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Les livres - Page 25

  • Dumas et Shakespeare

    Dans ma quête de Dumas qui ne soient ni les Trois Mousquetaires, ni le Comte de Monte-Christo, j’ai été ravie de découvrir de nouvelles rééditions de romans moins connus du monsieur. Parmi ces découvertes, Othon l’archer, une petite merveille de romantisme.

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    Le romantisme est un genre littéraire qui m’a toujours plu, et il s’épanouit avec force sous la plume de Dumas père.

    L’histoire est faite d’amour paternel, de trahison, de rebondissements, bref du pur Dumas.

    Othon est le fis du Landgrave de Godesberg, mais ce dernier est miné par les insinuations de son cousin (un drôle de félon) qui veut lui faire croire que Othon est le fruit des amours infidèles de sa femme Emma. Le Landgrave finit par y croire, et enferme sa femme au couvent, et décide de mettre Othon dans un monastère. Mais Othon préfère mourir et se jette à l’eau.

    Evidemment son destin veut qu’il survive, et qu’il soit recueilli par un groupe d’archers. On les suit dans une première aventure au cœur d’un château hanté et d’un étrange cérémonial, qui marquera la première action méritoire de Othon. Celui-ci continuera ses prouesses à Clèves, rencontrera une belle jeune fille, retrouvera sa dignité auprès de ses parents, le tout dans une belle ambiance de romantisme allemand.

    Le schéma de l’histoire est classique : malheur, fuite, réapparition et mise a nu des félons, mais c’est très bien rythmé et les personnages ne sont jamais mièvres.

    Un extrait :

    « Lorsque Othon se releva le front paré de la toque qu’il venait de gagner, son visage était rayonnant de joie et de bonheur. Les cheveux d’Héléna avaient presque touché les siens, leurs haleines s’étaient confondues, c’était la première fois qu’il aspirait le souffle d’une femme.

    Son justaucorps vert allait si bien à sa taille souple et déliée, ses yeux étaient si brillants de ce premier orgueil qu’éprouve l’homme à son premier triomphe, il était si beau et si fier de son bonheur, enfin, que le prince Adolphe de Clèves pensa à l’instant même combien il lui serait avantageux de s’attacher un pareil serviteur.

    En conséquence, se tournant vers le jeune homme, qui était prêt à redescendre les degrés de l’estrade :

    – Un instant, mon jeune maître, lui dit-il, j’espère que nous ne nous quitterons point comme cela.

    – Je suis aux ordres de Votre Seigneurie, répondit le jeune homme.

    – Comment vous nommez-vous ?

    – Je me nomme Othon, monseigneur.

    – Eh bien ! Othon, continua le prince, vous me connaissez, puisque vous êtes venu à la fête que je donne. Vous savez que mes serviteurs et mes gens me considèrent comme un bon maître. Êtes-vous sans condition ?

    – Je suis libre, monseigneur, répondit Othon.

    – Eh bien ! Alors, voulez-vous entrer à mon service ?

    – En quelle qualité ? répondit le jeune homme.

    – Mais en celle qui me paraît convenable à votre condition et à votre adresse. Comme archer.

    Othon sourit avec une expression indéfinissable pour ceux qui ne devaient voir en lui qu’un habile tireur d’arc, et allait sans doute répondre selon son rang et non selon son apparence, lorsqu’il vit les yeux d’Héléna se fixer sur lui avec une telle expression d’anxiété, que les paroles s’arrêtèrent sur ses lèvres.

    En même temps, la jeune fille joignit les mains en signe de prière.

    Othon sentit son orgueil se fondre à ce premier rayon d’amour, et, se tournant vers le prince :

    – J’accepte, lui dit-il.

    Un éclair de joie passa sur la figure d’Héléna. »

    Une jolie lecture, qui est passée un peu vite peut-être...

    Othon l’archer – Alexandre Dumas

    156 pages – 5,80 € - Editions de l’Aube.

    Lu pour mon plaisir, et dans le cadre des deux challenges suivants : J’aime Alexandre Dumas (chez Ankya) 

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    et Monte-Christo Challenge (chez Chiffonnette). 

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    Après la lecture, un film, une adaptation de Shakespeare par Kenneth Branagh, le mec qui faisait de chouettes films avant de réaliser Thor pour payer ses impôts (on est peu de choses, soyons indulgents).

