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  • Love

    J’aime la pub du PMU avec la musique « la nuit est chaude », elle me met de bonne humeur.

    J’aime la couleur orange que je vois sur plein de portant, chez H&M, Zara…

    J’aime l’été qui approche, les petites robes à ressortir, les ongles à vernir… Le sourire qui me vient à la caresse du soleil.

    J’aime qu’une amie soit enceinte, être heureuse pour elle et l’inviter à boire le thé, lui préparer des cookies de toute sorte.

    J’aime la liste des activités prévues avec mon petit garçon à l’approche des grandes vacances. J’espère lui voir des sourires, l’entendre rire et s’émerveiller !

    J’aime revoir La Vie Est Belle, un de mes films favoris de Frank Capra. J’aime voir James Stewart et Dona Reed me donner une des plus belles leçons de vie et d’optimisme du cinéma.

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    J’aime lire le blog de Kaderick, plus qu’un blog de cuisine, c’est une jolie petite aventure humaine, une nana qui s’est lancé il y a un an, pour partager, communiquer sa bonne humeur, sa gourmandise et ça fonctionne si bien.

    J’aime Odilon Redon au Grand Palais. Sourire à l’araignée, regarder Ophélie se noyer dans les fleurs, et m’émerveiller des touches de couleurs…

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    Deux jeunes filles en fleurs

     

     

     

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    L'araignée souriante

     

     

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    Ophélie


    J’aime écouter mes albums de Jean-Jacques Goldman, de Daniel Balavoine, alterner avec Anthony and the Johnson et un peu de Bellini…

    J’aime entendre mon fils me réclamer L’Hiver ou L’Eté et le voir danser au son de Vivaldi.

    J’aime tout ces gens qui sont allé donner de leur sang le 14 juin ou un autre jour. J’aime ce geste gratuit, anonyme, tellement généreux et essentiel.

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    J’aime la Dinette, le fabuleux blog d’Alistair et Eloïse : des douceurs, du style et de la bonne humeur à revendre !

    J’aime nos ongles qui s’exposent, avec des vernis plus colorés les uns que les autres ! Du flashy, du pastel, mais toujours de l’audace au bout des doigts.

    J’aime ces piles de livres qui sont autant de promesses de bons moments et de bonheur en quelques pages…

    J’aime flâner dans Paris, me perdre dans des rues que je ne connais pas forcément, et découvrir de beaux bâtiments, des jardins dans la ville, insoupçonnés et cachés de la foule. M’asseoir sur un banc et lire une petite heure, loin de tout…

    J’aime regarder le sourire craquant de Michael Fassbender, juste comme ça.

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    J’aime la vie, et me rappeler cette phrase de John Lennon : « La vie c’est ce qui arrive pendant qu’on est occupé à faire d’autres projets. »

  • (In)différence

    "Je hais les indifférents. Pour moi, vivre veut dire prendre parti. Qui vit vraiment ne peut ne pas être citoyen et parti prenant. L’indifférence est apathie, elle est parasitisme, elle est lâcheté, elle n’est pas vie. C’est pourquoi je hais les indifférents.”

    Antonio Gramsci - Indifférent


    Je n’aime pas les gens qui ne savent pas prendre parti. Je n’aime pas les gens qui ne savent pas assumer un avis, ou qui ne le veulent pas.

    Dire que je ne les aime pas est un peu fort, mais disons que je ne les porte pas dans mon cœur plus que ça.

    Je comprends les personnes un peu timorées, je le suis moi-même, mais ma grande timidité ne m’a jamais empêché de prendre la parole quand quelque chose ne me convient pas.

    Ceux qui réussissent à vivre dans une société sans jamais s’intéresser ou s’impliquer dans ce qui nous concernent tous, je ne les comprends pas. Ceux qui peuvent se contenter de leur propre vie, sans sortir de leur bulle, parfois je les envie, souvent je ne les comprends pas.

    Tous les jours on voit et on entend des choses qui peuvent nous révolter, nous horrifier, ou nous fasciner. Je suis d’accord avec Gramsci : vivre c’est prendre parti, le contraire de ça n’est que la lâcheté.  C’est comme ceux qui se disent apolitique. Quand on creuse un peu la conversation, l’apolitique a bien une opinion politique, celle de l’individualiste libérale souvent.

