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Les livres - Page 33

  • Certains ont des malheurs; d'autres des obsessions. Lesquels sont les plus à plaindre ?

    Quand Victor Hugo me fait défaut, je me tourne vers Cioran  :)

     

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    Etrange de commencer mon billet sur l'obsession le soir ou Adèle H repasse sur Arte. Question obsession, cette pauvre Adèle a fait fort. L'amour, ou plutôt l'idée de l'Amour...

    Alors La Blonde concourise sur les obsessions. Suis-je une femme d'obsession ? Oui. De toutes sortes d'obsession, toutes me brulent d'un feu inégal mais certain.


    Il n'y a pas d'ordre de priorité vraiment, ou plutôt je n'ai pas envie d'en établir un pour l'instant. Alors je les jette, comme ça, dans le désordre.

    Les jupes plissées, reliquat de mes années de pensionnat, bleu marine, jaune, blanche, peu importe la couleur pourvu qu'on ait le plissé...

    Les chaussures : il parait que cela signe une peur d'être abandonné, je dois avoir vraiment très peur alors...

    Ecrire : encore toujours, mettre des mots, même s'ils sont désordonnés, ils sont essentiels.

    Lire, les livres, l'objet et l'acte indissociable. La possession du livre est une promesse, concrétisée par la lecture.

    L'amour : ou l'idée de l'amour, comme Adèle H, mais en moins hystérique je crois. L'idée qu'il existe quelque part un être qui répond en tout point à votre image comme un miroir.

    Le contrôle : l'obsession du contrôle, j'aime être aux commandes, décider, temporiser, faire ou ne rien faire,  mais que cela soit entre mes mains...

    Les listes : je fais des listes pour tout et n'importe quoi, je tiens des cahiers de listes. Listes de chansons, d'auteurs, de livres, de choses à faire, de pensées en vrac, des phrases, des listes de couleurs, des notes de musiques. Tout est bon à être listé.

    Le temps qui passe. Dingue quand même qu'on ne puisse l'arrêter. Il file, l'insolent, sans demander son reste. Je lui cours après, en vain...

    La beauté : elle sauve le monde, comme disait le poète... je la cherche partout, dans les yeux d'un homme, dans les volutes de porcelaine d'une tasse de thé, dans le coup de pinceau d'un maitre flamand,  ou dans les vers de Victor Hugo. Partout où elle se niche, je cherche la beauté : je la regarde et elle m'apaise.

    Les obsessions : je suis obsédée par mes obsessions, j'aimerais les trier, les lister, les contrôler. Bref, tout se rejoint dans le même fleuve bouillonnant de ma cervelle à la fin.

     

     

  • Que la création est une grande roue qui ne peut se mouvoir sans écraser quelqu'un

    Merci à Victor Hugo d'être une source infinie pour mes titres...

     

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    Après Mary Anne, j'ai donc lu un autre ouvrage de Daphné Du Maurier. Cette fois il s'agit d'un récit : Le Monde Infernal De Branwell Brontë.

    J'étais attirée par ce titre d'abord parce que j'associe constamment Du Maurier et les Brontë, je ne sais pourquoi, certainement l'écriture, le souffle, l'imaginaire un peu sombre. Le Monde Infernal De Branwell Brontë n'est pas un roman comme les autres. Il s'attache aux faits, à la vie particulière de ce jeune homme tragique. Branwell est le frère oublié des sœurs Brontë. Enfin, oublié, c'est une façon de parler : méconnu plutôt.

    L'œuvre des trois sœurs est connue, mais je ne soupçonnais pas l'importance de ce frère dans leur processus de création. Branwell est un être fantasque, créatif, fascinant. Aussi torturé que génial. Et là où ses sœurs ont su trouver un épanouissement dans la création intellectuelle, il a rencontré la souffrance, le questionnement tragique et l'incessante torture de l'artiste maudit. Car son génie ne le conduit qu'à la frustration et à la destruction pour lui-même. L'amour des trois sœurs pour ce frère est éclatant et sans faille, et leur œuvre porte la trace de cet amour.

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    "Fratrie heureuse" par Branwell, dont on aperçoit l'ombre fantomatique au milieu.

     

    Il reste dans l'ombre, mais paradoxalement il les éclaire d'une lumière créatrice, quand lui se consume dans l'autodestruction. Glass Town, cette  fabuleuse construction de mondes imaginaires qui a contribué à l'éveil littéraire des sœurs Brontë, est en grande partie le fait de Branwell. Et c'est étrange comme ce fils préféré, ce frère adulé pour son talent, son génie même, propre à enflammer l'imagination de ses sœurs, ce frère donc ne saura pas affronter le monde, le vrai, celui du dehors, celui des amours déçues, des amitiés contrariées, le monde où il faut se contraindre à des tâches ingrates d'employés pour qui a en son esprit une véritable fatrasie. Comment survivre en ce monde, sans l'aide de l'alcool et du laudanum ? Comment surmonter la perte de l'amour, l'échec, les blocages, la vanité de la création, sans ces béquilles indispensables ? La folie et la maladie s'emparent du corps et de l'esprit du petit frère devenu grand. Branwell n'était pas fait pour ce monde. Qui d'ailleurs peut y survivre, s'il ose se déciller les yeux ?

