habitude. Tout en ayant l’impression de courir.
Entre deux pauses.
Drôle de semaine, qui passe comme l’éclair, entre cadeaux à faire, choisir, emballer, oublier. Liste de ci ou de ça qui domine chaque réveil.
Et puis attendre la neige, comme un caprice. Une neige idéalisée, juste lisse et crissant. Un blanc manteau de neige, qui n’occasionnerait ni dégât, ni rien de négatif, juste des glissades enfantines.
Les dix derniers jours de décembre auront toujours cette saveur curieuse, étrange, douce… Un nuage enveloppe les choses.
Je termine cette semaine entre la cuisine et la musique. Je me suis lancé des mini défis culinaire. Je n’avais strictement pas envie d’un menu classique cette année. Pas de sempiternelle volaille, ou viande, plombée par des huitres et une bûche au beurre…
Je reparlerais en détail de ce menu, quand il sera fait surtout :) mais disons que j’ai eu envie de mini, mini, mini. Un festival de mini trucs, en somme. Dont des cheese-cake. Les boules. Je n’en ai jamais fait avant. J’ai peur. Ça va rater.
Mais ce n’est pas grave, hein, l’important c’est de participer (non, je confonds là…)
En attendant, j’écoute de la musique. Tu te rappelles, Dean Martin, let it snow, Frank Sinatra, Bing Crosby…. J’ai un cd que je ressors tout les ans, Christmas Crooners, c’est tout la magie de Noël en quelques chansons. Juste une envie de se plonger dedans, comme dans une bataille de boules de neige. Mais sans la neige….
Let it snow, je l’écoute aussi version Jamie Cullum, dans un album arrangé par Michel Legrand. Un vrai album de chants de Noël, avec des interprètes aussi différents que Renan Luce (je l’aime, lui…) ou Iggy Pop, oui ! Et Emilie Simon, ma chouchou du moment (je n’arrive pas à lâcher son Franky Knight…) et puis Mika, Ayo…
A défaut de la neige, j’ai la musique, les chants, une envolée musicale qui allège les journées. C’est peut-être ça le secret ? Trouver la bonne B.O à chaque moment de sa vie ?
En tout cas, on touche à la perfection du moment quand on écoute Rufus Wainwright et Teddy Thompson interpréter White Christmas…. Un moment parfait.
Et c’est ainsi que je vous souhaite de terminer cette semaine, en musique, le pas léger, avec les yeux qui brillent de joie.
L’esprit de Noël flotte peut-être un peu chez moi. Oui, il semble présent, et ça fait du bien. L’air embaume d’épices, depuis que je me suis décidée pâtissière, et que ça ne déplait pas trop aux testeurs aimables : )
Plus que ces gourmandises, il y a une envie de ralentir, de profiter un peu plus encore des détails du quotidien. Ralentir tout en se précipitant vers l’essentiel, dire que ce n’est pas simple…
Comme ce sapin : chaque année je tergiverse, je me dis cette fois je vais faire un beau sapin bien graphique, avec des couleurs qui s’équilibrent et puis des déco soigneusement disposées pour faire un schéma parfait, celui du sapin parfait des magazines.
Et puis chaque année, depuis la naissance de mon fils et son premier Noël, nous choisissons ensemble quelques décorations de plus, dans les magasins, celles qui rejoindront nos petits trésors… Décorer le sapin, et voir enfin le fouillis de l’œuvre achevée, le fouillis tel qu’on le voulait dans cet arbre qui est avant tout la mini forêt enchantée de notre imaginaire.
Ce n’est pas graphique, ce n’est peut-être pas logique ou admirable, mais c’est notre arbre.
L’esprit de Noël flotte encore, grâce à une petite Parisienne, la plus adorable de toutes. De ces personnes qui savent prendre des mots exacts pour énoncer les pensées les plus aimables, et se rappeler à votre souvenir… Merci Petite Parisienne, merci Céline.
L’esprit de Noël flotte tellement que j’ai en tête le menu idéal, avec des nuages et des arc-en-ciel, la jolie table et les jolis mets font aussi que la fête est fête…
Il faudra d’ailleurs que vous me disiez si vous avez déjà réfléchis à tout ça ?
En attendant, l’esprit de Noël continue de flotter, à travers la voix de Dean Martin et de Franck Sinatra, mes favoris pour les chants de Noël. A peine la musique démarre qu’on est transporté dans une carte postale vintage, où les familles, souriantes et joyeuses, sont un véritable cliché du bonheur…
Décembre, finalement, c’est pas si mal pour ralentir sa vie et accélérer son cœur.