    Je suis retombée par hasard sur ces quelques lignes de Gramsci, et je me rends compte que je ne saurai vivre autrement qu’en prenant parti, encore et toujours. En amitié, en société, au travail, partout. 

    *Ma citation du jour pour Chiffonnette

     

  • Sept extra

    Aujourd’hui encore un petit questionnaire, sous forme de strike, puisque je fais d’une pierre 3 coups en répondant ainsi au tag de Plume, Chocoladdict et Martial !

    Madonna, Madge, S.E.X., lewis scooter libby, jean-claude gaudin, lucien ferri, encornet et trottinette, yann piat,

    Je les remercie de me filer cette nouvelle patate chaude :) et je vous invite à les visiter, vous ne regretterez pas le voyage.

    Ensuite, il faut délivrer sept secrets sur soi, bah là ça va devenir coton de ne pas faire trop intime, vu tout ce que j’ai pu vous révéler récemment. Mais soyons fous (folles) allons-y !

    Or donc.

    J’écoute la radio une bonne partie de la nuit, y compris dans mon sommeil, et j’adore le matin prendre un petit carnet et noter ce qui m’a marqué la nuit précédente : une chanson, un intervenant dans une émission, un fait, un chiffre. C’est curieux de voir ce que mon esprit endormi à pu retenir d’une nuit d’écoute radiophonique.

    Dès que je vois un nœud je frémis. J’ai conscience de ce que cette affirmation a de tangent… Je parle des jolis nœuds sur les robes, les serre-têtes, les barrettes, les chemisiers, les ceintures… Vive les nœuds !

    J’ai une affection pour Madonna, que les années ne démentent pas. Elle peut sortir n’importe qu’elle daube musicale (car ne nous mentons pas ça fait deux ou trois albums qu’elle commet sans grand intérêt…) je la suis sans hésiter… Madge sera toujours Madge…

    En parlant de Madonna, j’ai toujours mon exemplaire de S.E.X . son  bouquin de photos retiré du marché depuis quelques années.

    En parlant de bouquins, je me spécialise, sans faire exprès, dans l’achat vite fait de bouquins avant qu’ils ne soient retirés précipitamment de la vente. Par exemple l’œuvre érotico-n’importe quoi de Lewis « Scooter » Libby, un des pires néoconservateur de l’équipe Bush-Cheney, qui s’est piqué un instant de littérature avec « The Apprentice », une daube éeotico japoniaisante….  Pareil, j’avais réussi à me procurer « l’Affaire Yann Piat » de Gérard Finale et Lucien Ferri, avant qu’il ne soit retiré des rayons quelques jours après, sur demande de Jean-Claude Gaudin et François Léotard, les fameux Encornet et Trottinette… Comme quoi on a pas attendu les années 2010 pour avoir des affaires pourries au cœur de la république….

    Je ne sais pas nager. Je barbote, mais je ne sais pas nager correctement. Pour les mêmes raisons que je n’ai pas eu l’occasion d’apprendre à faire de vélo,  je n’ai eu le droit de me mettre à l’eau seule que tard, vers mes 12 ans. Mais ça a commencé à changer, dans le sens où je me traine u peu plus sérieusement à la piscine…

    J’aime les gens étranges, décalés, qui n’ont pas peur d’être eux-mêmes, qui ne fonctionnent pas en regard d’une image à donner, mais juste comme ils ont envie d’être. J’aime aussi les gens un peu taciturne, pas forcément folichons au premier abord, ce sont souvent des personnes qui cachent des trésors.

    Bon, je sens qu’on va arrêter là les confessions pour un long moment !

  • Putain quoi les otaries de Westminster ont soif après la guerre

    Une petite note à base de grand n'importe quoi... Juste pour démarrer gaiement cette semaine ! Un lundi sous le signe de l'humour !

    D'abord ce Pankol Title Generator, qu'on doit à l'humour des Editions du Livre de Poche !

    De quoi s'agit-il ? Madame Pankol est connu pour avoir des titres aussi accrocheurs que bizarroides... je me souviens que cela avait fait l'objet de discussions chez Bulles d' Info.

    Sans juger de la qualité des ouvrages à proprement parler, j'ai toujours été stupéfaite des choix de titres de Katherine Pankol. Les trucs à base de tortues qui valsent, ou d'écureuils un peu tristoune...

    L'auto-dérision étant un des secret de tout bon buzz, le Livre de Poche a donc créé, à l'occasion de la sortie en poche des fameux écureuils neurasthéniques, un générateur de titre à la Pankol.