    Daphné Du Maurier plonge au cœur de cet amour et du désespoir. L'écriture fine et ciselée (merci la traductrice, Jane Fillion, de la famille de Nathan Fillion ???)  sied à merveille au récit. Le tout est documenté, comme il se doit pour une biographie, mais il bénéficie surtout du talent de romancière de l'auteur, qui dépeint le tragique et la descente aux enfers avec une plume captivante. Du Maurier rend hommage à un de ces confrères artiste génial oublié et malheureux. Un jeune homme que l'on regarde tomber, tomber, d'une chute si longue et si douloureuse, tomber et finir à 30 ans, convoqué par la mort, comme il se caricaturera lui-même.

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    C'est peu dire que j'ai été touchée par ce récit. Je me sens proche de Branwell, plus encore que de ses sœurs, non pas que je m'associe à sa souffrance de génie frustré, mais je connais ces affres par lesquelles il est passé. Cette idée que le monde réel (IRL comme on dirait maintenant) n'est pas fait pour soi. L'idée que le prix à payer est trop lourd pour le regarder en face, car à le regarder justement, on en voit que les détails, ceux du diable. La beauté inaccessible, la laideur des cœurs, la vacuité des esprits et la mesquinerie des âmes.  Pourquoi tout cela saute-t-il aux yeux de certains, au point que cela encombre le cerveau, qu'on ne voit plus que ça presque, et qu'il faille batailler pour apercevoir une lumière, une raison d'espérer, un but, quelque chose à aimer, et qui vous soigne en retour.

    Branwell est un être d'exception, un vrai, un de ceux qui comprennent ces vérités, qui s'affranchissent des petitesses qui font le bonheur des autres. Il est de ceux qui veulent embrasser un destin, et qui n'y arrivant pas suffisamment, s'embrasent dans les flammes de la déception, de la frustration. Quand l'esprit bruisse de trop de pensées, de trop d'idées, quand le cerveau devient une machine qui s'emballe, hors de contrôle, la seule façon de survivre un peu, un tout petit peu, c'est d'embrumer l'esprit, de le noyer d'alcool ou de psychotropes quelconques juste pour avoir la paix. Même si c'est une paix illusoire, et l'antichambre à la paix éternelle.

    Daphné Du Maurier a pénétré cet esprit, l'hommage qu'elle lui rend m'a laissé émue et conquise. Et désespérée de n'avoir pas une once de son talent, aussi.

     

     

    « O, Homme qu'es-tu ? Une créature misérable

    Ballottée sur les flot du temps,

    Se meurtrissant aux rocs, happée par les remous,

    Impuissante à se soustraire

    Aux vagues et aux abîmes du malheur et du crime. »

     

    P Branwell Brontë.

     

     

    Lu dans le cadre du challenge Du Maurier ===> Click

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  • Paradis blanc

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    J'ai commencé à écrire ma propre version de Lost, que je trouve infiniment plus intéressante que le truc chiant qui passe à la télé...

    Le front soucieux de Jack me donne envie de le tarter et de l'encourager à entamer une cure de psychotropes. Ou bien d'alcool. Ou les deux. Mais pitié qu'il accroche un sourire à sa face et qu'il arrête cet air de chien battu premier de la classe gentil mou samaritain...

    Bref je m'ennuyais comme un rat crevé lundi, du coup j'ai entamé la réécriture de lost à coup de 140 caractères...

    L'ennui, non, ce n'était pas exactement ça. Parfois on voudrait faire quelque chose, mais on ne peut pas. Enfin, moi en tout cas. C'est frustrant. Je fais plusieurs choses en même temps, pourtant je n'ai pas l'impression d'avancer, de créer de sublimer quoi que ce soit. Je suis, c'est tout.

    Je me lève, je m'occupe de mon fils, de moi, des affaires courantes, je lis un peu, j'écris aussi. Mais qu'est ce qui change et illumine la vie ?

    Je pense souvent à changer de travail, et je vais le faire d'ailleurs. Mais somme toute je vais passer d'un poste d'esclave consentante à un autre poste d'esclave consentante. Je verrais d'autres têtes, c'est déjà ça.

    La lecture, ça va moyennement en ce moment. A part un daphné Du Maurier pas mal du tout, j'ai été assez déçue de mes lectures récentes. Du coup je replonge dans des vieilleries, comme Pierre-Jean Rémy ou Jack-Alain Léger.