Puisque nous parlions hier de décembre, aujourd'hui nous allons évoquer Noël ! Il n'est jamais trop tard pour en parler !
C'est Angelita qui en fait son défit-mot du mois, et c'est bien de saison ! Oui, j'avais jusqu'au 29, mais ce n'est pas grave, je serais hors concours, juste le plaisir de participer !!!
Noël ne revêt pas la même signification enfant qu'adulte. Je ne m'étendrais pas davantage sur mes réminiscences enfantines, il y aura bien d'autres occasions pour ça !
Parlons plutôt de ce que m'évoque Noël maintenant.
C'est une histoire à raconter, un arbre à décorer, qui est le décor de cette histoire !
Depuis 4 Noël maintenant, j'achète quelques décorations pour l'arbre, des objets auxquels je peux plaquer une petite histoire. Et tout cela est l'occasion d'imaginer un monde enchanté qui vit dans cet arbre !
Oui, plutôt que de simplement accrocher des boules et des guirlandes, je suspends des objets de toutes sortes, qui sont les personnages d'un univers imaginaire :
Il y a des tas de petits lutins, des pères noël étrange, des fées et des elfes, des flocons de neige. Je vois Noël comme l'occasion de raconter une belle histoire, qui évolue chaque année, de nouveaux personnages faisant leur apparition, comme de nouveaux amis.
J'espère continuer encore longtemps cette histoire. C'est en quelque sorte ma tradition de Noël ! J'aurais adoré écrire des contes pour les enfants, les faire rêver, comme m'a fait rêver Grimm (oui je place la barre un peu haut ^^).
Voici une chanson que je passe souvent à Noël, c'est un classique brésilien, revisité en français par Bïa, une chanteuse que j'adore !
Bïa - Le Chevalier
J'étais le chevalier Et mon cheval était ambassadeur Je partais délivrer Ma fiancée des griffes des chasseurs je combattais des bataillons D'extraterrestres et de dragons Et mon épée barbare se changeait en guitare Alors j'étais chanteur
j'étais le roi des rois J'étais le juge et l'idiot de la cour Et j'inventais des lois pour obliger le monde à faire l'amour tu étais la villageoise que j'ai fait couronner Et tu étais si belle à regarder Que toute nue tu dansais pour toujours
Non, tu t'en vas pas si tu veux bien j'étais ton aquarelle J'étais ton animal Ton tapis volant voleur Non , regarde-moi C'était le temps où on avait des ailes On était nés mille ans avant le temps du mal et de la peur
J'étais adulte enfin Le temps des fiées devait bientôt finir Les portes du jardin S'étaient fermées juste avant de mourir Tu as pris la clef des champs sans me dire au revoir Et moi j'étais le fou vêtu de noir D'un vieux royaume oublié dans la nuit.
Je vous embrasse tous, et n'oubliez pas de vous inscrire sur les listes électorale, vous avez jusqu'à demain, une pièce d'identité et une quittance de loyer ou d'EDF et hop à la Mairie !
Hello les jeunes, et les autres. Top départ pour une semaine de bombance et de panses plus ou moins repues ? Ou pour une semaine de célébration de l'amour et de la joie de vivre dans un monde si beau et si fraternel ? Noon, je déconne. Tu passes ta semaine comme tu veux, ou comme tu peux surtout.
Perso, contrairement à la grande Manu, j'ai du mal avec Noël et les célébrations sur commande (sauf pour les cadeaux, n'hésite pas, j'aime ça...) Mais le côté 4...3...2....1... go vers les grandes surfaces et l'exagération, j'ai du mal.
Mais j'aime à penser, et j'en suis même certaine, que toi mon gentil lecteur, et toi ma douce lectrice, tu vis les choses avec au cœur l'envie de retrouver ceux que tu aimes (oui, même tes beaux-parents) et de partager surtout un moment, des mots, des sentiments.
Snif, je m'enduis d'émotion toute seule...
Pour le reste :
Cadeaux : fait (ou presque)
Menu : bouclé (ou presque)
Bon, Noyel c'est fait, parlons d'autre chose maintenant.
Tu le sais lapin, je suis donc officiellement un blog fashion.
Nooon ne part pas s'il te plait !!!