    Je me suis amusée un peu :

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    Si ça vous dit de tenter la blague, cliquez sur les photos, ça vous mène au site.

    Quoique je pense de Katherine Pankol, je dis bravo à son sens de l'auto-dérision !

    Tout autre chose, avec cette vidéo hilarante, d'une jeune fille qui explique à ses compatriotes le mot clé essentiel pour tenir toute conversation en France. Ce n'est pas moi qui la contredirais, vu le nombre de fois par jour que ce mot sort de ma bouche.

    Je vous laisse découvrir !


  • Mister Pip et Hercule Poirot

    Souvent, quand je ne connais pas un auteur, je suis attirée par une couverture d’abord, puis un titre. Quand je dis attirée, ce n’est pas forcément positif. Je peux m’approcher d’un livre juste pour voir ce qui se cache derrière une couverture très belle ou au contraire bien trop criarde.

    Mister Pip fait partie de ces bouquins qui ont atterri dans ma bibliothèque parce que la couverture me piquait les yeux… Là c’est ma photo du bouquin qui va vous piquer les yeux…

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    Je ne regrette pas cette jolie lecture. Je vous mets d’abord le résumé de l’éditeur : « Sur une petite île du Pacifique, Matilda et ses camarades de classe se passionnent pour les aventures vieilles d’un siècle d’un orphelin appelé Pip, dans une ville appelée Londres qui leur paraît plus réelle que leur propre région à feu et à sang. Mais dans une Île ravagée par la guerre, l’imagination ne protège pas toujours de la folie des hommes. » L’auteur, Lloyd Jones, m’était tout à fait inconnu.

    Sur cette petite île du pacifique se dessine un très honorable roman d’initiation, avec pour personnage central une petite fille, Matilda, et Pip, le héros du roman de Dickens, « les grandes espérances ». Matilda et ses camarades habitent une île dévastée par la folie des hommes, la guerre, la cupidité meurtrière et la haine quotidienne. Leur monde est bouleversé, sans repère. Un drôle de personnage, Bel Œil Watts, décide de prendre les enfants en main, de leur faire classe. Mais pas n’importe quelle classe. Il les accompagne dans une véritable école de la vie, à travers Pip, le petit orphelin créé par Dickens. Les enfants vont apprendre de Bel Œil une autre façon de considérer la vie, l’humanité, jusqu’à effrayer les adultes. Ces adultes qui ne comprennent de la vie que la violence. Je me suis attaché à Monsieur Watts, à Matilda, je me suis fais plaisir à redécouvrir aussi le roman de Dickens, qui est mis à contribution par l’auteur. C’est un roman optimiste. J’ai retenu que l’apprentissage de la vie n’a pas d’âge et ne s’arrête jamais. J’ai des yeux pour voir, et pourtant je ne regarde pas toujours…

    Un roman à lire avec son ado, ou pour soi, simplement.

    Mister Pip de Lloyd Jones - Editions du Livre de poche

     

    Changement de décor, avec un ouvrage d’Agatha Christie.

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    « Les écuries d’Augias »  est le second volume des Travaux d’Hercule. Et oui, l’antiquité avait son héros, les détectives ont le leur aussi, et quel plus grand héros que le mythique Hercule Poirot ! Agatha Christie l’a donc fait héros de 12 nouvelles reprenant la thématique des 12 travaux de l’Hercule antique. Ce recueil comprend donc les nouvelles suivantes, en plus de celle qui donne le titre :

    Le Taureau de l’ile de Crète

    Les chevaux de Diomède

    Les troupeaux de Geryon

    Les Pommes d’or du jardin des Hespérides

    La capture de Cerbère

    Christie excelle dans l’art de la métaphore. Chaque nouvelle trouve un point d’ancrage dans un fait criminel, pour ensuite se construire autour de la signification antique de chaque mission. Et puis on se plait à croiser la serviable Miss Lemon, et l’intrigante Comtesse Rossakof, dans un restaurant, l’Enfer, qui lui sied comme un écrin à une perle un peu sombre… Bref, on passe un bon moment à déguster ces petites nouvelles !

    J’en profite pour signer là ma première participation au challenge Nouvelles de Sabbio,

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    et ma seconde pour celui de George.

    Les Ecuries d' Augias de Agatha Christie - Club des Masques.                        challange-agatha-christie.jpg