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    Peines d’amour perdues est une des premières comédies de William Shakespeare. Le roi de Navarre, Ferdinand décide avec ses amis Longueville, Biron et Dumaine de se consacrer tout entier à la philosophie pour quelques années et d’oublier les frivolités de ce bas-monde. C’est compter sans la Princesse de France et ses trois dames de compagnie, Rosaline, Maria et Catherine.

    Kenneth Branagh réalise en 2000 une merveilleuse comédie musicale. Les acteurs virevoltent sur les notes de Cole Porter, George Gershwin ou Irving Berlin. Il a transposé l’histoire dans l’entre deux-guerres, et ça peut paraître curieux d’entendre les vers et le rythme du 16ième siècle dans un tel décor, mais on s’y fait et on entre dans la danse avec les acteurs, tous très bons ! J’ai été enchanté, comme avec tout les films de Kenneth Branagh (Thor, on a dit c’est pour les impôts, ça compte pas)

    J’ai été aussi très contente de retrouver Alicia Silverstone, une grande habituée des clips d’Aerosmith, et l’héroïne de Clueless….

    Bref, une adaptation osée, enlevée, gaie et propre à dépoussiérer le grand Will.  Je chantonne encore "heaven, I’m in heaven, and my heart beats so that I can hardly speak, And I seem to find the happiness I seek, When we're out together dancing, Cheek To Cheek…"

    Une petite merveille visionnée dans le cadre du challenge Shakespeare de Maggie et Claudialucia.

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  • Clair de l'âme

     

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    Cher Romain,

    Permets-moi de t’appeler Romain, depuis le temps que l’on se fréquente, toi et moi, l’intimité qui s’est creusée entre nous autorise cette liberté.

    Romain, quand je t’ai connu, tu me disais t’appeler Émile, et la jeune collégienne que j’étais est tombée sous le charme de ta plume. Longtemps, j’ai regardé les squelettes de parapluies abandonnés sous l’orage, en pensant à Momo et à Madame Rosa.  Tu avais déjà tracé un sillon dans mon cœur, Romain, un sillon que je suivais à pas mesurés, tout doucement. Plus que tout je voulais faire durer la promenade sur ce chemin. Tu es mort avant que je n’atteigne l’âge de raison, c’est peut-être ce qui fait de moi la lectrice la plus déraisonnable qui soit. Savoir qu’un auteur que l’on aime n’écrira plus que ce qui existe déjà, rend plus précieux chacun de ses ouvrages.

    A chaque fois que j’ouvrais un de tes écrits, dès la page de garde j’étais partagée entre deux sentiments : la joie de te lire à nouveau, de te découvrir, et une certaine tristesse à penser que c’était un livre de plus qui m’amenait au bout du chemin. Ce chemin à l’issue duquel il n’y aurait plus de »nouveaux » livre de toi à lire… Mais il reste la joie aujourd’hui, des années après notre première rencontre, la joie de te redécouvrir, de te relire autrement. La lecture de mes 10 ans, de mes 15 ans, ou de mes 20 ans, m’a fait comprendre que chaque relecture offre au regard un nouveau récit. Et aujourd’hui, où l’adulte que je suis admire l’homme total que tu as été, je sais que le chemin ne se termine jamais vraiment. Tu as raison, tu es incapable de vieillir. Le Pacte que tu as passé avec le Ciel s’est étendu à toute ton œuvre.

    Alors te relire reste encore ce que je préfère au monde. Je fais le bilan des choses que j’aime, et au détour d’un souvenir, je me rappelle d’une vieille anglaise au ton malicieux. Je me rappelle de Lady L.

    J’ai repris la semaine dernière mon exemplaire. Le même exemplaire que j’ai ouvert pour la première fois dans ma chambre au pensionnat, avec pour toute lumière, une lampe de chevet tamisée, pour ne pas attirer les foudres de la responsable de l’étage. Je me revois déchiffrer avec émerveillement les premières pages de cette histoire. J’ai suivi Annette dans ce Paris d’un autre temps, jusqu’à sa glorieuse vie, derrière ce masque de Lady L. On en revient toujours là avec toi : les déguisements que la vie nous oblige à porter. D’autres noms, d’autres discours, d’autres agissements...  Et derrière Annette, comme derrière toi peut-être, il reste ce cynisme amer.

    Mais j’ai adoré à 16 ans, et aujourd’hui, cette histoire fabuleuse de la construction d’un monde nouveau, à travers les yeux brillants d’une sorte de folie d’Armand Denis. J’ai aimé retrouver la belle histoire d’amour et de combats qui liera Armand et Annette. Voir leurs ambitions respectives se frotter à la complexité de l’Histoire avec un grand H, même fictive, c’est réjouissant ! Les amours d’un jeune anarchiste poète, poseur de bombes un peu raté, et d’une jeune pauvresse qui arrivera aux plus grands sommets, c’est le tour de force littéraire que tu  nous offres.