    Et pareil pour la musique, je ne sais pas pourquoi, je ne trouve de plaisirs que dans les valeurs sûres des vieux albums années 80 ou 70....

    J'ai envie de changement, d'un changement radical. Certaines personnes y arrivent, comme ça d'un clin d'œil...

    Ou  alors je me contenterais de huit jours dans une immense pièce blanche, immaculée, avec juste de quoi lire et la radio. Mais là je rêve.

    En attendant d'avoir un truc intéressant à raconter, et c'est pas gagné... je lis de la poésie.

    Du Baudelaire, même.

     


    podcast

    Le serpent qui danse

    Que j'aime voir, chère indolente,
    De ton corps si beau,
    Comme une étoffe vacillante,
    Miroiter la peau !

    Sur ta chevelure profonde
    Aux âcres parfums,
    Mer odorante et vagabonde
    Aux flots bleus et bruns,

    Comme un navire qui s'éveille
    Au vent du matin,
    Mon âme rêveuse appareille
    Pour un ciel lointain.

    Tes yeux, où rien ne se révèle
    De doux ni d'amer,
    Sont deux bijoux froids où se mêle
    L'or avec le fer.

    A te voir marcher en cadence,
    Belle d'abandon,
    On dirait un serpent qui danse
    Au bout d'un bâton.

    Sous le fardeau de ta paresse
    Ta tête d'enfant
    Se balance avec la mollesse
    D'un jeune éléphant,

    Et ton corps se penche et s'allonge
    Comme un fin vaisseau
    Qui roule bord sur bord et plonge
    Ses vergues dans l'eau.

    Comme un flot grossi par la fonte
    Des glaciers grondants,
    Quand l'eau de ta bouche remonte
    Au bord de tes dents,

    Je crois boire un vin de Bohême,
    Amer et vainqueur,
    Un ciel liquide qui parsème
    D'étoiles mon cœur !

     


    podcast

    Tout entière

    Le Démon, dans ma chambre haute,
    Ce matin est venu me voir,
    Et, tâchant à me prendre en faute,
    Me dit : " Je voudrais bien savoir,

    Parmi toutes les belles choses
    Dont est fait son enchantement,
    Parmi les objets noirs ou roses
    Qui composent son corps charmant,

    Quel est le plus doux. " - Ô mon âme !
    Tu répondis à l'Abhorré :
    " Puisqu'en Elle tout est dictame,
    Rien ne peut être préféré.

    Lorsque tout me ravit, j'ignore
    Si quelque chose me séduit.
    Elle éblouit comme l'Aurore
    Et console comme la Nuit ;

    Et l'harmonie est trop exquise,
    Qui gouverne tout son beau corps,
    Pour que l'impuissante analyse
    En note les nombreux accords.

    Ô métamorphose mystique
    De tous mes sens fondus en un !
    Son haleine fait la musique,
    Comme sa voix fait le parfum ! "



    Voilà.

    A demain mes agneaux...

     

     

  • Daphné Du Maurier

    Merci de me notifier vos publications à ce sujet, que je ne vous oublie pas !!

    Cette note restera sur la colonne de gauche (droite ? merde je sais pas..) comme post it, regroupant le nombre et l'état des participations au Challenge Daphné Du Maurier.

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    Les participants :


    Madamezazaofmars

    Camille la it Girl

    Alice

    Frannso

    Val

    Kahlan

    Mademoiselle V

    Palaeksa,

    Céline

    Mademoiselle C la Futile

    Maggie

    Marlène

    Alicia

    Chouyo

    Firemaman

    Daydreamer

    Harry

    Mona

    Romain

    Keisha

    Solenn

    Amandine

    Tiphanie

    Caro

    Herisson08

    Eré

    Ckan

    Bealapoizon

    Papillote

    Soie

    Electra

    Martial


     

    Les textes en ligne :

     

    Kahlan s'est penché sur Rebecca et les mystères de Manderley.

    Alice a vogué vers la Crique du Français.

    Alicia a rendu visite à Ma Cousine Rachel, après avoir elle aussi succombé au charme mystérieux de Rebecca. Ensuite elle a frappé aux carreaux de l'Auberge de la Jamaïque. Ensuite, c'est le Monde Infernal de Branwell Brontë qui l'a happé !

    Keisha nous parle de Rebecca également ! Et de La Maison sur le rivage, belle ambiance !

    Firemaman est allée admirer le Vol du Faucon .

    Amandine a fait connaissance avec Rebecca !

    Maggie m'écrit pour me dire comme elle a succombé au charme de Rebecca elle aussi.

    Béalapoizon est allé visiter La Maison sur le Rivage

    Harry s'est penché sur le cas de Ma Cousine Rachel, et avec quel tact ! Puis il a croisé un Bouc-émissaire.