Moi aussi ça m'a fait un choc quand je l'ai appris. Je m'en remets doucement, mais finalement c'est une chance. Les jours où je ne saurais pas quoi dire (j'entends les mauvaises langues, genre j'ai un avis sur tout...) je pourrais toujours faire une photo de ma tenue du jour.
Mais le fashion peut se décliner à l'infini. Ainsi que le prouve notre gouvernement très au fait des tendances vestimentaires, en toute saison. Tu te rappelles, je t'en avais déjà parlé là, clique lapin , avec l'affaire dite du boubou à Ségolène : un moment intense de débat politique, mieux qu'un discours de Manuel Valls à un congrès du PS, du bonheur en barre avec des morceaux de joie dedans.
Le sarkozysme, c'est un peu comme VOGUE USA : un tendanceur fort qui fait et défait la mode. Déjà on a pu remarquer une chute considérable dans la vente de boubous, au point que le corner des Galeries Lafayette qui avait été pressenti suite à l'incursion de Ségolène dans la sphère modasse-world fusion, a finalement cédé sa place à une énième boutique Gentleman Farmer.
La saison des défilés est terminée, mais ça n'empêche, le Nain Vagal a du nez, il sent la rue, il a du flair, et il voit bien qu'il y a de la demande sur le sujet. Le cahier de style Printemps 2010 pre fall élections régionales, est donc sorti. Et c'est clair : pas de burqa.
Bon, a priori on peut se demander pourquoi axer ce cahier de style 2010 sur la non-burqa, puisque celle-ci ne fait guère florès : limite il y aurait plus à travailler sur la recrudescence des tenues emo-R'n'B (dont Jena Lee semble être une sorte de guide spirituel) qui me laissent songeuse...
Peu importe, je ne suis pas Nelly Rodi, et il est probable que le bureau de style de l'Elysée sait ce qu'il fait, et puis quand on a un grand mannequin comme Carla Bruni comme conseillère particulière, on ne peut se tromper.
Alors certes, il y aurait à dire sur les priorités de ce gouvernement, mais comme disait le philosophe, tout est dans tout.
Aux fâcheux qui demanderont s'il n'y a pas plus urgent comme sujet qua la burqa, je dirais non ! Car vois-tu mon lapin de Poméranie, à travers ce sujet sensible qu'est la mode, c'est ton quotidien que le nain vagal veut améliorer. Pendant que tu seras là à débattre du port de la burqa ou du string en laine de mouflon, tu pourras délicieusement penser à autre chose qu'à tes factures impayées, au prix faramineux du foie gras et à la hausse du kilo de pâtes, inversement proportionnel à ton salaire (car n'oublie pas que tu as un salaire, privilégié repu et égoïste que tu es, et si t'en a pas, il y a une bonne raison)
Somme toute, on est délicat avec toi : la mode sert à s'évader de ce monde ingrat. Merci Nico.
Rien à voir, mais j'ai eu cette semaine le privilège de passer un moment avec 2 charmantes bloggueuses.
D'abord Chouyo, alias la Moufette, que j'ai vu lundi, autour d'un café. J'aurais des tonnes de choses à dire sur elle, sur sa beauté, sa gentillesse, sa culture, sa conversation intéressante et éclectique ! Mais je garde tout pour moi ! C'est une très belle rencontre !
Une autre belle rencontre concerne cette fois Camille, adorable it-girl, dont le blog est un des premiers que je suivais avec plaisir, découvert chez Galy.
Cette jeune fille a non seulement un humour très fin, mais aussi une sensibilité et une culture que je devinais tout à fait, et dont je suis ravie d'avoir profité !
Je vais donc imiter See Mee et faire gloire à ces bloggueurs que j'aime, qui sont différents, chacun distillant chez lui une personnalité à part et entière. Mettre de la chair, si je puis dire, derrière leurs mots, c'est juste la concrétisation de leur vérité.
J'espère faire d'autres rencontres, aussi belles et enrichissantes. Après Sylvie, Daydreamer, Chouyo, Camille, à qui le tour ?
Joyeuse fêtes les nouilles, pensez à vous, aux autres, soyez généreux avec les mots si possible, et n'oubliez pas que le plus important n'est pas ce qu'on mange ou le cadeau, mais bien la chaleur humaine. Tout ce qui reste quand on a tout perdu.
Quand j'étais petite (genre à 25 ans), je voulais me marier avec Dean Martin jeune...
On se retrouve ici pour le concours de qui a eu le cadeau le plus pourri ? Je comptais gagner grâce à Belle-Maman, qui a toujours eu à cœur de me faire plaisir pour ça au moins, mais je ne la vois pas cette année, dommaaaaaaaaaage !