    J’aime écouter cette vieille dame qui confie à un jeune admirateur les méandres de sa vie, ses amours, ses indignités, la beauté et la laideur d’une vie riche et tumultueuse.

    L’humour, la drôlerie, le cynisme, la tendresse, et les grandes espérances de pauvres êtres humains ballotés par la folie de l’Histoire, Lady L. garde pour moi la même force qu’à la première lecture.

    Cher Romain, merci pour Annette, Armand et les autres. Je te quitte pour ce jour, en te rappelant ces vers que tu prêtes à la taquinerie enthousiaste d’Armand Denis :

    Ode à l’humanité,

    Ah fallait-il que je vous visse,

    Fallait-il que vous me plussiez

    Qu’ingénument je vous le disse,

    Que fièrement vous vous tussiez

     

    Fallait-il que je vous aimasse,

    Que vous me désespérassiez

    Et que je vous idolâtrasse

    Pour que vous m’assassinassiez.

     

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    Lady L - par Romain Gary

    Critique épistolaire pour Babelio.

  • Une fête, des mamans, quelques idées

    Il parait que c’est bientôt la fête des mères. L’occasion de se faire quelques cadeaux, non ? Il faut bien se rendre à l’évidence, toutes les occasions sont bonnes…

    Blague à part, je me suis dit que je ferais bien le point sur ce que j’aimerais que l’on m’offre ce jour là (en plus du merveilleux dessin que je ne manquerais pas de recevoir, j’espère !) Voici donc quelques petites idées, sans prétentions.

    Des petits cahiers, trouvés chez Hema, pour 1 € les deux, de mémoire. J’aime beaucoup les couleurs flashys et gaies. On a toujours besoin d’un cahier, j’en ai déjà entamé un pour noter des recettes de cuisines glanées ça et là.

     

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    Du thé, dans une jolie boite. Le thé vient de la Compagnie Anglaise des Thés, tu te doutes bien que celui-ci j’ai voulu le gouter ^^ ! Il est délicieux ! La jolie boite était à 6 € il me semble, et il faut compter entre 4 et 23 € les 100g de thé.  Celui-ci m’a couté 5 € pour 100g.

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    Un joli bijou, une belle montre. Par exemple ces bijoux, qui viennent de chez Fossil. J’aime beaucoup la délicatesse des pierres, l’alliance de l’argent et du noir, un bel ensemble non ?

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    Quant à la montre, je l’adore ; à la fois moderne et féminine, avec son cadran strassé, elle est venue rejoindre ma collection avec bonheur.  Et j’avoue que sa petite sœur, en blanc me fait aussi bien envie ! Vous trouverez sur le site de Fossil d’autres styles de bijoux et montres, y compris pour les papas, qui ne sont pas en reste ! Il y a également des lunettes de soleil et des sacs très sympas, mais ça je pense vous en reparler dans un autre billet. Ma paire de lunettes Virginia ne me quitte plus !

    Sans vouloir ramener qui que ce soit à des clichés éculés, on peut aussi offrir de très jolies livres de cuisines. De ces livres qui sont déjà un plaisir à feuilleter et qui encouragent à cuisiner grâce à une très belle iconographie, et à une façon moderne de concevoir la cuisine et la convivialité. En ce moment, j’ai deux chouchous : les Albums Larousse, au prix de 7€90 chacun, et les Petits Plats Marabout, au prix de 7€90 également. Des prix mini pour beaucoup de plaisir, je vous assure ! Je vous montre les miens :

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    Les deux collections s’enrichissent de nouveaux titres assez fréquemment, et c’est difficile de ne pas céder à tout. Pour avoir fait quelques recettes déjà, je peux vous dire qu’elles sont accessibles, originales mais propre à plaire au plus grand nombre ! Et puis c’est aussi un point de départ à sa propre imagination !

    Voilà quelques idées, si vous aviez dans l’idée de faire un cadeau ce prochain dimanche !

    Je précise que tout ce qui est présenté ici à été acquis par moi, hormis les articles Fossil, cadeaux de la marque (merci encore à Coralie !)

  • Ayla est là

    Les longues sagas, c’est à la fois mon truc et pas mon truc. J’adore les pavés, dans le sens où plus je reste avec un roman qui me plait et plus je suis heureuse, mais le versant négatif, c’est qu’à trop se fréquenter on s’attache, et quand vient la fin, c’est dur de se séparer. C’est ce rapport que j’ai aux livres… On les laisse, on les retrouve, comme de vieux amis.