    Amandine a également fait connaissance avec Ma Cousine Rachel, décidément bien populaire !

    Céline a croisé le chemin de Mary Anne

    Maggie   a succombé au charme gothique de  l'Auberge de la Jamaïque !

    Electra nous raconte sa Rebecca !

    Tout comme Ckan, quel charme cette Rebecca !

    Et idem pour Martial qui nous raconte sa Rebecca  et aussi Le monde infernal de Branwell Brontë !  Et maintenant il fait une halte à l' auberge de la Jamaïque !

    En cliquant sur les titres des romans vous accéderez aux blogs concernés.

     

    - le challenge dure jusqu'au 31 décembre 2010.

    - Il s'agit de lire au moins un roman de la dame d'ici là.

    - Il faudra en rendre compte de manière personnelle sur son blog; je n'attends pas de critiques pro, étant moi-même incapable d'en faire !! Juste vos émotions, votre plaisir ou votre déception !

    - Vous pouvez aussi bien en faire un résumé écrit, qu'une photo, un dessin, peu importe: lire vous a évoqué quelque chose, c'est cette évocation qui est la plus importante pour moi.

    - Vous pouvez poster autant de fois que voulu à ce sujet !

     

     

    Et au 31 décembre, j'aurais la joie de choisir, peut-être avec un jury de copines, la personne qui aura exprimé un avis le plus pertinent, ou le plus émouvant, drôle, peu importe !

    A la clé un lot composé en rapport avec l'univers de la culture Britannique pour le gagnant !

     

  • En parlant d'adresse...


    Vous savez ce que j'aime avec ce blog, à part vous,  bien sûr (oui, je vous flatte^^) c'est qu'il m'arrive de temps à autre de recevoir un cadeau, notamment des livres. Et vous savez comme j'aime lire... Bref là j'ai eu la joie de pouvoir lire gracieusement le dernier roman de Harlan Coben « sans laisser d'adresse » paru chez Belfond !

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    Harlan Coben, je l'ai découvert comme tout le monde, avec « ne le dis à personne ». OMG ce putain de suspens qu'il a su laisser planer jusqu'au dernier paragraphe, quasiment, du dernier chapitre ! Je l'avais adoré ! Et Monsieur Ex qui n'aimait pas plus que ça lire du roman, avait été également emballé ! Il faut dire que Coben ne s'embarrasse pas de fioritures. Ecriture concise, précise, pas d'envolés lyriques inutiles, un style sur de lui et une surtout une maitrise du suspens implacable !

    Donc c'est automatiquement et avec confiance que je lis chacune de ses parutions, y compris la série des Myron Bolitar. Pourtant, là, la première fois j'avoue avoir été dubitative : bah oui un héros principal agent sportif un peu bizarre, entouré de catcheuses et d'une avocate tout aussi space les uns que les autres, je trouvais le mélange trop explosif ou hasardeux pour être réussi. Et puis si : les personnages sont réels, attachants, vivants et leur définitions caractéristiques tout à fait logiques et crédibles.

    Dans cette nouvelle aventure de Myron Bolitar, on retrouve ce dernier dans le rôle de chevalier servant qui lui sied tant, et qui vient en aide à une jeune femme qu'il n'a pas vu depuis plus de sept ans, femme qui sait à qui s'adresser visiblement...

    Bref on suit nos joyeux compères de New York à Paris en passant par Londres, avec les rebondissements d'usage et surtout la plume acérée de maitre Coben !

    Je ne sais pas s'il dirige des master class d'écriture, mais mon Dieu comme je m'y rendrais avec plaisir !

    En attendant, on peut toujours tenter de se rendre à New York déjà ! Et oui, à l'occasion de la sortie du film, un jeu concours est organisé ! Je vous laisse jeter un œil avisé sur le site officiel de Mr Coben click clik. Et puis la page fan de Facebook reclick click !


    Si l'un d'entre vous va à New York, il peut m'emmener avec lui ? S'il vous plait ???!!

    Pour en finir avec les petites infos, j'ai cru lire que cet opus faisait déjà l'objet d'une adaptation pour le cinéma. Je n'ai pas creusé pour voir le casting et le réalisateur, mais miam miam l'acteur qui fera Myron Bolitar, car celui-ci tel qu'il est décrit n'est pas loin d'être un homme parfait !

    Bon mes lapins, vous avez de la lecture, une idée cadeau bouquin pour la fête des Mères ou des Pères ou votre pomme, un jeu à tenter fissa avant le 3 mai pour m'emmener partir  à NYC, et du cogitage sur le casting idéal de ce futur film ! En espérant que toute cette procrastination vous empêchera bien de bosser au bureau !

    Ne me remerciez pas, je suis là pour ça.....

    Et sinon, les éditions Rivages, j'ai plus de lecture là....