Je passe un temps fou au téléphone. Pire encore, j'envoie entre 30 et 50 SMS par jour, sans compter les mails. Mais je reste une bille en matière de nouveaux moyens de communications.
J'ai un compte Facebook, qui sert à pas grand-chose, puisque je n'en saisis pas toutes les subtilités. Ah si, c'est peut-être pas mal pour retrouver des contacts. Mais sinon, je sais rarement quoi faire avec FB. Pas grave dans le fond. J'ai mis des photos de Fiston, que me réclamaient des amis. Ça sert au moins à ça.
Puis vint Twitter. Pas mieux. Depuis des semaines je m'interroge sur le fonctionnement la raison d'être de ce truc. Je me trompe où c'est un genre de tchat amélioré ?
Bref, je suis assez hermétique au petit zoziau du web.
J'ai quand même ouvert un compte Twitter, à cause d'une copine qui m'a invité, et puis depuis, rien. Je ne sais pas trop par quel bout prendre ce truc. Et puis surtout, j'ai l'impression que je peux m'en dispenser.
Je suis une bille à tel point que j'ai mis plusieurs moi à trouver et à configurer un agrégateur de site.
Par contre, je suis fière de moi, grâce à mes petits doigts habile et à la patience d'un hotliner perso, j'ai trouvé THE agrégateur, que tu peux avoir tout plein de flux dessus et que tu peux l'embarquer sur ta clé USB ! Oui c'est magique, j'ai tout mes flux sur une clé, ce qui fait que je peux lire mes blogs favoris depuis n'importe quel endroit !
Cet agrégateur, c'est Feedreader. Je ne le connaissais pas avant que mon sauveur m'en parle. Et comme je suis vraiment un boulet, il ne suffisait pas qu'il m'en parle, ce cher ange m'a guidé pas à pas dans l'installation de ce truc sur Spike mon ordi, et enfin sur ma clé. Il a été patient, j'ai été un boulet boulesque, mais on s'en est bien sorti. Maintenant, quand je me fais suer quelque part, je sors ma clé, je me connecte à mes flux et je peux lire toi, ou toi ou toi encore. Merci hotliner de mon cœur.
Tiens, si je peux lancer un appel au secours : Ahhhhhhhhhhh ! Voilà, tu vois la jolie bannière sur ta gauche « un peu de notre Noël » : c'est la bannière qui illustre une belle initiative d'Aude. Si tu ne sais pas quoi offrir à Noël ou si tu veux faire un geste différent, pourquoi ne pas offrir un don à une association humanitaire ? Je te laisse lire les détails là. Mais si un gentil blogueur pouvait me dire comment faire pour que ma bannière pointe vers le texte explicatif, je lui en serai reconnaissant, je n'y arrive pas ! Boulet on a dit !!
Pour rester dans le domaine de la bannière, il y a aussi celle du nouveau concours (con) de Ginie, que je t'engage à faire : après avoir montré tes chaussons, elle veut que tu exposes ta plus belle coiffure, ou la plus con, au choix. Alors tu cliques ici et tu sauras tout. Je réfléchis personnellement à un truc à base de chouchou et de fleurs. Je te laisse imaginer le pire.
Bon bah mon chaton je crois que c'est tout pour aujourd'hui !
Ah oui, le poème du jour, tu pensais y échapper ??
Le réveil
Sur ce lit de roseaux puis-je dormir encore ? Je sens l'air embaumé courir autour de toi ; Ta bouche est une fleur dont le parfum dévore : Approche, ô mon trésor, et ne brûle que moi. Éveille, éveille-toi !
Mais ce souffle d'amour, ce baiser que j'envie, Sur tes lèvres encor je n'ose le ravir ; Accordé par ton cœur, il doublera ma vie. Ton sommeil se prolonge, et tu me fais mourir : Je n'ose le ravir.
Viens, sous les bananiers nous trouverons l'ombrage. Les oiseaux vont chanter en voyant notre amour. Le soleil est jaloux, il est sous un nuage, Et c'est dans tes yeux seuls que je cherche le jour : Viens éclairer l'amour.
Non, non, tu ne dors plus, tu partages ma flamme ; Tes baisers sont le miel que nous donnent les fleurs. Ton cœur a soupiré, viens-tu chercher mon âme ? Elle erre sur ma bouche et veut sécher tes pleurs. Cache-moi sous des fleurs.