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    C’est donc une vielle connaissance qu’il m’a été donné de retrouver, en la personne de Ayla, l’héroïne des Enfants de la Terre de Jean M. Auel.

    C’est une série que j’ai commencé à lire par hasard, il y a quelques années, parce que ma belle-sœur la lisait et qu’elle ne m’en disait que du bien. Pourtant, une histoire qui se passe pendant la Préhistoire, je n’aurais pas sauté dessus. Mais j’ai fait l’effort de lire le premier tome, et j’ai plongé, comme des millions d’autres lecteurs, dans les aventures de cette petite Ayla, avec les « têtes plates » et les « autres ».

    « Le pays des grottes sacrées » est le roman qui vient clore la saga des Enfants de la Terre.  On retrouve Ayla qui doit devenir la guérisseuse et la chef spirituelle de son clan. On parcourt avec elle les grottes sacrées, et on ne peut s’empêcher de ressentir des frissons aux descriptifs de ces lieux qui ont abrité nos ancêtres.

    Pour qui n’a jamais lu un de ces romans, celui-ci peut se lire individuellement, puisqu’il y a de nombreux retours et flash back sur ce qui fut la vie d’Ayla et des siens. Et on peut ainsi comprendre son parcours. Mais je recommande quand même de se jeter dans l’aventure en reprenant l’histoire dès le premier tome, on grandit avec elle, on assiste à, l’évolution de cette petite fille abandonnée, qui est pourtant appelée à un grand destin. Le final, pour très attendu qu’il soit, ne m’a pas déçue, bien au contraire !

    Cette saga m’a toujours marqué parce qu’elle montre un univers très matriarcale, très pacifiste, avec des règles de vie très précises. Je me suis ainsi fait une idée moins brouillonne de la Préhistoire et de l’homme de Cro-Magnon. Et si on ne peut plus visiter ni Lascaux ni la grotte de Chauvet, vous en retrouverez des descriptifs aussi détaillés qu’émouvant !

    Une saga à lire, et à faire lire. 

  • Olivier Magny parle parisien et Daphné chante au Trianon

    Certains disent qu’en France il y a Paris et le reste du pays. Pourtant Paris est peuplé de gens qui viennent du reste du pays. Ceux-ci, quand ils arrivent à la capitale, se trouvent parfois frappé d’un syndrome : le parisianisme aigu.

    C’est en quelque sorte ce syndrome que Olivier Magny dissèque dans son ouvrage « Dessine moi un Parisien ».

     

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    C’est une sorte de compilation du blog tenu par l’auteur, « Stuff Parisians Like », blog que je ne connaissais pas.

    Olivier Magny est un commercial, diplômé de l’ESSEC, et son ouvrage est un pastiche, assez drôle, de certains comportements. Mais ces comportements, loin de les observer sur les seuls parisiens, je trouve qu’ils sont plus le fait d’un certain milieu, plutôt favorisé, néo-bobo, CSP+++++++, et somme toute très énervant.

    C’est donc un catalogue de clichés qui est nous est soumis. J’ai été autant énervée qu’amusée par ce bouquin. Parfois je me suis reconnue dans certains travers, snobisme et autre réflexe. Parfois j’y ai reconnu des relations qui m’agacent…

    Ça se lit très facilement, et dans l’ensemble c’est assez drôle, mais je me demande encore pourquoi je l’ai acheté ?

    Des extraits :

    « Trois critères conditionnent la coolitude à Paris : posséder un iPhone, porter des Converse et manger des sushis. » (J’ai un BB, et je ne suis pas prête de craquer pour un Iphone, les converses je trouve ça moche et ça pue. Mais les sushis c’est bon…)

    « Le jardin du Luxembourg est le parc préféré du Parisien, avec Central Park. Marcher dans les allées du Luco est pour lui un enchantement. » (Quand j’entends le mot Luco j’ai envie de sortie mon révolver…)

    Franchement la flemme d’en noter d’autres… Marrant mais dispensable…

     

    Bon, sinon, les trois gagnants du petit jeu « Daphné en concert au Trianon » sont :

     

    Lociol

    Fanny

    Agathe

     

    Merci de m’envoyer votre adresse postale par mail, le plus rapidement possible.

     

    Merci à tous pour votre participation, pour les perdants, j’espère vous redonner bientôt d’autres occasions.